Auteur/autrice : Gilles Chevriau Page 9 of 33

Mime Marcel Marceau : un timbre commémoratif

À l’occasion de la sortie du timbre sur le centenaire de la naissance du mime Marcel MARCEAU à Cahors
l’Union Philatélique du Quercy ( U.P.Q.) édite 2 souvenirs :
Une carte et une enveloppe au format de la Fédération au prix unitaire :
Carte 3,50 € x . . . . = . . . . .
Enveloppe 3,50 € x . . . . = . . . . .
Frais de port 1 ou 2 souvenirs = 1,20 €
Total = . . . . . .
Commande à faire auprès du trésorier : Monsieur COSMO Jean-Claude 26 bis Bd Aristide Briand 46000 Prayssac
Chèque à l’ordre de : Union Philatélique du Quercy

Accéder au bon de commande  Mime MARCEAU Bon de commande

(Source Illustration Wikimédia Commons)

A propos du projet de la Maison de la Paléo

Les causses de Martel et Gramat recèlent un patrimoine paléontologique et archéologique exceptionnel méconnu : 59 sites répertoriés à ce jour !
Les fossiles découverts par les spéléologues mettent en présence la faune de l’environnement préhistorique : lions, ours et hyènes des cavernes ; mammouths, mégacéros, cheval, renne, antilope, bison, bœuf musqué …
Le projet de réaliser une Maison de La Paléo est né de l’existence de ce patrimoine. Il a été pensé, réfléchi, écrit par un comité de pilotage composé de spéléologues, de scientifiques et d’élus. Aujourd’hui, il est porté par une association « Les Amis de la Maison de La Paléo ».
Faire connaître ce projet, diffuser les connaissances scientifiques des paléontologues des Muséum de Toulouse, Lyon, Genève et Paris ainsi que les universités de Toulouse (Trace) et Bordeaux (Pacea) étudiant les « trouvailles » locales, tel est le programme 2023 décidé par l’assemblée générale du 13 janvier dernier :
– un cycle de 4 conférences publiques en avril, juin, septembre et octobre
– une exposition itinérante « La lionne revient »
– des ateliers enfants
La Maison de La Paléo, c’est un projet culturel, touristique et économique de revitalisation de la zone Souillac-Martel.
L’association travaille au lancement de l’étude de faisabilité.
Le choix d’un lieu pour concrétiser ce projet est en réflexion. Amis et partenaires faites un signe !
Suivez-nous sur www.lesamisdelamaisondelapaleo.e-monsite.com et sur Facebook
Contact Jean-Louis Thocaven – 06 85 84 13 30

Jean-Eugène Pujol, 1899-1986, peintre à Pradines

Présent de longue date dans les pages de la première version de notre site internet, nous profitons de la publication de l’ouvrage consacré à l’histoire de Saint-Cirq-Lapopie dont la couverture est illustrée par une oeuvre de Jean-Eugène Pujol pour redonner à cet artiste sa place dans notre nouvelle galerie des « quercynois célèbres ».

SOMMAIRE :
Biographie
L’artiste par Dominique, l’un de ses fils
Professeur de dessin
Quelques oeuvres
Expositions et musées

Biographie : Jean-Eugène Pujol est né le 4 mai 1899 à Carbonne, dans le Volvestre, d’une famille de propriétaire terrien, dont le père Fernand Pujol possède un talent de dessinateur. Très tôt, Eugène Pujol manifeste son désir d’être peintre. Sa première toile en 1911 représente la campagne toulousaine. Il rentre à l’école des Beaux-Arts en 1917.
Appelé sous les drapeaux en septembre 1918, il reste mobilisé trois ans à Toulouse et peut suivre presque normalement les cours de l’école.
Démobilisé en juin 1921, il part à l’école nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, dans l’atelier de Fernand Sabatté et de Louis Roger, respectivement élèves de Gustave Moreau et de Jean-Paul Laurens, puis il s’inscrit à l’École du Louvre. A Paris, il découvre Gervais et Hélène Rivière.
En 1924, il obtient la médaille du portrait au Salon des artistes français et de 1925 à 1947, il est membre des Artistes méridionaux. Une fois diplômé, il part comme professeur de dessin à Fougères où il restera jusqu’en 1927, alors nommé à Cahors. Il s’y marie en 1929 avec une cadurcienne et revient très souvent dans le Lot, séduit par les paysages et la lumière.
En 1930, il repart à Paris comme professeur au lycée Rollin à Montmartre et habite rue Paul Féval, il rencontre un de ces compatriotes carbonnais, le sculpteur Abbal qui l’initie à la sculpture. Il s’y consacrera pendant plusieurs années, sans abandonner la peinture.
Nommé à Toulouse en 1940, il se fixe définitivement à Cahors où, à partir de 1941, il enseigne le dessin au lycée Gambetta et à l’École normale de jeunes filles. Il se partage entre les ateliers de sa maison du Cours Vaxis face au Lot et de Labéraudie, sur les coteaux.
Après la guerre, il entreprend très régulièrement des voyages en France et à l’étranger ; en 1946/1947 il se rend en Alsace où son beau-frère est en poste, en Espagne, l’été, avec ses jeunes enfants et en Corse, en solitaire. Il part en Algérie en 1947 et à Rome en 1949/1950 avec sa fille aînée, Marie-Thérèse, d’où il revient très marqué par les «Chambres» de Raphaël.
De 1972 à 1981, il voyage très régulièrement à Venise qu’il avait jusqu’à cette époque dédaignée, par crainte d’affronter une ville trop médiatisée. C’est une grande période de créativité chez cet artiste qui peint plusieurs centaines de toiles de la Sérénissime.
En 1979, il va à Londres avec ses enfants.
Le peintre s’éteint en 1986.

