Décembre 1914, la Première Guerre mondiale est déclarée depuis quatre mois quand Armand Truel, mobilisé avant d ‘avoir 19 ans, quitte son village du Lot pour Montpellier. Instruit pour devenir sapeur-mineur du génie, il rejoint le front de Champagne en 1915. Pendant 100 jours à partir des sapes et des boyaux, il creusera des galeries, mettra à feu des fourneaux de mines et aménagera les entonnoirs causés par les explosions.
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« Les Brachiopodes du Lias et de l ‘Aalénien du Quercy (France). Paléontologie, biostratigraphie et paléoenvironnements « . Yves Alméras et Philippe Fauré
Après une mise au point sur la stratigraphie du Jurassique quercynois, l ‘étude paléontologique a porté sur 3950 spécimens de Brachiopodes, regroupés en 46 espèces et 20 genres différents.
25 figures, 20 tableaux et 9 planches photographiques fourniront au lecteur d ‘utiles clés de détermination pour leurs propres récoltes.
Contact : STRATA
47 rue Théron Périé, BP 30205
81104 CASTRES Cedex
Ouvrage consacré aux 60 morts lotois de la guerre d ‘Algérie : liste avec lieu et date de naissance, photo, états de service, etc.
Mémoire, Maroc, Algérie, Tunisie, 1952-1962 ; FNACA du Lot ; imprimerie Grapho12, Villefranche-de-Rouergue, 2012, 165 p.
L ‘ouvrage s’inscrit dans la tradition des récits de voyage tels que l’Odyssée où la quête de la Dive Bouteille de Rabelais avec Panurge assisté de Pantagruel.
Il s’agit de la traversée mythique de lieux étranges, gravés dans la mémoire et le parcours de l’auteur, lieux symboliques, où les grandes questions de la vie émergent sournoisement.
L’auteur du livre est un artiste de l’image, peintre et illustrateur, et c’est par ses images que l’intérêt du récit se manifeste.
Une citation de Gaston Bachelard conclut l’avant-propos « La valeur d’une image se mesure à l’étendue de son auréole imaginaire »
On doit à son fils, Alain Pompidou, et à son biographe Eric Roussel d ‘avoir rassemblé et édité près d ‘un demi-siècle de correspondance de l ‘ancien président. Avec en fil rouge ses lettres à ses plus vieux amis, Robert Pujol, connu en 4 e à Albi, et René Brouillet, rencontré en khâgne à Louis-le-Grand. Un jeune Pompidou de dix-neuf ans épanche son « besoin de fréquenter une femme mariée » en même temps qu ‘il disserte avec une incroyable hauteur de vue sur la laïcité. Mais, au-delà de l ‘anecdote, ces lettres sont un témoignage précieux et souvent inédit sur les années De Gaulle, dont il fut le collaborateur puis le Premier ministre et qu ‘il appelle « Charles » quand il parle de lui. Le politique en lui n ‘a jamais tué le professeur de lettres qui, jusqu ‘au bout, échange avec Malraux, Mauriac ou Robbe-Grillet, ou décèle le talent de Patrick Modiano dès son premier roman. Mais son amour des arts n ‘enlève rien à sa maîtrise du jeu politique et des sujets techniques.
Epuisée depuis fort longtemps, la première édition de l’ouvrage du Docteur Cayla, grand défenseur du patrimoine quercynois, retrouve aujourd ‘hui une nouvelle vie avec cette réédition par l ‘Hydre éditions.
Serge Juskiewenski (1) est né à Figeac dans une famille bien connue pour son engagement de service. Médecin à son tour, il termina sa carrière en qualité de professeur agrégé d ‘anatomie et de chirurgie pédiatriques à la Faculté de médecine de Toulouse.
Son engagement professionnel se doubla d ‘un engagement public qu’il maintint jusqu’au bout. Il siégea au conseil municipal de Livernon puis de Figeac qu’il représenta aussi au Conseil général. Elu au Conseil régional de Midi-Pyrénées, il y accomplit trois mandats et en devint vice-président.
