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PUY-L ‘EVEQUE

De vieille souche puy-l ‘évêquoise, j ‘ai voulu faire connaître mon village et faire partager mon amour pour ses vieilles pierres. Fièrement accroché à son éperon rocheux, au milieu de l ‘aire de production du vin de Cahors, le village médiéval de Puy-l ‘Êvéque se reflète dans les eaux calmes du Lot et mérite une visite approfondie.
Guide de visite et livre d ‘histoire, cet ouvrage devrait satisfaire la curiosité du lecteur parcourant ses vieux quartiers et découvrant les bâtiments les plus intéressants de la partie rurale de la commune. L ‘histoire locale, replacée dans le contexte national, montre comment ses habitants se sont adaptés a l ‘évolution de leur environnement et à l ‘arrivée du XXIe siècle.
Une abondante documentation me permet aujourd ‘hui de présenter de très nombreuses reproductions, notamment des photos dont certaines datent du XIXe siècle.
Au XVIIe siècle, La Bruyère écrivait « Il y a des lieux qu ‘on admire, il y en a d ‘autres qui touchent et où on aimerait revenir ».
Mon but sera atteint si je contribue à ce que Puy-l ‘Évêque soit l ‘un d ‘entre eux.

Jacques Mayssal

CE QUE TA PLUME VOUDRA

Qui est cette mystérieuse Séléna qui, un beau jour, débarque dans la vie paisible d ‘Alexandre ? L ‘espace et le temps n ‘obéissent plus aux règles. Son immeuble, en pleine nuit, perd un étage. Séléna est-elle, comme elle l ‘affirme, la fille d ‘Alexandre? Fantastique et poésie s ‘entre-mêlent pour apporter une réponse inattendue.

LE GOÛT DU LARGE

Le goût du large revêt, pour les différents de ce recueil de nouvelles, des aspects bien différents. Acteur ou victime, aucun d ‘eux n ‘en ressortira indemne. La pingrerie d ‘un mari, l ‘avertissement d ‘une araignée, un dentier égaré, un téléphone à remonter le temps, le décès subit d’une maquerelle, des livres qui prennent la poudre d’escampette … autant de déclencheurs qui entraîneront l ‘auteur vers des voies qu ‘il n ‘envisageait raisonnablement pas d ’emprunter.

A L ‘HEURE OU LES OMBRES S ‘ALLONGENT

Quarante nouvelles, nées de faits divers accumulés depuis plus d’une décennie, vont vous entraîner sur les routes automnales du Portugal avec José, en quête de son passé ; sur des co-teaux embaumant les herbes sauvages avec Antonella, l’intrépide bohémienne italienne ; dans le parc d’une ville balnéaire de la côte atlantique française où les visiteurs, depuis quelque temps, agissent étrangement.
Les cloches du libidineux Giuseppe ne sonnent désormais plus, alors qu’une horloge municipale sème la discorde…La cupidité d’une famille galicienne n’a d’égal que l’ingéniosité de Luigi et Alberto, les deux voleurs à la tire. Le train de vie de Phillis Fogden ne croisera jamais celui de l’illuminé Pierre Letourneur et pour cause. Le strip-tease public d’un conseil municipal sauvera-t-il de la ruine la chapelle sanctuaire de sainte-Hélène ?
Pour retrouver ses premières amours, Lady Michelle n’emprunte pas, et de loin, le même chemin qu’André et Daniel. Le machiavélisme féminin d’Olga et de Shirley Mac Adams ne doit rien à la goujaterie d’Hubert de Galati. Qui pourrait entraver l’amour indéfectible de David et Stefania ?
Tous ces personnages, et bien d’autres, illustrent, chacun à leur manière, la phrase de Jean Giraudoux :

Les êtres ne se dérangent dans la vie que pour vous apporter des leçons, des signes ou des devoirs.

LES DÉBUTS
DE L ‘INSTRUCTION PRIMAIRE

Les racines de l ‘école :

Décrire la genèse de l ‘Institution scolaire en Haut Quercy, durant le XIXe siècle, a exigé une curiosité persévérante et a suscité aussi de l ‘émotion tant l ‘école est une expérience partagée.

