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Archives municipales de Gourdon, Registres consulaires de 1330 à 1382 et de 1444 à 1447

Eglises romanes en pays martelais, un réseau de 15 églises

éd. ARPPM, Martel 2010, 287 p (26 E) (Cazillac, Creysse, Cuzance, Gignac, Martel, Montvalent, Sarrazac)

Aristocraties méridionales

Panfili Didier ; Aristocraties méridionales. Toulousain-Quercy XIe-XIIe siècles ; Presses universitaires de Rennes ; Rennes, 2010, 460 pages, format 15,5 x 24 cm, index (Prix 22 €)

Le Lot ferroviaire

L’auteur : « Je fus donc cheminot, comme mon arrière grand-père Auguste Austry,
mon grand-père, autre Auguste Austry, mon père, Maurice Austry ; tout
comme le grand-père, le père et le frère de mon épouse et comme de nombreux
grands-oncles, oncles, cousins et petits cousins ! Dès ma naissance et
peut-être même dès ma conception mon destin était tracé !
C’est ainsi que 15 septembre 1945, âgé de quinze ans, j’entrais à la S.N.C.F. en qualité d’apprenti ajusteur-monteur, spécialisé dans l’entretien et la réparation des machines à vapeur. La France sortait alors terriblement meurtrie de six années de guerre au cours desquelles 120 gares, 77 dépôts, 25 grands centres de triage, 3 000 ouvrages d’art et plus de 10 000 locomotives avaient été détruits, cependant que parmi les cheminots c’était près de 9 000 morts et 16 000 blessés qui étaient déplorés.
Je ne m’attarderai pas à décrire en détail ce que furent pour moi ces trois années initiatiques auxquelles je fus condamné : un véritable calvaire. Une faim lancinante que je ne parvenais pas à assouvir torturait en permanence mon estomac ». Roger Austry, Cahors

L’ouvrage : le 24 août 1838, la reine Amélie inaugure la ligne allant de Paris à Saint-Germain. Plusieurs compagnies privées nouvellement créées se partagent concurremment le territoire national et entreprennent de le recouvrir d’un maillage relativement dense de voies ferrées avec l’appui financier des grandes banques. C’est ainsi que la compagnie d’Orléans voit le jour en 1838…
L’épopée du rail a débuté dans notre région le 1er septembre 1858 avec l’ouverture d’une ligne reliant Montauban à Rodez, laquelle bien qu’essentiellement rouergate eut sur le Lot une profonde incidence économique.
Pour chacune des 7 lignes du Lot :
– ses caractéristiques techniques,
– le personnel en résidence dans les différentes gares (nom, prénom, année et lieu de naissance, fonction exercée). Soit plus de 1300 cheminots nés pour la presque totalité dans la seconde moitié du XIXe siècle),
– les faits divers, accidents et incidents,
– les sabotages durant l’Occupation.

Le Donne

L’auteur nous livre dix-huit nouvelles, fenêtres ouvertes sur l’intimité. Chacune est une rencontre. Un moment privilégié au cœur de l’être.
Les personnages, hommes, femmes, enfants lèvent le masque. Ils se montrent tels qu’ils sont avec leurs doutes et leurs espérances. Vous serez touchés par leur sincérité.
Sont-ils prisonniers de leur existence ou sont-ils parvenus à donner sens à leur vie ?
Ce recueil offre des clés pour apprendre à se reconnecter à soi-même, à croire en soi et en ses rêves et à profiter du moment présent. Au fil de votre lecture, certaines situations vous feront sans doute écho, réveillant en vous des possibles. Puissiez-vous y puiser l’élan de vie qui brille en chacun.

L’auteure : Enseignante à Cahors dans le Lot jusqu’en 2011, Corinne Dollon a choisi désormais de se consacrer à la psychologie. Elle poursuit ses formations et ses recherches dans ce domaine et partage, par ses écrits, son expérience en développement personnel. Elle avait déjà dans ses deux premiers romans, « Parfum d’âmes » et « L’essence des maux » su vous émouvoir. Sa troisième publication, sous forme d’un recueil de nouvelles, est un partage sur les moyens de se libérer de ses maux afin de vivre pleinement.

Linge, lessive, lavoir : une histoire de femmes

Lieux exclusivement féminins de travail et d ‘efforts, les lavoirs évoquent encore immanquablement, pour les plus âgés, une mère, voire une grand-mère, dans tous les cas, une femme du voisinage.
Ces rendez-vous vivants, animés et joyeux, illustraient la place de la femme dans la société de l ‘époque.
Ils créaient également des liens de sociabilité : rencontre entre femmes, liberté d ‘expression, indépendance de quelques heures…
Historienne de formation, professeur documentaliste en lycée, l ‘auteur anime et participe à un groupe d ‘histoire locale depuis de nombreuses années.

