Moudre le grain, pour une population dont la base de l’alimentation est le pain, est primordial. Chaque agglomération d’importance possédait plusieurs moulins. Un ruisseau ou une rivière coulant à proximité permettait d’utiliser la force hydraulique. C’était la plus efficace parmi les énergies disponibles. Si l’eau manquait, le choix du vent s’imposait, et les moulins déployaient alors leurs grandes voiles sur l’horizon.
Auteurs : Georges Depeyrot, directeur de recherches émérite au CNRS.
Frédéric Lontcho, rédacteur en chef de la revue L’Archéologue.
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