Cette véritable archéologie-généalogie, au coeur des valeurs éducatives, a interrogé la mise en place précoce de l ‘école publique de garçons, la négligence à Fégard de l ‘instruction des filles, le statut des maîtres et des maîtresses, les contenus d ‘enseignement fondés sur la trilogie lire, écrire, compter sans oublier l ‘unification du pays par une langue commune et un projet historique…

Elle a révélé en même temps des couleurs et des identités communales fortes et anciennes.
Pour les plus âgés d ‘entre nous, ce retour sur un passé, à la fois proche et éloigné, nous parle charnellement.

Pour les plus jeunes, il dévoile des étapes qui tracent toujours, un combat face à d ‘autres formes d ‘ignorance ou de soumission.

1914-1918 Les lotois dans la grande guerre

Auteurs : Sophie VILLES, Didier CAMBON

Plus de quatre-vingt-dix ans après que le canon s’est tu, la Grande Guerre continue d’habiter la mémoire des Européens. Cette guerre, la Première guerre contemporaine, s’est imposée dans la mémoire collective comme l’événement fondateur du XXème siècle.

Dans ce cataclysme qui a mis aux prises l’ensemble des nations industrialisées mais aussi les peuples colonisés, quels sacrifices ont consentis les Lotois à la culture de guerre nationale ?

Cet ouvrage s ‘attache à travers de nombreux témoignages inédits à faire revivre l’expérience de guerre et la ténacité des poilus du Quercy. Il nous renseigne aussi sur les enjeux qu’imposait à l’arrière cette crise sans précédent qui a vu la guerre s’immiscer durant cinquante-et-un mois dans le quotidien de chaque famille lotoise.

Cahiers Historiques du Grand Cahors (Bibliothèque Patrimoniale et de Recherche)- Format : 14 x 22 cm – 200 pages – Juillet 2010 – 12 euros

TOME 1 : LES POILUS

DÉSERTEURS, INSOUMIS, RÉFRACTAIRES EN QUERCY

Un de vos ascendants a inexplicablement disparu, toutes vos recherches se sont avérées infructueuses, votre arbre généalogique est menacé d ‘amputation ! Où est donc passé ce cher absent ? Cette question demeurant sans le moindre embryon de réponse vous obsède…

Et s’il avait déserté ? Autrement dit abandonné son régiment, sans tambour ni trompette, et filé à l’étranger ? Comment savoir ?

L’A.R.H.Fa publie un numéro hors série, ainsi titré, relatif à cette question, comportant une liste de plus de mille soldats originaires de notre département, (1077 exactement) ayant fait acte de désertion ou d’insoumission durant la période comprise entre 1870 et 1913 et dont les noms, prénoms, dates, lieux de naissance sont fidèlement rapportés, ainsi que les noms, prénoms et lieux de résidence des parents de chacun d’eux.

D’autres, en presque aussi grand nombre, acteurs directs ou indirects d’actes ou de tentatives de désertions antérieurs à cette période ont également leurs noms cités au hasard des évènements auxquels ils furent mêlés.
Pourquoi refusait-on en aussi grand nombre à se soumettre aux obligations de la loi, pourquoi enregistrait-on tant de défections, insoumis et déserteurs confondus ? Cette étude répond aussi à cette question et révèle les méthodes, parfois violentes, employées par les jeunes conscrits, souvent aidés de leurs parents, pour ne pas revêtir l’uniforme.

Voir la liste et les tarifs des publications de l ‘ARHFa : http://www.arhfa.org/

GLISES ROMANES EN PAYS MARTELAIS

Martel au centre d’un réseau d’églises romanes

Quinze églises situées dans les communes de Cazillac, Creysse, Cuzance, Gignac, Martel, Montvalent et Sarrazac, de caractère différent, modestes mais pleines de charme ou plus riches et plus ornées, offrent, en effet, un vaste panorama des édifices religieux construits dans ces lieux entre le Xe et le XIIIe siècle.
Pour les amoureux de l’art roman ou, tout simplement, les curieux, habitants de la région et touristes, l’Association Rencontres et Patrimoine en Pays Martelais a voulu mettre au point un ouvrage à la fois documenté, clair, agréable à lire grâce à de plud de deux cents illustrations, facile à consulter et à transporter, contenant des notes pratiques, notamment les modalités des visites.
A ceux qui auront la curiosité de se rendre sur ces différents sites nous espérons apporter quelques informations utiles et leur souhaitons, au cours de leurs promenades, d’apprécier une région qui offre des plaisirs simples mais de grande qualité.