Guide des plantes dans l&#039histoire

Michèle Caminade tente de transmettre la curiosité ressentie devant une plante inconnue au cours de ses itinéraires modestes, empreints de poésie et d&#039échos.
Les plantes nous sont proposées à travers les noms populaires mais en évoquant également ces anecdotes, ces recettes que l&#039on se transmettait de mère à fille, le soir à la veillée : les évangiles des Quenouilles.
Historienne de formation, professeur documentaliste en lycée, l’auteur anime et participe à un groupe d’histoire locale depuis de nombreuses années.

Il était une foi, souvenirs de la vie religieuse dans un village du Quercy (1914-1968)

Après avoir réalisé deux films documentaires sur Varaire, Guillaume Dreyfus s ‘est lancé dans une vaste enquête : il y a quelques décennies, à quoi ressemblait la vie religieuse, au quotidien, dans ce petit village du Lot comme il en existe tant d ‘autres ?

Une cinquantaine de personnes – des habitants de Varaire, des sœurs et des prêtres y ayant résidé – ont accepté de dire pour eux « comment c ‘était », et quelle mémoire ils ont aujourd ‘hui de la religion catholique, alors omniprésente.

Sur une période d ‘une cinquantaine d ‘années (1914-1968), ce livre intitulé « Il était une foi : Souvenirs de la vie religieuse dans un village du Quercy » se présente comme un recueil de souvenirs : catéchisme, messes, confessions, enfer, paradis, processions, fêtes, pèlerinages…

Dans la première partie du livre, les habitants se rappellent les prêtres et sœurs qui ont marqué la commune.

Dans la seconde, les souvenirs concernent différents aspects de la religion au quotidien. Et ce n ‘est pas triste !

En effet, ce passé, si proche et parfois si lointain, est raconté avec une franchise étonnante, beaucoup d ‘humour et de naturel, beaucoup d ‘émotion aussi, préservés par une écriture qui a souhaité restituer les paroles entendues au plus près du langage parlé.

A l ‘issue d ‘un long travail de « montage », illustré de nombreuses photographies couleurs et noir et blanc, les voix de différentes générations dialoguent et se répondent.

Elles composent, au-delà des particularités de ce village, un tableau contrasté, vivant et concret de toute une époque. Car la vie religieuse révèle une large part de la « vie tout court », jadis, à la campagne.

Paroles et sons des Causses du Quercy

5e parution dans la collection « Découvrir.. « , l ‘ouvrage nous transporte dans un univers particulièrement familier de nos anciens et qui, grâce notamment à la collaboration entre le PNR et La Granja et l ‘Institut d ‘Etudes Occitanes d ‘Olt, est sauvé d ‘une disparition progressive et inexorable.
La vie d ‘un territoire s ‘écrit aussi et surtout dans la communication entre les individus qui en sont les détenteurs, cette oralité, premier stade de l ‘évolution psychologique de l ‘homme.
Un premier cahier de 32 pages nous décrit les lieux familiers (maison, ferme, village…) tout en faisant largement référence à l ‘Occitan. Un CD audio inséré dans un rabat en fin d ‘ouvrage accompagné d ‘un livret comportant l ‘intégralité des textes complète cette édition qui mérite d ‘être présente dans chaque foyer lotois.
L ‘ouvrage est disponible auprès du Parc Naturel Régional des Causses du Quercy à Labastide Murat – tel 05 65 24 20 50

Vertigineuse inauguration

Le 6 mai 1838, le pont Louis-Philippe lancé sur la rivière Lot fut inauguré et livré à la circulation le jour de la fête du Roi. Construit en quatre ans, il remplaçait le pont médiéval en ruines situé quelques mètres en amont. Ce splendide ouvrage, le plus utile que l’on ait bâti à Cahors depuis des siècles, fut l’occasion d’une cérémonie grandiose devant des milliers de spectateurs massés sur les quais et les pentes voisines. La dernière pierre de la cinquième voûte y fut scellée accompagnée d’un coffret rempli d’objets symboliques (pièces d’or et d’argent à l’effigie du Roi,…).

Les discours officiels, le cérémonial, les réjouissances qui suivirent permettent de découvrir le Cahors du temps, bourgeois et distingué, mais aussi populaire et bon enfant, à travers le récit qu’en fait Etienne Baux, servi par les dessins précis et très documentés de Christian Verdun qui, tel un journaliste reporter, a couvert l’événement, quelques 172 ans plus tard…

Ce livre clôt la trilogie que Christian Verdun a consacré aux ponts de Cahors : « La cité vertigineuse  » en 1989, édité chez Flac!, puis « Les vertiges de la cité » chez L’Hydre édition en 2007.