L’artiste par Dominique, l’un de ses fils :
Écrire un texte à propos de mon père, c’est bien difficile. Tant de souvenirs viennent à mon esprit des temps heureux où nous vivions tous ensemble.
Vous comprendrez que je ne parle pas de son oeuvre, car il y a pas plus mauvais expert que celui qui fait entrer ses sentiments personnels dans son jugement. Entre le fils d’un artiste, vivre sa jeunesse auprès de lui, partager les moments de création, les joies de partir avec lui dans la nature et peindre ou dessiner, laisse forcément quelque chose, une empreinte pour sa vie durant.
Les questions que je me posais lors de mon adolescence, sur ma vie, mon avenir, je les ai partagées avec lui et mon penchant pour la peinture ou le dessin n’est pas un hasard. Le climat familial, mon père que j’ai vu si souvent travailler, si heureux à Labéraudie, où nous passions tous les étés, en sont pour l’essentiel à l’origine.
A Labéraudie il peignait, faisait de la menuiserie et se passionnait pour l’architecture. Cette maison, il l’a pensée comme un artiste de la Renaissance. L’atelier qui ouvre sur le jardin par une large verrière, est au coeur de la maison, donnant une âme à cette vieille bâtisse. C’était là que tout se passait et se passe encore.
Lorsque j’ai voulu peindre à l’huile pour la première fois vers 9 ou 10 ans, il m’a installé une toile neuve sur un chevalet et m’a dit : « Vas-y ! ». J’ai fait son portrait… une tête triangulaire, un oeil de cyclope, c’était horrible, mais il m’a dit avec un sourire « C’est un vrai Picasso».
Il m’encourageait en bon professeur de dessin qu’il était et lorsqu’un jour je lui ai dit : « Je pourrais peut-être faire le professorat de dessin comme toi ? », il répondit « Il vaut mieux que tu sois architecte
– Mais cela n’a rien à voir avec la peinture !
– Tu crois que construire la maison des hommes, ce n’est pas beau ! »

J’ai beaucoup réfléchi et à 17 ans, je savais que je serai architecte.
Je ne suis pas le seul enfant de la famille, nous sommes quatre, trois filles et moi le dernier. La maison était toujours très animée, et souvent remplie de cris d’enfants, surtout quand nous jouions à Minuit sonnant, à nous faire peur dans la maison, toutes lumières éteintes. Quand cela dépassait certaines limites, mon père ouvrait le porte de son atelier et de sa voix courroucée, forte et grave, nous criait « Vous voulez que je vous aide » et cela nous arrachait des cris supplémentaires.
Il avait du caractère, mon père, et cela lui permettait de préserver son espace vital car ma mère si douce nous aimait tant que ses interventions manquaient de vigueur.
Mon père a peint pendant près de soixante-dix ans, et je n’ai partagé qu’une petite partie de sa vie d’artiste, mais quelles années si riches, si belles !
Notre souvenir est intact et il m’arrive, en franchissant le seuil de Labéraudie, d’être heureux de le retrouver devant son chevalet, mais seules ses toiles sont là, témoignant qu’un artiste ne meurt jamais.
Dominique

Professeur de dessin : Professeur de peinture et de dessin au Lycée Gambetta.
Né à Carbonne (Haute-Garonne) le 14 mai 1899, Eugène Pujol entre à l’école des Beaux-Arts de Toulouse en 1917, puis suit les cours de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris et de l’École du Louvre. Il est fortement influencé par les peintres paysagistes tels Corot, Courbet et Cézanne. Au Salon des artistes français de 1924, il obtient la médaille du portrait.
En 1929, il se marie avec une cadurcienne ; les paysages et la lumière du Lot vont l’amener à choisir un poste à Cahors où il se fixera, après avoir enseigné à Paris, Fougères et Toulouse. Il enseigne les Arts Appliqués au Lycée Gambetta, de 1941 à 1962 et à l’École Normale de jeunes filles. Durant toutes ces années, il a patiemment formé le regard, guidé le geste de nombreux élèves qui ont pourtant toujours ignoré, tant la simplicité et la discrétion de leur maître étaient grandes, que ce dernier s’adonnait quotidiennement à son activité de peintre dans l’atelier qu’il avait aménagé à Labéraudie, où il créait, remaniait sans cesse ses oeuvres jusqu’à leur totale plénitude.