En vente Maison de la Presse de Martel ou peut-être commandé auprès de l ‘Association (adresse Mairie de Martel 46600 Martel)

EN DEVANTURE

Photographies Léon Bouzerand

Textes et entretiens de Jean-Louis MARRE,
Jean-Louis NESPOULOUS et Christian CAZARD

Textes de Jacques BOUZERAND

FRONTENAC

Pour sa quatrième monographie Jacques Bouquié nous fait revivre la vie d’un autre village de la vallée du Lot, Frontenac, qui entre ses voisins envahissants, Saint-Pierre Toirac et Faycelles, tente de faire sa place sur le bord de la rivière. Plus petite commune du canton avec 284 ha il fut depuis la nuit des temps sous le contrôle de l’abbé de Figeac. Havre de paix et de tranquillité les nobles et riches bourgeois de Figeac y trouvaient le bon air qui leur manquait dans la ville traversée par un canal bordé d’échoppes de tanneurs aux rejets nauséabonds. C’est ainsi que l’histoire de Frontenac est riche depuis les temps les plus anciens puisqu’il peut s’enorgueillir de vestiges romains. Comme dans chaque village les habitants ont écrit la grande et la petite histoire par leurs malheurs et bonheurs au cours des siècles, nous les voyons vivre au fil des pages jusqu’à nos jours. Petites chamailleries, grosses disputes et même assassinats s’enchainent pour nous livrer tous les secrets et anecdotes parfois savoureuses. Résolument tourné vers l’avenir il reste le village où il fait bon vivre.

LES VERGERS DE LA VICOMTE

Des années 800 jusqu’à la date de 1738, la Vicomté de Turenne fut un territoire quasiment indépendant. Elle réunissait des contrées contrastées autour de la puissance vitale de la Dordogne.

Ce livre peut se lire comme un guide et un carnet de voyage où le regard se focalise avant de s’ouvrir à l’ampleur panoramique, mais aussi comme une promenade littéraire en compagnie notamment de Maynard, Fénelon, Loti, Colette, Vitrac, ou encore et plus particulièrement comme une approche des lieux à l’aune de l’imaginaire. En effet, ces pages voudraient faire partager la conviction que la découverte du paysage est une conquête sur les routines du regard et une exaltante aventure intérieure.

EXTRAIT : …Rares sont les contrées où se trouvent rapprochées et mêlées tant de beautés naturelles ou créées de la main de l’homme, de la pleine lumière du Quercy aux ombres des ravins de la Xaintrie, des maisons de calcaire et de tuiles légères aux demeures de granit étroitement liées aux lauzes de micaschiste, des cazelles subtilement déclinées du causse aux vastes granges-étables à porche des plateaux corréziens, tandis qu’à l’intérieur du triangle dessiné par les Tours de Turenne, de Saint-Laurent, de Merle, s’élève Castelnau, dans sa fière insularité. L’art sacré, à Carennac, Beaulieu, Saillac, l’architecture civile, à Collonges-la-Rouge, Curemonte, Saint-Céré, Martel, Argentat, mêlent la variété de la pierre et des styles.

LE LOT C ‘ETAIT HIER (1907-1957)

Poursuivant ses recherches à travers la presse régionale, l ‘auteur nous fait découvrir le département du Lot tel qu ‘il pouvait être observé à cette époque. Après las années 1806 à 1906, au cours desquelles nous avons dû effectuer un retour important en arrière, il étudie la période 1907-1957, plus proche de nous mais très riche en histoire et donc tout aussi captivante. Une occasion, quoi qu ‘il en soit, d ‘éveiller notre curiosité.