LES AUTEURS

Christian Verdun est né à Paris en 1941. Depuis, ou presque, il n’a jamais cessé de dessiner, enfant, puis étudiant à l’Université de paris où il obtient le Diplôme Supérieur de Dessin et d’Arts Plastiques. Fixé dans le Lot depuis plusieurs décennies, il connaît bien Cahors où il a terminé sa carrière d’enseignant…

Etienne Baux est professeur agrégé d ‘histoire au lycée Clément Marot de Cahors, chargé de cours à l ‘université de Toulouse le Mirail. Il est membre de la Société des Etudes du Lot et participe à de nombreuses conférences sur l’histoire de son département.

Contes et légendes du Quercy

Vaste ensemble de plus de cent récits où le sacré et le merveilleux surgissent du quotidien. Les clés sont dans le Petit vocabulaire merveilleux qui explicite le langage des légendes, leurs symboles, leurs sources mythiques et religieuses, les croyances populaires qui les nourrissent ; qui nous présente aussi le petit peuple des dracs, des fatsilières, des fées, des saints locaux, des génies invisibles. Une synthèse introductive met en évidence la richesse multiforme du légendaire, détaillant les influences successives qui l ‘on fait évoluer au fil des courants culturels et sociaux de chaque époque.
L ‘auteur, Jean-Luc Obeirener, dont le nom est intimement associé à la revue Quercy Recherche ainsi qu ‘au Musée ethnographique de Cuzals est également spécialiste d ‘architecture rurale.

Peter Amici

L ‘auteur se penche sur le style du peintre et tente d ‘analyser les caractéristiques de cet artiste qu ‘il appelle un « dessinateur naturel « . Peter (1) vit un crayon à la main ; il note et transpose tout ce qui l ‘entoure en un dessin d ‘une fraîcheur réjouissante. Sa curiosité pour le monde des plantes, des animaux, des minéraux, mais aussi des structures humaines le tient toujours en haleine.
(1) Peter Amici est né en 1941 à Neuekirch en Suisse

Lot Travels through a limestone landscape in southwest France

Une èdition revue et corrigée d ‘un guide classique du Lot

Ecrit avec autorité et discernement par un auteur qui connait intimement le pays, voici le guide le plus complet et détaillé sur Le Lot jusqu ‘à présent publié en anglais.

Mais ce livre est bien plus qu ‘un guide. Il explore en même temps les forces qui ont modelé Le Lot d ‘aujourd ‘hui.

Ce livre de Helen Martin est le compagnon essentiel pour ceux qui connaissent et aiment Le Lot et le manuel élémentaire pour ceux qui vont le visiter pour la première fois.

Quatre saisons en Quercy blanc

Partir/revenir : qu’est-ce qu’on perd_? qu’est-ce qu’on gagne_?
Sans qu’il se pose explicitement la question, c’est pourtant cela qui va bousculer Nicolas de retour, par inadvertance, dans son Quercy natal…
Tout a changé au village, bien sûr_! Sans compter les complications imprévues qui vont l’obliger à prolonger son séjour pour les besoins d’une enquête. Qui a tué Lili, la jeune et ravissante amie de Magali_? Pourquoi le vieil Émile se terre-t-il chez lui quand il ne divague pas, errant dans les causses déserts_?
L’alibi que Pauline a fourni à son volage mari ne serait-il que diversion pour préserver leur florissant commerce_? Nicolas saura-t-il entendre la leçon de sagesse toute britannique de John Lester_?
Que choisir_: la Norvège ou le Lot_? La blonde Anna ou la brune Magali_?
Quatre saisons, déroulant les beautés secrètes et préservées de la campagne quercynoise, ne seront pas de trop pour que Nicolas mûrisse sa décision…

LA TRUFFE SUR LE SOUFFLÉ

Il est des hommes qui, par leur talent et leur culte de l’amitié, jalonnent admirablement la vie de leurs contemporains. Alexis Pélissou est de ceux-là. La moustache toujours conquérante, la pupille malicieuse, le verbe haut et coloré, il a hissé la table du Gindreau, l’une des Bonnes Tables du Lot, au premier rang de la culture truffière.
Il s’était promis ce livre en compagnie de Jean-Pierre Alaux comme un acte de foi partagé. Foi dans la truffe noire enivrante, odorante que la terre engendre pour sublimer la cuisine française, foi dans un métier voué à l’entière satisfaction des autres et à l’art de procurer du plaisir du bout de la fourchette ! Ensembles, les auteurs dévoilent les mystères du diamant noir et l’itinéraire singulier de notre grand chef.

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