L’artiste s’est plu à reproduire avec bonheur de paisibles scènes familiales, s’attachant à mettre en valeur le moindre détail. On lui doit également de merveilleux portraits qui mettent en scène des personnages connus ou inconnus.

Mais Eugène Pujol n’est pas seulement un peintre de l’humain. Son réalisme pictural transparaît avec bonheur sur quelques cinq cent toiles reproduisant la campagne quercynoise. L’Italie, et plus précisément Venise, l’ont fortement impressionné, lui inspirant des oeuvres particulières, où l’on ressent la fascination qu’a pu exercer l’ex-Sérénissime République sur l’artiste.

Quoique son caractère modeste ne lui ait pas fait rechercher la gloire, ses expositions furent toujours accueillies avec intérêt par les Toulousains. Ce n’est qu’à partir de 1992 que l’on a pu contempler quelques-unes de ses toiles à Cahors, dans la salle dite du  » Grenier du Chapitre « , rue Saint-James. Puis trois expositions eurent lieu, simultanément, afin de lui rendre hommage, du 14 septembre au 30 octobre 1994 : au Musée Henri-Martin de Cahors, au Musée André-Abbal de Carbonne et à l’École des Beaux-Arts de Toulouse. Aujourd’hui, ses toiles sont exposées aux Musées de Toulouse (Musée des Augustins), de Cahors, de Carbonne et de Montauban (1).

(1) Le Collège conserve également le témoignage de ses œuvres. Deux de ses toiles ornent les murs du bureau du Principal :  » Le port de Larroque-des-Arcs  » et  » Rocamadour « .

VILLES Sophie, La Mémoire Vive ou Cahors, histoire du Collège Gambetta et des ses grands hommes, pp. 208-209 – P.A.E. Collège Gambetta, Association de Sauvegarde du Lycée Gambetta, Cahors – Novembre 1998.

Quelques oeuvres

Ce dessin, probablement daté de 1975 et représentant le Christ, (nous a été adressé par Catherine Cervotti.

Sans prétendre afficher la totalité des oeuvres du peintre, voici une sélection – présentée en visuels de basse définition pour un affichage aisé – à partir du catalogue réalisé en 1994 pour les trois expositions consacrées à Jean-Eugène Pujol.
> Cahors, Musée Henri Martin, 14 septembre – 30 octobre 1994
> Carbonne, Musée André Abbal, 14 septembre – 30 octobre 1994
> Toulouse, Palais des Arts, 28 novembre – 30 décembre 1994

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Expositions :
> Paris
Salon des Artistes Français (1926 à 1939) : sociétaire
Musée Galliera, exposition «Les provinces françaises»
Salon des Indépendants : sociétaire en 1928
École nationale des Beaux-Arts de Paris
> Toulouse
Galerie Chappe-Lautier
Salon des artistes méridionaux (de 1925 à 1942)
Salon des provinces françaises
> Cahors
> Albi
> Figeac

Musées :
Montauban, Cahors, Toulouse, Carbonne

Un timbre hommage au mime Marceau pour le centenaire de sa naissance

Le lundi 20 mars, La Poste émet un timbre à l’effigie de Marcel Marceau dit le mime Marceau à l’occasion du centenaire de sa naissance. Notamment connu via son personnage de Bip, il est devenu au fil des années l’un des artistes les plus connus dans le monde.
Avec son corps pour unique instrument, Marcel Marceau (1923-2007) a porté l’art du mime sur les scènes du monde entier, imposant un langage universel.

Celui qui savait « rendre visible l’invisible » a donné vie à des personnages qui, sans dire un mot, expriment la vie comme elle est, avec ses combats, ses espérances, ses rêves.

« Marceau », son pseudo pendant la Résistance

Marcel Mangel, de son vrai nom, naît à Strasbourg le 22 mars 1923. Au début de la Seconde Guerre mondiale, sa famille d’origine juive polonaise doit quitter précipitamment Strasbourg pour Périgueux. Marcel a 16 ans et déjà il imite Chaplin, son héros, à la perfection. En 1942, il rejoint la Résistance, prenant le pseudonyme de « Marceau » qu’il garde toute sa vie. Dans la clandestinité, il achemine de nombreux enfants vers la Suisse, les sauvant de la déportation.

La condition humaine, faite de rires et de larmes, est le terreau de son art. Le 22 mars 1947, Marcel Marceau crée au Théâtre de Poche le personnage silencieux de Bip. Le costume de cet alter ego, héros des temps modernes, au visage fardé de blanc, en pantalon clair et caraco à gros boutons fermé sur une marinière, et au célèbre chapeau haut de forme sur lequel tremble une fleur rouge, fait de lui l’un des Français les plus connus à l’étranger.