De 1999 à 2010, il se consacra avec passion au tout nouveau Parc naturel régional des Causses du Quercy dont il devint le président-fondateur. (1) Serge Juskiewenski est décédé le 2 mars 2012 à l ‘âge de 79 ans.
« Certains soirs, lorsque sans se lasser le regard parcourt les vastes horizons mauves des causses ou s ‘accroche, fasciné, à la verticalité grise et ocre d ‘une falaise magnifiée par le soleil couchant, l ‘envie vient parfois de dérouler cette chaîne, de remonter le temps. Il faut alors, dans le silence, écouter le récit que murmurent les pierres… »
Serge Juskiewenski nous y invite au long de cette fresque érudite et sensible. Il y conte la belle aventure de ceux qui ont peuplé, modelé et aimé ce territoire qu ‘ils nous ont légués.
Préface d’Etienne Baux, agrégé d’histoire
Postface de Martin Malvy, ancien ministre, Président du Conseil régional Midi-Pyrénées
Ce 3e ouvrage vient compléter la richesse de l ‘Histoire sur ce bourg, ses institutions,les démêlés entre le seigneur et la population, la vie quotidienne du logis et du labeur. Ce livre tient également compte de l ‘apport des documents sortis des greniers ces vingt dernières années.
Cet ouvrage comporte quatre parties :
la première évoque la vie politique, économique, sociale et culturelle de Martel à la fin du XIXe et dans la première moitié du XXe siècle,
la deuxième est consacrée à un rappel des grandes étapes de la mode féminine en France entre 1870 et 1970,
la troisième permet de « visiter » l’exposition d’août 2011 et de découvrir un « Catalogue » qui présente, photographies et fiches à l’appui, 86 pièces caractéristiques,
dans la dernière partie on voit comment les Martelaises suivaient la mode et faisaient réaliser leurs toilettes.
Vente : s ‘adresser à l ‘association Racines
05 65 33 72 66 ou 06 28 30 36 54 carolinemey@wanadoo.fr
47 pages avec photos couleurs, format A4,6,50 €
Ce livre partage ses pages entre récit biographique, textes de Rabelais et illustrations de Christian Verdun qui, rappelons le, est avant tout illustrateur ! L ‘histoire déroule la vie de Rabelais et son prolongement dans les célèbres héros Gargantua et Pantagruel.
Format 22,5 X 33,1 cm, 52 pages, nombreuses planches illustrées, Préface de Michel Onfray, éditions Un Autre Reg ‘Art (Albi) 19,90 €
S’adresser à René Noygues : Tél 05 65 21 37 23
rene.noygues@wanadoo.fr
Tome 1 ‘Bienvenue au pays des fleurs sauvages’
(434 pages = 50 €)
Tome 2 ‘Balade au pays des fleurs sauvages’
(434 pages = 50 €)
Pontcirq est un petit village quercinois dont l’histoire est inscrite dans une
terre dont chaque are a été retourné plus de mille fois depuis qu’un araire antique y traça le premier sillon. C’est aussi des bâtiments qui ont traversé les siècles et témoignent du génie humain à travers les temps. Enfin, c’est une histoire d’hommes, avec leurs peines, leurs souffrances et leurs joies.
Gambetta a été la figure la plus marquante de la IIIe République naissante. Sa popularité ne tient pas seulement à son élection à la députation à l âge de trente ans, à sa participation au gouvernement de la Défense nationale, à trente-deux ans, ou encore à son départ en ballon de Paris assiégé, en octobre 1870. Personnalité tonitruante, à l aise aussi bien avec les Rothschild qu à Belleville, où des milliers de personnes venaient boire ses paroles, il a affronté aussi bien les socialistes, auxquels il affirmait : « il n y a pas de question sociale », que les conservateurs, auxquels il opposait ses « nouvelles couches », et les catholiques, qu il interpellait d un : « le cléricalisme, voilà l ennemi ! ». Il n a eu de cesse de défendre une conception personnelle et exigeante de la République, incomprise de ses contemporains, qui mirent en minorité son « grand ministère » en 1882, quelques mois avant sa mort…