JAMBLUSSE AUTREFOIS

Village situé au sud-est du lot, ayant un statut de paroisse dès le Moyen-Âge et de communauté bien avant la Révolution, Jamblusse appartient au canton de Limogne et à la commune de Saillac.
La proximité de l’ancienne Commanderie de Templiers de Lacapelle-Livron (82) a fait que cette paroisse a été assujettie à cette
institution dès le XIIe siècle. Les curés de Jamblusse ont été choisis par cette Commanderie jusqu’à la Révolution, l’évêque de Cahors se
bornant à signer les nominations. Le hameau de Crouzelles est une annexe de la Commanderie.
Jamblusse a connu un événement majeur qui a raréfié sa population vers 1350. Au sortir de la guerre de Cent Ans il est désert.
Trois familles le repeuplent. Leur généalogie est évoquée dans plusieurs pages du livre.
Aux 15e et 16e siècles le bourg s’est reconstruit lentement mais a fini par connaître une certaine prospérité et une démographie assez
stable dans le temps avec une population de 200 à 250 personnes à laquelle il faut ajouter celle des écarts.
La vie communautaire aux 17e et 18e siècles est faite de relations parfois tendues avec le seigneur laïque. La seigneurie, aux Bérail dès le 13e siècle, est passée aux Lestang de Pomayrols, aux Marsa et enfin aux Lafon-Dejean de Saint-Projet.
La Révolution a mis dans l’embarras quelques habitants et même jeté l’un d’eux en prison. Les
deux siècles qui ont suivis cette période mouvementée sont riches d’anecdotes et d’événements nombreux dont seuls les plus marquants ont été retenus.
Dans ses confins de l’ouest, Jamblusse a hébergé des nobles, notamment des verriers à Pech-Sec.
L’histoire de ce domaine noble mais aussi de celui d’Aubrelong est racontée dans ce livre. Comme Jamblusse, ces domaines jouxtent Cantayrac. Ils sont, maintenant occupés par le Camp militaire de Cantayrac. Comme Jamblusse, ils contribuent à des réflexions sur la vie gallo-romaine, gauloise et peutêtre même préhistorique qui a pu être attestée en ce lieu de Cantayrac.

Jean-Claude PORTAL, passionné d’histoire locale, est licencié ès Sciences économiques.

TABLE DES MATIÈRES :