Qu’il chasse d’invisibles papillons, qu’il grimpe des escaliers imaginaires, qu’il marche contre le vent, inspirant le fameux « moonwalk » de Michael Jackson, le mime Marceau, tour à tour lyrique, poétique, parfois grave ou drôle, remplit l’espace vide de récits allégoriques ou quotidiens avec pour seule arme ses gestes et ses regards. En 1978, il crée l’École internationale de mimodrame, où il transmet à ses élèves les exigeantes conventions du mime comme le sens de l’ellipse, le jeu entre l’espace, le temps et le mouvement.

Marcel Marceau a traversé le XXe siècle en virtuose de la « comédie silencieuse ». Immense artiste, il a réinventé la pantomime pour la hisser au rang d’art classique.

Il est décédé le 22 septembre 2007 à Cahors. (lien vers l’article publié le 24 septembre 2007)

En avant-première, La Poste mettra en vente le timbre, la mini-feuille et le document philatélique, le vendredi 17 mars, au sein du bureau de poste de Cahors Valentré, de 9 heures à 16 h 30 (257 rue Wilson, Cahors). Un cachet philatélique « premier jour » célébrera l’évènement.

À partir du 20 mars, il sera vendu dans la boutique Le Carré d’Encre, dans certains bureaux de poste, par abonnement ou par correspondance à Philaposte Service Clients Commercial Z.I Avenue Benoît Frachon, BP 10106 Boulazac, 24051 Périgueux Cedex 09, par téléphone au 05 53 03 19 26 et par mail : sav-phila.philaposte@laposte.fr sur réservation auprès de votre buraliste et sur le site Internet www.laposte.fr

(Source La Dépêche du Midi 10 mars 2023)
Illustration : Dessiné par Benjamin Van Blanke Gravé par Pierre Bara D´après © LIDO/SIPA

Marcel Amont de passage à Cahors en 1965

L’annonce du décès de la vedette est l’occasion de publier ce visuel que l’on peut retrouver page 123 dans l’ouvrage publié chez édicausse en 2017. Serge Austry avait assuré la poursuite du travail de mise en page commencé par le regretté Claude Lufeaux (l’un des créateurs de Quercy net).
La vedette qui pose sur le terrain de Labéraudie en 1965, avion est entouré de deux enfants. A gauche sur la photo (prêtée par la famille Faydi) Christian Dalat et à droite Didier Faydi. L’avion de Marcel Amont est un Wassmer.

L’aérodrome de Cahors-Labéraudie 1931-1970, AUSTRUY Serge et LUFEAUX Claude, 2017, editions édicausse.

Ta gueule, un message positif du G.S.M.

Le GSN, groupe lotois de femmes chefs d’entreprises, soutenu par l’Union des Entreprises lotoises (UEL) s’est donné pour mission depuis sa création, d’être à la fois un lieu d’accueil et d’échanges, mais aussi d’entraide pour le développement de l’entrepreneuriat au féminin. Il est un réseau qui se veut efficace pour aider à concrétiser des projets économiques.

Par ailleurs, le GSN fait profiter d’autres structures, des compétences de ses membres. Ainsi, il a tissé un partenariat l’année dernière, avec la Mission locale et accompagne des jeunes dans la simulation d’entretiens d’embauche.

Le GSN organise son 1er événement culturel le 17 mars 2023 Un One-woman-show

Sur scène, Isabelle Henry propose une conférence théâtrale décoiffante, intitulée « Ta gueule », une exhortation à oser réussir.
Après Montpellier et Paris, c’est au tour de Cahors d’accueillir le spectacle.
« Ta gueule » est l’histoire d’une quinquagénaire qui monte sur scène, pour réaliser son rêve d’enfant et partager sa recette de la réussite. Le temps d’un spectacle, Isabelle démontre que l’âge adulte n’efface pas les rêves.
« Ta gueule », un moment fait de rires, d’émotions et de partage sur ce que la vie lui a enseigné. Un cadeau, en somme.

À travers cet événement, le GSN souhaite faire passer un message positif vers toutes, tous, et particulièrement les jeunes – pour oser le pari de l’avenir.
Mise en scène : Jean-Luc Cohen-Rimbault

Vendredi 17 mars à 19h
Auditorium de Cahors

Réservations : uel46@wanadoo.fr / 05.65.20.41.90

 

Une passionnante photographie sociologique du Lot. Qui sont-ils ces nouveaux habitants ?

Dans le Lot, 2e département le plus âgé de France, l’installation de nouveaux habitants constitue un enjeu primordial pour conserver une population suffisante et des services.

Afin de contribuer à une meilleure connaissance du territoire du Lot et à l’adaptation des politiques publiques locales aux besoins des populations, la DDT du Lot (Direction Départementale des Territoires), a commandé à Sociotopie, une coopérative de chercheurs en sciences humaines et sociales appliquées, une passionnante enquête sociologique sur les nouveaux arrivants dans le Lot. Un bon moyen de mieux connaître leur profil mais aussi quels sont les atouts et faiblesses de notre territoire.

Dans le deuxième département le plus âgé de France, l’installation de nouveaux habitants constitue un enjeu primordial pour conserver une population suffisante et des services. Cette enquête a été réalisée via la diffusion d’un questionnaire numérique auprès de 339 personnes installées il y a moins de 5 ans sur le territoire, et la réalisation de 17 entretiens auprès de 23 personnes récemment installées, avec des profils très divers.

