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LES ORTIES POUSSENT PRES DES MAISONS

En ces années 1940, où la campagne quercynoise découvre lentement le drame de l ‘Occupation, le parcours du jeune René est semblable à celui du Lot ; des calmes plaines du bonheur familial aux roches abruptes de la souffrance et du drame, il suit la courbe sinueuse d ‘un destin ordinaire, où tout se décide ailleurs. La souffrance est dans cet ailleurs, insaisissable et omniprésent ; cet ailleurs irritant comme le piquant des orties, dès qu ‘il quitte le havre chaud de la maison.
Ecrit sur le ton de l ‘autobiographie, ce roman, qui a la solidité des choses et des hommes de la terre, séduit d ’emblée par son style fluide et cependant pétri de langue d ‘oc jusque dans sa syntaxe. Récit tout à la fois pudique et poignant, tissé de rêves et de révolte, Les orties poussent près des maisons narre les événements forts et les moments paisibles d ‘une enfance où transparaissent la sensibilité et l ‘amour du pays natal. Mais cet hymne à la vie et à la mort, à la terre et au soleil nous entraîne aussi dans le lent glissement de l ‘Histoire.

L ‘AUTEUR : Né dans un petit village du Lot en 1935, René La Borderie est actuellement responsable d ‘un secteur pédagogique de l ‘Education Nationale, tout en assurant la gestion d ‘un petit domaine viticole en Premières côtes de Bordeaux. Auteur de nombreux ouvrages techniques sur l ‘enseignement et la communication ainsi que de contes pour enfants, il nous livre ici, avec son premier roman, les clés d ‘un nouveau regard sur l ‘enfance.

ROCAMADOUR, LE SANCTUAIRE ET LE GOUFFRE

Rocamadour attire de toute l’Europe fidèles et pèlerins autour de son sanctuaire de la Vierge Noire, à mi-hauteur du grand rocher du Val d’Alzou. Ce ruisseau, qui a la particularité d’être intermittent, donne à la vallée des couleurs d’oasis.
Cette ville médiévale est secrètement entourée par un défilé, le “Val Ténébreux” et par deux gouffres en aval : Cabouy et Saint-Sauveur. Le second éveille plus particulièrement l’idée de l’insondable.
Ces lieux saisissants, générateurs d’expériences originaires comme l’effroi et la fascination, environnent d’étrangeté un sanctuaire conçu comme un théâtre de pierre qui magnifie les volumes initiaux du canyon et comme une pensée théologique invitant, à travers la riche histoire du pèlerinage, à une double postulation chrétienne : l’élévation et le recueillement.

Gilles Lades est né en 1949 à Figeac. Il vit et travaille dans le Lot. Prix Antonin Artaud 1994.

ENIGME EN QUERCY

Dans un petit village paisible du Quercy, la vie quotidienne des habitants se trouve bouleversée par le meurtre du maire.
Fred Goupil, un inspecteur venu spécialement de Cahors, charge le narrateur, un romancier nouvellement installé dans la région, de l ‘aider dans son enquête.
La mort subite d ‘un quinquagénaire du village survenue peu avant serait-elle une nouvelle énigme ? Dans ce lieu si calme ordinairement, pourquoi, tout à coup, un meurtrier sème-t-il la peur et la suspicion ?
L ‘inspecteur et l ‘écrivain vont se lier d ‘amitié, et ils découvriront, sur fond de senteurs du Quercy, de repas de chasse, de vendanges, de cueillette de mûres ou de cèpes, les amitiés et inimitiés de personnages attachants.
Au fil des pages, des rumeurs et des souvenirs surgiront, et les paysages inoubliables du Lot serviront de cadre au déroulement d ‘une enquête à rebondissements.

BALADE EN TOPONYMIE SAULIACOISE

HISTOIRE D’UNE PAROISSE RURALE
DU QUERCY

Ramener à la lumière du présent des parcelles de vies, voilà sans aucun doute une noble action. C’est la tâche, qu’il qualifie lui-même de « plaisir », à laquelle Henri Renault consacre la majeure partie de son temps. Sa dernière monographie « Histoire d’une paroisse rurale du Quercy » est consacrée à son hameau de résidence, Pasturat et son Causse. Ce volet consacré plus particulièrement au travail des hommes, des femmes et des enfants depuis la fin du XVIIe siècle témoigne de l’ingéniosité et de l’opiniâtreté de ces paysans pour subsister dans une vie sans horizon. Sur plus de 100 pages, textes, croquis et encarts décrivent avec force détails le quotidien d’une population vivant presque en autarcie.