Etymologie
Géographie
FAITS HISTORIQUES DIVERS ENTRE 1250 ET 1450
1259-VERS 1345 : PÉRIODE PROSPÈRE
VERS 1345-1441 : CALAMITÉS
LE REPEUPLEMENT
1448 : LA VIE
MENTION DU REPEUPLEMENT DE JAMBLUSSE
LA FAMILLE DU SEIGNEUR QUI A INITIÉ LE REPEUPLEMENT
LES PIONNIERS
PARTAGE DU LIEU ET NOM DES TERROIRS A LA FIN DU XVe SIÈCLE
L ‘APPROPRIATION DES TERRES PLUS ÉLOIGNÉES DU BOURG
L ‘ORIGINE DES COLONS : UNE HYPOTHÈSE
L ‘EGLISE DE JAMBLUSSE
1477 : RÉEMPLOI DE L ‘ÉGLISE
RÉPARATIONS DE 1833 ET 1854
L ‘INCIDENT DE 1900
ANNEXE À L ‘ÉTUDE DE L ‘ÉGLISE
XVIE SIECLE : UN TRESOR D ‘ARCHIVES
RÉGÉNÉRATION DE JAMBLUSSE
LES SANGLIERS ET LES LOUPS
LES COCHONS VAGABONDS DU SEIGNEUR
LA RECONNAISSANCE DE 1525
LA QUESTION DE LA PESTE
QUE DIRE DE L ‘INSTRUCTION
TÉMOIGNAGE D ‘UNE CERTAINE PROSPÉRITE
APPARITION DE QUELQUES PATRONYMES NOUVEAUX
LE CAS DES ESCUBERTS
GUERRES DE RELIGION
XVIIE SIECLE : SEIGNEURIE ; POPULATION ; EVENEMENTS PUBLICS ; SENAILLAC
LES SEIGNEURS APRÈS LES BÉRAIL
QUELQUES FAMILLES ET NOMBREUX SURNOMS
UN VENDEUR NOBLE
LE PROCÈS DES COCHONS
DÉMOGRAPHIE ET PESTE AU XVIIe SIÈCLE
QUELQUES ÉVÈNEMENTS PUBLICS DE LA FIN DU XVIIe SIÈCLE
SÉNAILLAC
XVIIIE SIECLE : VIE SOCIALE ; CROUZELLES ; CANTAYRAC
PROFESSIONS NON AGRICOLES
LES MÉTAYERS DES DAVY. BOURGEOIS DE VERS
CROUZELLES AU XVIIIe SIÈCLE
CROUZELLES ET LA COMMANDERIE DE LACAPELLE-LIVRON
PROSPÉRITÉ D ‘ENTREPRENEURS DE MÉTAIRIES : LES AYMAR DE BOUTAYRAC
LES PLUS ANCIENS AYMARS
LA PAUVRETÉ AU XVIIIe SIÈCLE
UNE « ÉLECTION » DE CONSULS
LES PACAGES À CANTAYRAC
JAMBLUSSE A LA REVOLUTION
PERSISTANCE DE LA PAUVRETÉ
PERSISTANCE DU PROBLÈME DES HERBAGES À CANTAYRAC
LA VENTE DE CROUZELLES
LA COMMUNE DE BOUTAYRAC…
JOSEPH ROQUES ET LE CURÉ DE JAMBLUSSE
XIXE ET XXE SIECLES : QUELQUES EVOCATIONS
PLANS NAPOLÉONIENS DU VILLAGE
QUELQUES ÉVÈNEMENTS PUBLICS
ANECDOTES LIÉES À L ‘ECOLE DE JAMBLUSSE
QUELQUES PÉRIPÉTIES DU XXe SIÈCLE
PETITE HISTOIRE D ‘AUBRELONG
LES CHARTREUX
GÉOGRAPHIE DU DOMAINE
LES DADINE
CHÂTEAU XVIIe
SUCCESSION DIFFICILE À AUBRELONG
INCIDENT À AUBRELONG
LES SEIGNEURS LACOSTE
LES CLEFS D ‘AUBRELONG
UN TRÈS GRAND DOMAINE
LA VENTE D ‘AUBRELONG
LE « MAÎTRE D ‘AUBRELON »
AUBRELONG AU XXe SIÈCLE
PETITE HISTOIRE D ‘AUBRELONG
LES CHARTREUX
GÉOGRAPHIE DU DOMAINE
LES DADINE
CHÂTEAU XVIIe
SUCCESSION DIFFICILE À AUBRELONG
INCIDENT À AUBRELONG
LES SEIGNEURS LACOSTE
LES CLEFS D ‘AUBRELONG
UN TRÈS GRAND DOMAINE
LA VENTE D ‘AUBRELONG
LE « MAÎTRE D ‘AUBRELON »
AUBRELONG AU XXe SIÈCLE
JAMBLUSSE ET LE SITE GALLO-ROMAIN DE CANTAYRAC
LA « VERRIÈRE » DE PECH-SEC
PECH-SEC APRES LES VERRIERS
LE SITE DE SAINT-ALBY
L ‘OPPIDUM DE CANTAYRAC
SINGULARITÉS DANS LE VOISINAGE DE L ‘OPPIDUM
LA CHAPELLE DE SAINT-ALBY
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
ANNEXE I COMPLÉMENTS DU FONDS D ‘ALAUZIER (ADL)
ANNEXE II RENSEIGNEMENTS GÉNÉALOGIQUES DIVERS
ANNEXE III : LES VERRERIES DITES VERRIÈRES
ANNEXE IV : 1669-1700 RENSEIGNEMENTS PAROISSIAUX
ANNEXE V LA CENSIVE DE JAMBLUSSE

UN CAMP RETRANCHÉ EN FRANCE

Le Lot comme vous ne l ‘avez jamais vu ! Jean-Pierre Otte rend un hommage littéraire et pittoresque à cette contrée marginale devenue depuis un siècle le pays d’élection de nombreux artistes et écrivains.