Les résultats viennent de tomber
Et voici quelques-uns des principaux enseignements de cette enquête sociologique. Lorsqu’on regarde les statistiques issues des réponses données au questionnaire, les répondants sont en moyenne plus jeunes (43 ans) que les habitants du département et la plupart d’entre elles et eux ont entre 26 et 45 ans et sont en couples (75 %). Une bonne partie ont des enfants (46 %), et très peu sont célibataires et ont moins de 25 ans. Ils et elles sont majoritairement issus de catégories socio-professionnelles supérieures, c’est-à-dire que 36 % sont cadres et professions intellectuelles supérieures et 62 % ont un niveau d’études supérieures à bac + 3. Les nouveaux arrivants sont principalement des jeunes familles et des personnes âgées récemment à la retraite. Bien que la plupart des gens changent de territoire par contrainte (pour trouver un emploi par exemple), les personnes qui s’installent dans le Lot sont nombreuses à le choisir pour ses caractéristiques, sa typicité… et certains voient leur arrivée comme une opportunité pour se reconvertir, développer une activité, acheter une maison ! La majorité d’entre eux vivaient dans une ville (76 %) voire une grande ville (30 %) avant de venir dans le Lot, et la plupart s’installent dans un village ou une commune isolée du département (59 %). Les nouveaux arrivants viennent donc pour une grande partie directement d’environnements urbains. Ce qui ne veut pas dire qu’ils n’ont jamais vécu à la campagne… simplement ils habitaient en ville avant de s’installer dans le Lot.

Cette étude sociologique met particulièrement en lumière les services attendus et appréciés par une population diplômée et dotée de ressources financières lui permettant de choisir son lieu de vie. Le réseau intérieur du Lot (bus, trains) ne couvre pas suffisamment le département pour s’y déplacer efficacement sans voiture !

Principales faiblesses du département ?
48 % des personnes interrogées désignent comme insuffisante l’offre de services publics, surtout au niveau médical, à moins d’habiter à proximité d’une maison de santé pluridisciplinaire. 47 % des personnes interrogées désignent le réseau et les infrastructures de transport. Le département reste relativement bien connecté aux grandes villes avec la liaison Paris-Toulouse. Mais le réseau intérieur (bus, trains) ne couvre pas suffisamment le département pour s’y déplacer efficacement sans voiture !

36 % des personnes interrogées désignent comme faibles l’offre d’emploi et l’activité économique.

Principaux atouts du département ?
89 % des personnes interrogées désignent la qualité de l’environnement. 65 % des personnes interrogées désignent la qualité du patrimoine. 32 % des personnes interrogées désignent la qualité des relations sociales. L’offre culturelle, malgré son caractère très saisonnier n’est pas une faiblesse ! Même si tout le monde ne trouve pas forcément son compte, les enquêtés en sont plutôt satisfaits. Enfin on retiendra une amusante typologie des nouveaux arrivants, sans se prétendre exhaustive, émerge de cette étude dans laquelle on trouve par exemple :

L’opportuniste s’installe dans le Lot pour développer une activité économique en rapport avec les caractéristiques physiques et naturelles du territoire. Il peut s’agir de quelqu’un qui souhaite ouvrir des chambres d’hôtes en profitant de l’attractivité touristique, de quelqu’un qui reprend une exploitation viticole, etc.

Le reconverti repense son mode de vie sur au moins deux plans : l’ancrage territorial et la trajectoire professionnelle. Certains reconvertis quittent la ville et leur travail et emménagent dans le Lot afin de développer une activité qu’ils estiment avoir plus de sens (maraîchage, artisanat, etc.), d’autres emménagent d’abord, et développent une activité directement en lien avec les caractéristiques du territoire et leurs capacités et envies.

La famille
C’est une des catégories les plus importantes parmi les nouveaux arrivants sur le département du Lot. Les jeunes familles s’installent sur le territoire afin d’avoir un cadre de vie qu’elles estiment plus « sain » (qu’en ville notamment) voire plus accessible financièrement, pour elles et leurs enfants. Celles-ci ont parfois de nombreux critères d’installation, et mettent du temps avant de trouver leur lieu d’installation et leur habitat. Elles privilégient les maisons avec jardin en périphérie des petits bourgs avec quelques services et une école.

Seconde catégorie très importante chez les nouveaux arrivants sur le département, les retraités viennent sur le territoire principalement pour profiter des caractéristiques naturelles et patrimoniales. Ils et elles sont généralement déjà venus, au moins en vacances quelques fois, et ont préféré le Lot aux autres départements visités, parfois pour des questions d’accessibilité, de paysages ou de convivialité locale, ou de proximité avec leurs proches… Ils n’occupent pas d’emploi mais sont plutôt actifs dans les associations locales. Ils cherchent une maison proche d’un petit bourg, généralement de plain-pied, avec un jardin mais pas trop grand et une chambre d’amis.