CAHORS, LE ROMAN DU VIN NOIR

Tout au long de l’ouvrage, Jean-Charles Chapuzet, nous invite à résoudre l’énigme du vin noir. Le sol, les hommes, l’histoire, les idées, le travail, le climat, autant d’indices à recouper pour avancer dans un parcours initiatique qui plonge le lecteur dans cette vallée du Lot pleine de légendes et de mystères. Extrait : “L’histoire du vin noir de Cahors s’apparente à ces fameux méandres qui dessinent le Lot et sur lesquels est venue se greffer l’appellation. Ce bout de terre impénétrable dissimule bien des secrets, à commencer par la teinte de son vin, profonde, ébène… ”

Cet ouvrage est autant le récit d’un vignoble, d’un pays qu’un hommage à l’abnégation de ses paysans qui, sans relâche, ont survécu à toutes les vicissitudes des siècles passés. Jean-Charles Chapuzet, grâce à son regard d’historien et à son talent de romancier, nous offre une histoire de terre, de courage et de passion particulièrement vivante. Son livre fait le lien entre l’histoire passée ici racontée, et celles que les vignerons et négociants de Cahors écrivent aujourd’hui…Cahors is back, Cahors is black

C ‘est le 3 mai 2008, lors de la très populaire fête du vin de Cahors, à Albas, que Jean-Charles CHAPUZET, journaliste et écrivain, a présenté en avant-première cet ouvrage. Le 17 mai,une journée présentation et signature, a été organisée à la librairie Calligramme, rue Joffre à Cahors.

« Une chose est sûre, il faut se perdre dans l’épaisse et silencieuse brume matinale qui nappe inlassablement les méandres du Lot pour accéder à la lueur du Quercy. Ce bout de terre impénétrable dissimule bien des secrets, à
commencer par la teinte de son vin, profonde, ébène… A force de persévérance,
saupoudrée d’un peu de chance, espérons-le, nous parviendrons à résoudre l’énigme du vin noir… Rien n’est moins sûr !
Le sol, les Hommes, l’Histoire, les idées, le travail, le climat, autant d’indices qu’il nous faut recouper, apprécier, confondre pour prendre le pouls d’une région, au risque de s’y égarer. Cela relève d’un parcours initiatique qui
nous plonge dans les affres du temps, dans ses innombrables cavités, recoins, caches, pour comprendre cette vallée du Lot, cumulant ses légendes et ses mystères tels des cartons d’archives qui s’empilent, ficelés de toiles d’araignées.
Cotés sur la place de Londres au XIIIe siècle, brimés par les Bordelais durant les décennies suivantes, connaissant leur âge d’or sous le Second Empire, loués par Alexandre Dumas, les vins noirs de Cahors ont connu le pire comme le
meilleur. A toutes ces époques, en filigrane, la région reste un labyrinthe de pouvoirs, d’appétits, aussi bien temporels que spirituels, d’évêchés en coseigneuries, des chevaliers aux archiprêtres. C’est dans cette ambiance que les
vignerons se sont battus pour vaincre l’enclavement, maîtriser leur réseau
hydrographique, leur géographie abrupte. Ils ont résisté aux guerres de religion, au phylloxéra, à la concurrence de leurs voisins languedociens ou girondins. Le noir s’est invité aux messes orthodoxes, a conquis Paris dans les années 1980,
failli sonner le glas à l’aube de ce même siècle. Rejoignant la cour des grands dans les années 1970, le vin de Cahors revient de loin. Sa vie relève du roman,du drame à l’euphorie, de la gloire au désenchantement. Rien n’est jamais acquis dans ce Quercy…
Bref, l’histoire du vin noir de Cahors s’apparente bien à ces fameux méandres qui dessinent le Lot sur lequel est venu se greffer l’Appellation.
Temps de malheur, tant d’espoir… Ce livre est autant le récit d’un vignoble, d’un pays qu’un hommage à l’abnégation de ses paysans qui, sans relâche, ont survécu à toutes les vicissitudes des siècles passés. Il leur est dédié. »
Jean-Charles CHAPUZET, Historien, écrivain-essayiste, journaliste

UN SIECLE D ‘ENSEIGNEMENT EN PAYS MARTELAIS (1850-1950)

