Bien que « retiré du monde », il vivait en fusion avec les entrailles de notre planète, chemin que lui seul pouvait expliquer. Marminiac son village était sa protection de surface et aujourd’hui ses habitants veulent, à juste raison, protéger l’oeuvre de Jean-Marie Massou, décédé en 2020.
L’association SIderal s’est ainsi rendue propriétaire du site des Limoges, afin de préserver le lieu – fermé au public – où sont les sculptures magistrales. Les moyens d’action dont se dote l’association pourraient permettre la naissance d’un musée à ciel ouvert entièrement sécurisé. On pourrait alors par une vaste galerie, découvrir l’une de ses œuvres majeures : Le Sidéral, un bateau, mais aussi le titre d’un roman qu’il avait dicté à sa mère.
Aujourd’hui des oeuvres de Jean Marie Massou sont exposées au MIAM à Sète jusqu’en janvier 2023 : une exposition est également en préparation pour Bruxelles.
Autre mission pour cette association : celle de faire connaitre « La Mission universelle » de Jean Marie, celle qui, selon ce dernier, vise à « prévenir l’humanité que le monde va à sa perte, qu’il s’agit de protéger ceux qui restent ».