Enfin, même s’ils ne sont pas nombreux, quelques jeunes s’installent chaque année dans le Lot. Ils et elles sont souvent originaires du département, y ont une partie de leur histoire familiale ou y sont allés plusieurs fois enfants.

Un criant manque de logements en location
Un angle mort de cette étude, concerne les métiers en tension, souvent des emplois peu qualifiés qui peinent à être pourvus d’après les données de l’emploi local. Une piste de réflexion concernant la cause de cette difficulté à attirer une population de nouveaux arrivants qui pourraient correspondre à cette demande est soulevée dans plusieurs entretiens à travers la question de l’habitat et du criant manque de logements en location, recherchés par les personnes au capital économique plus faible. Cette faiblesse de l’étude découle certainement de la surreprésentation des catégories socio-professionnelles supérieures parmi les enquêtés.

En résumé, cette photographie sociologique montre que pour les nouveaux arrivants, le Lot est apprécié pour ses caractéristiques sensibles (son patrimoine, sa vie sociale), et plus difficilement pour ses aspects fonctionnels. D’autre part, ils le regardent peut-être au travers de leurs modes de vie antérieurs, ce qui peut expliquer que les faiblesses du territoire identifiées ici soient toutes généralement des forces des environnements urbains.

LUC GÉTREAU
Source : Actu Lot

Université pour tous Cahors-Quercy : un semestre intense et diversifié

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En ce début d’année 2023, l’Université pour Tous Cahors-Quercy, montre toute sa vitalité, à travers la variété des thèmes qu’elle a proposée à ses adhérents. Jusqu’à l’été, l’offre continuera à être riche.
Petit survol de ce début d’année :
En philosophie ont été abordés la question morale et éthique de la quête d’un homme parfait par l’amélioration de son humanité biologique, puis la réforme de l’esprit nécessaire et préalable à toute éducation, selon Bachelard, philosophe des sciences.
Le thème des sorcières, a montré combien depuis des temps immémoriaux, ce sujet reste associé à une symbolique négative remise en cause par les mouvements féministes.
Côté histoire, ont été évoqués la redécouverte des Cahorsins, pan d’histoire prestigieuse occulté par les historiens locaux, la lutte des Arméniens pour une nation en survie, acteur majeur du Moyen-Orient, les échanges épistolaires émouvants des familles lotoises avec leurs soldats pendant la Grande Guerre. La violence et la complexité des années de plomb en Italie et les différences de perception entre la France et l’Italie ont clôturé le volet histoire.

Côté sciences, l’évocation de l’évolution des techniques à travers les âges a permis de mesurer le temps géologique et de répondre à la question fondamentale de l’âge de notre vieille planète, 4 milliards et demi d’années ! Et nous avons découvert la richesse des phosphatières du Quercy et de son ensemble unique en fossiles hors normes.
Enfin les questions d’actualité se sont concentrées sur l’avenir de la médecine connectée et numérique et les voies pour sortir de la crise des hôpitaux. La réintroduction du corps dans le débat public, les enjeux juridiques de la loi française de bioéthique et son inscription dans une démarche participative et citoyenne ont clôturé brillamment cette première série de conférences de l’année 2023.

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De mars à mai : art, archéologie, géologie, paléontologie, médecine, philosophie et géopolitique…
À partir de mars, une douzaine de conférences seront proposées, touchant à des domaines toujours très variés, relevant de toutes ces disciplines. De quoi répondre à de nombreuses interrogations sur notre monde, son passé comme son présent.
De Giotto à la peinture d’icônes et à William Turner en Val de Loire, de l’apport des femmes aux mouvements artistiques du XIXe siècle à la façon dont le fascisme italien a utilisé les arts, la culture et l’éducation, des conférenciers apporteront des éléments d’information et de réflexion en histoire culturelle. Le cycle d’étude France-Italie s’achèvera avec l’évocation croisée de Molière et Goldoni, deux observateurs des sociétés de leur temps. Les monuments du Cahors antique seront présentés également.
Autant de sujets toujours traités par d’éminents spécialistes. Un paléontologue évoquera les crises de l’histoire de la terre et le vol animal, tandis qu’un médecin présentera l’avenir des soins médicaux dans un avenir proche. Les climats et la biodiversité seront analysés à la lumière du passé. La géopolitique sera essentiellement orientale : de l’empire romain d’Orient à Alexandrie la rayonnante et le Moyen-Orient, berceau de la civilisation, sera analysé dans sa grandeur et sa décadence. Une réflexion philosophique bienvenue permettra de s’interroger sur la lenteur et l’hypermobilité sociale : existe-t-il un juste milieu permettant de les concilier et quelles transformations sociales, culturelles et philosophiques privilégier ?
https://uptc-cahors.org

L’UPTC est partenaire de Quercy net

Sauvegarde de l’art français : votez pour la restauration d’une oeuvre lotoise

FAIRE CONNAÎTRE ET AIMER LES MERVEILLES DE NOS RÉGIONS

Toute l’action de la Sauvegarde de l’Art Français en faveur du patrimoine repose en premier lieu sur les aides bénévoles dont elle bénéficie, à travers toute la France. C’est celle de ses correspondants locaux, veilleurs qui alertent sur les menaces et s’efforcent d’y faire face. C’est celle, aussi, de tous ceux qui sont favorables à l’action de la Sauvegarde et de tous ceux qui lui font des dons : amis et mécènes. Ils sont représentés à son conseil d’administration.