Sous forme de chroniques regorgeant d’anecdotes drôles et savantes, Jean-Pierre Otte se penche sur la région où il a élu domicile depuis plus de vingt ans. Louant non seulement la beauté du paysage, la majesté du Causse, l’auteur dévoile aussi la magie, les zones d’ombre, l’isolement, le côté sauvage et surréel de ce lieu protégé de l’invasion touristique, comme de la spéculation immobilière. Sous la plume de l’auteur, le Lot devient alors une contrée exotique et fascinante, dont le canton méconnu de l’Arnal semble représentatif à maints égards. Notamment pour sa population éclectique, divisée en trois groupes. Commençons par les autochtones. Reliés au sol, au climat et aux bêtes, leurs préoccupations terriennes semblent rythmer leur vie entière. Il s ‘avère pourtant que les mœurs paysannes sont bien plus libertines et divertissantes que ne l ‘imaginent les citadins. Ou que d ‘autres passions régissent leur existence, comme dans le cas de ce cultivateur passionné d’égyptologie, obsédé par les les premiers hiéroglyphes et leur ressemblance avec les symboles de la nature. Vient ensuite le cercle des « parachutés », ces réfugiés volontaires « apatrides », le plus souvent excentriques. On y trouve ainsi un homme qui soigne sa manie de la persécution en étudiant les mathématiques, un chercheur du CNRS reliant les mythes anciens à l’astronomie, une prostituée vivant dans les bois, un Américain venu avec une valise vide et un perroquet sur l’épaule, un travesti nostalgique, un peintre et une botaniste vivant dans une yourte mongole. Ils ont en commun d’être différents. Tous ont trouvé dans l’Arnal leurs vraies racines. Le troisième cercle est composé de nomades. Depuis qu’une longue tradition d’asile s’est perpétrée dans la région, l’Arnal sert de cachette pour toutes sortes de fugueurs, de clandestins, de déserteurs, qui disparaissent aussi mystérieusement qu’ils sont apparus. Parmis ceux qui ne font que passer, on trouve aussi des convalescents, chez qui s ‘opèrent parfois des miracles, comme pour ces suicidaires qui repartent guéris de leur désespoir. Vient enfin une dernière frange de cette population qu’on nomme touriste, souvent anglaise, à la peau blanche couverte de taches de rousseur, amoureuse des vieilles pierres et amatrice de bons vins, à qui il faut néanmoins beaucoup de patience pour se faire accepter. Et lorsque Jean-Pierre Otte et ses voisins ont la bonne idée d ‘organiser chez eux des cycles de conférences ouverts à chacun, la vie dans l ‘Arnal devient pour cette drôle de communauté une véritable université de tous les savoirs. C’est enfin dans cette belle commune que l’auteur fait la connaissance de celle qui deviendra sa femme, Minna, écrivain comme lui, et pour ajouter à l’originalité du tout, spécialisée dans le roman préhistorique ! Pour vivre heureux, vivons caché, professe le dicton. C’est en lisant ce livre que l’on comprend en quoi la notion de marge peut coïncider, parfois, avec celle de bonheur. Mais, surtout, ne le dites à personne. Seuls les initiés sont admis.

Jean-Pierre Otte est né dans les Ardennes en 1949. Avide de savoir, il étudie des disciplines aussi diverses que la biologie, la physique, la philosophie et les mythologies du monde. Spécialiste des mythes de la création, il s’adonne aussi à la botanique et à l’observation des insectes. Installé depuis 1984 dans le Lot, il vit entouré d’animaux familiers. Écrivain, conteur, conférencier et peintre, il est un des auteurs les plus originaux de notre époque.

LE DEUXIEME REGARD

C’est un vrai coup de coeur qui pousse Élise à quitter le tourbillon parisien pour s’installer à Céniac, au coeur du Parc régional des Causses du Quercy, dans le Lot de son enfance.
Depuis toujours, elle élève seule sa fille Sam, atteinte d’une maladie génétique.
Incompréhension, disgrâce, exclusion, solitude, la fillette a toujours eu du mal à se mêler aux autres et Élise espère que l’authenticité des gens de la campagne facilitera leur intégration.
Partir pour changer de vie, prendre un nouveau départ, réapparaître tel que l’on est vraiment, façonner le regard des autres… Élise le veut et elle y croit, mais peut-on se dérober à sa propre histoire ?
Les choses ne sont pas si simples et leur présence va perturber la vie de ce petit village qui semble figé dans un passé douloureux et compliqué. Sans le vouloir, Élise et Sam réveillent de vieux démons endormis. Émile, un vieil homme bizarre et effrayant de solitude semble les épier sans relâche depuis leur arrivée. Que cache-t-il ? Leur veut-il du mal ?

L ‘auteur : Née en 1963 dans une petite ville du Lot, Fabienne Baynat est revenue vivre à Cahors en 2000. Après vingt ans passés dans l’industrie pharmaceutique, elle décide en 2009 de tout plaquer pour explorer de nouveaux
horizons.
Le regard des autres est au coeur d’une oeuvre naissante, nourrie d’une écriture sensible et pudique.
« Le Deuxième Regard » est son premier roman. L’histoire se déroule dans un petit village du Parc régional des Causses du Quercy.
Deux autres romans sont en réécriture.

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