“Le Quercy abrita mon enfance comme les ports protègent les frêles embarcations d’un cauchemar, l ‘espace d’une nuit, quand la mer s’insurge et que le vent a des accès de colère…”
Ainsi débute une de ces chroniques aussi improbables que palpables, dont le Quercy se veut le théâtre flamboyant.
Les matins de brumes, l’odeur âcre des champs de maïs, les peupliers dressés au vent ou les eaux traîtresses de la rivière Lot… Soudain, l’enfance passée au milieu de cette terre féconde du Quercy ressurgit, comme une vieille photo sépia que l’on hésite à regarder tant l’érosion du temps abîme le souvenir.
Chroniques de l’enfance rêvée ou sublimée, rencontres improbables avec l’écrivain Colette, le peintre Henri Martin, de ce terroir enfoui dans la mémoire, Jean-Pierre Alaux nous conte tout un monde, tendre, singulier et faussement romanesque…
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