VOTEZ POUR L’OEUVRE D’ART SELECTIONNEE DANS LE LOT
Du 12 septembre 2022 au 31 janvier 2023, Allianz France et la Fondation pour la Sauvegarde de l’Art Français vous ont proposé pour la seconde fois de participer à une chasse au trésor exceptionnelle, à travers tout le territoire : celle du Plus Grand Musée de France.

Les salariés et les Agents Généraux Allianz France, ainsi que le grand public, ont identifié plus de 130 œuvres ayant besoin d’une restauration.

Les objets, après vérification de leur éligibilité, ont été présentés à un jury, composé de représentants d’Allianz France et de la Sauvegarde de l’Art Français. Ce jury a présélectionné deux ou trois œuvres par région afin d’établir une liste d’œuvres finalistes. Ces dernières ont été choisies pour la rareté de leurs qualités artistiques et le niveau d’urgence de la restauration.

  • Ces listes régionales sont soumises au vote du public pendant trois semaines : du 1er mars au 21 mars (fin de vote dans la nuit du 21 au 22 mars, à minuit, heure métropolitaine).
  • Une œuvre par région sera retenue : 13 en métropole et 3 en Outremer*, soit seize objets au total.
  • Chaque restauration des œuvres gagnantes sera financée par la remise d’un prix de 8 000 € de la part d’Allianz France.

VOTEZ EN CLIQUANT CE LIEN

 

Un nouveau directeur pour le Parc Naturel Régional des Causses du Quercy

Nils Brunet (en arrière plan sur la photo)  n’est pas vraiment un « nouveau » pour avoir exercé la fonction de directeur adjoint durant 11 ans jusqu’en 2016. Il remplace Philippe Andlauer qui fait valoir ses droits à la retraite.
(Source et Illustration La Dépêche du Midi)

Opération « C’est mon patrimoine ! » : appel à projets

Chaque année des centaines d’acteurs se mobilisent en faveur des publics cibles pour leur faire découvrir la diversité des patrimoines, accompagnés d’une pratique artistique exigeante. Le ministère de la Culture soutient ces actions en allouant une subvention aux porteurs de projets dans le cadre de l’appel à projets « C’est mon patrimoine ! ».

Présentation du dispositif

Qu’est-ce que l’opération « C’est mon patrimoine ! » ?

Les patrimoines (architecture, musées, monuments, archéologie, patrimoine immatériel, paysages, archives, etc.) sont présents sur l’ensemble des territoires et s’inscrivent dans une proximité étroite avec les habitants.

Lancée en 2005 par le ministère de la Culture (« Les Portes du temps »), C’est mon patrimoine ! est une opération d’éducation artistique et culturelle proposant aux enfants, aux jeunes et à leurs familles de s’approprier par la pratique artistique les lieux patrimoniaux, leur histoire et leurs collections pendant les temps extrasolaires, ou périscolaires.

C’est mon patrimoine ! contribue à l’émancipation et l’épanouissement des jeunes par les arts et la culture, et repose sur les trois piliers de de l’éducation artistique et culturelle (EAC) :

  • la rencontre avec les artistes et les œuvres,
  • la connaissance des arts et du patrimoine
  • et la pratique artistique

Cette opération a vocation à s’inscrire dans l’ensemble des contractualisations territoriales visant le développement culturel.

Le dispositif « C’est mon patrimoine ! » est coordonné, au niveau national, par la délégation générale à la transmission, aux territoires et à la démocratie culturel (DG2TDC) du ministère de la Culture et l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT).

Les objectifs de la démarche

L’accès aux patrimoines occupe une place significative et structurante dans les parcours d’éducation artistique et culturelle à destination des enfants et adolescents et constitue l’un des leviers des politiques territorialisées de démocratisation culturelle.

L’opération « C’est mon patrimoine ! » s’appuie sur des artistes, des scientifiques, des professionnels de la culture, des métiers du patrimoine, de la médiation, de l’éducation et du lien social pour permettre aux jeunes et à leurs familles de s’approprier de façon originale les lieux patrimoniaux.

Organisée en partenariat avec l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT), l’opération « C’est mon patrimoine ! » poursuit des objectifs communs de cohésion sociale, d’accès à l’offre culturelle des personnes qui en sont les plus éloignées et de participation à la vie culturelle.

L’opération « C’est mon patrimoine ! » vise à :

  • couvrir la diversité des territoires urbains, périphériques et ruraux
  • à toucher des publics diversifiés
  • prendre en compte la pluralité des patrimoines (monuments, musées, archives, sites archéologiques, architectures et mobiliers de proximité, patrimoines naturels, traditions et savoir-faire d’un territoire par exemple)
  • faire dialoguer la pluralité des patrimoines avec des propositions singulières et innovantes de pratiques artistiques et culturelles. Dans la perspective de l’Olympiade culturelle, C’est mon patrimoine s’ouvre également cette année aux propositions faisant dialoguer art sport et patrimoine

L’enjeu reste toutefois prioritairement la découverte et l’accès à des lieux patrimoniaux dont la fréquentation spontanée par les publics visés peut rencontrer des freins.

Elle tend aussi à développer de nouvelles temporalités :

  • possibilité de dérouler les activités sur tous les temps de vacances scolaires (pas uniquement sur la période estivale) ou jours isolés dans l’année (mercredis, samedis)
  • mise en avant des temps de restitution des projets, ouverts à tous les publics, par exemple en lien avec des opérations nationales telles que les Journées européennes du patrimoine, Journées nationales de l’Architecture, Journées européennes de l’archéologie , etc.

+ d’information et Circulaire à à télécharger en cliquant CE LIEN

Février, mars… avril : les derniers mois pour rendre visite au bouilleur ambulant

S’il est un métier en voie de disparition (une grosse dizaine d’artisans dans le Lot), c’est celui de bouilleur ambulant à ne pas confondre avec le bouilleur de cru (le propriétaire des arbres fruitiers qui porte sa récolte à distiller).

D’octobre à mars, les ateliers publics (lieux de stationnement de l’alambic) s’emplissent de senteurs, de chaleur et de bruits avec les mouvements autour de cette étrange machine, le plus souvent venue d’un autre âge !

À Arcambal, tout a commencé en 1840 dans la famille Jouclas. Aujourd’hui, c’est Didier, l’un des fils qui a repris le flambeau en 2012. Si les gestes sont restés les mêmes, transmis par les anciens, la disparition des exploitations agricoles a réduit considérablement la cadence. André-Elie Jouclas, père de notre exploitant sillonnait plus de 50 communes avec un attelage composé de 3 alambics.

Aujourd’hui, reste une seule machine, une «Laffite et fils» construite à Carcassonne en 1951, stationnée sur le même emplacement, de l’autre côté de la rivière sur le Causse de Vers durant la période autorisée et elle ne fonctionne que 3 jours par semaine. Exceptionnellement en 2023, la distillation se clôturera le 30 avril.

Il ne suffit pas d’avoir des tonnes de fruits (sauf les figues dont la distillation est interdite) pour obtenir cette belle eau-de-vie bien blanche. 100 à 150 kilos de fruits bien murs suffisent, entreposés dans un fut en plastique.

Marc de raisin mais surtout prunes, pommes, poires et même des cerises constituent le quotidien de la machine chauffée au bois qui peut assurer deux chauffes en simultanée dans chacune des marmites de 600 litres, les fruits étant noyés dans l’eau. La chaleur fait le reste et l’on obtient de quoi terminer quelques bons repas, conserver les fruits et même soigner des plaies !

Sont autorisés 20 litres à 50° ou 18 litres à 55°, la Loi de 2008 permet une détaxe de 50 % sur les 10 premiers litres d’alcool. Le coût de la prestation et des taxes se règlent au cul de la machine.

Vous avez jusqu’à fin avril pour vous rendre sur place, la visite et les commentaires sont gratuits et à volonté mais pas question de déguster, l’administration veille !

Pour contacter notre bouilleur 06 73 11 12 01.

Le Département recrute

La lecture des pages dédiées du site internet du Conseil départemental nous fait savoir que de nouveaux recrutements sont programmés notamment dans le domaine culturel : Agent d’accueil touristique, animateur patrimoine culturel… Les musées Lurçat, et Cuzals sont concernés.

Plus d’infos en cliquant CE LIEN

Le message d’un exilé

Bernard Rodriguez-Lacam, » quercynois-accro » comme il se définit,  nous adresse une photo très évocatrice du quotidien de son village Saint-Jean-Lespinasse.

Nous ne sommes pas encore dans la période des moissons mais qu’importe : Quercy net n’est-il pas un site de partages ?

Autres exilés, accro ou non, nous attendons vos photos !

Changement de présidence à L’association des collectionneurs lotois

Après 21 années « d’abnégation, de dévouement et de compétence » comme le souligne Claude Noirjean, le nouvel élu, Marc Roques restera à la disposition de l’équipe pour permettre une transition en douceur.

Mais les collectionneurs sont surtout de grands enfants qui doivent avoir à l’esprit de convaincre les jeunes générations –  animés de passions différentes – de poursuivre sous une forme qui reste à maintenir vivant et faire fructifier l’héritage de leurs aînés.

Vous êtes invités à les rencontrer lors du prochain salon du jouet le dimanche 19 février 2023 au foyer Valentré à Cahors. N’hésitez pas à vous faire connaitre ; le meilleur accueil vous sera réservé.

Bienvenu sur leur site internet en cliquant ce lien

 

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