Evoquer un siècle d’enseignement à Martel (1850-1950), c’est tout à la fois marquer le passage d’une instruction souvent réservée à la partie la plus favorisée de la population, à un enseignement public dispensé plus également.
C’est aussi évoquer le passage, parfois moins conflictuel qu’on ne le croit, d’une école congréganiste à un enseignement laïque dont on ne peut nier les effets bénéfiques.
C’est enfin, pour nombre d’entre-nous, retrouver les souvenirs de nos jeunes années ou ceux de nos parents.
Le colloque organisé en 2005 avait pour objet d’évoquer la situation du « Pays Martelais » et les difficultés de communes sans grands moyens financiers, écartelées entre les convictions de leurs habitants, mais attentives aux progrès à accomplir pour favoriser le développement des jeunes générations. Il offrait aussi l’occasion de dresser le portrait de quelques enseignants passionnés par la mission dont ils se sentaient investis.
Au moment où l’on s’interroge sur le fonctionnement de « l’ascenseur social » c’était enfin l’occasion d’analyser les mécanismes de la promotion sociale mis en œuvre à cette époque et le rôle des différents acteurs : pouvoirs publics, enseignants, adolescents. Pourquoi ne pas essayer, aujourd’hui, d’en tirer quelques leçons ?

MARTEL D ‘UNE GUERRE A L ‘AUTRE – 1914-1939

L’histoire de Martel avait fait l’objet d’un premier livre qui conduisait le lecteur de la Révolution à la guerre de 1914. Mais il manquait à ce récit puisé aux sources des archives de la ville, un volet le rapprochant de notre période contemporaine.
Ce constat a conduit l’auteur à étendre ses recherches jusqu’aux prémices de la seconde guerre mondiale. Bien que les documents disponibles soient, sinon moins abondants, du moins plus anecdotiques parfois, il est parvenu à dresser de ce pan d’histoire, traversé par la tragédie de la guerre 1914-1918, mais aussi marqué par la modernisation de la vie quotidienne, un récit propre à rappeler le devenir d’un patrimoine auquel les martelais demeurent très attachés.
Marcel Baleste, agrégé de l’Université, professeur honoraire de classes supérieures au Lycée Henri IV de Paris, est issu d’une famille établie à Martel, où il a conservé sa maison, depuis plusieurs générations.

J ‘ENTRERAI A L ‘ECOLE NORMALE

Martel au début du vingtième siècle a été un centre important de préparation au Brevet élémentaire et au concours d’entrée à l’Ecole Normale.
Comment deux adolescentes de milieu modeste ont-elles pu y suivre des enseignements et réussir ces difficiles épreuves ? Qu’elle a été leur vie entre 1903 et 1924 ?
Tel est l’objet du présent ouvrage qui réunit des souvenirs de Marie-Louise Souilhac et de Suzanne Requier, des extraits de lettres adressées à Marie-Louise et les résultats d’une recherche sur l’Ecole de Jeunes Filles de Martel.
Ces documents authentiques, inédits à ce jour, permettent de faire revivre une période, à la fois proche et lointaine, où « l’asenceur social » a bien existé. Des jeunes filles, ayant un « projet ferme et définitif » ont pu le mener à bien grâce à leur détermination, à leur travail, et à des enseignants d’exception.

LA VIE QUOTIDIENNE A MARTEL AU XIXème SIECLE – 1800-1852

Parler de la vie quotidienne à Martel dans la première moitié du dix-neuvième siècle ? Pourquoi ?
Hormis le livre de Marcel Baleste, on manquait jusqu’il y a peu, d’études sur Martel durant la Révolution et le dix-neuvième siècle. Le colloque organisé en août 2003 s’est efforcé de metttre l’accent sur la vie quotidienne envisagée sous plusieurs perspectives.
Tout d’abord les familles de notables qui régissent la vie municipale et s’y opposent autour d’idées nouvelles qu’illustre la création du journal Le Radical ; puis les données qui permettent d’en mesurer la richesse au travers d’inventaires, inexploités jusqu’alors, ou au vu des maisons qui sonnent à Martel une partie de son charme.
Il était plus difficile d’appréhender la vie des gens modestes. Pour s’en faire une idée, il a fallu interroger ce que l’on sait de leurs activités, de leurs métiers, et donner aux femmes la place qui est la leur.
L’enjeu réel du colloque, dont l’Association Rencontres et Patrimoine en Pays Martelais, créée depuis lors, publie les actes, visait, surtout, par l’examen de l’organisation municipale, de l’aménagement urbain, des modes de construction commentés par des artisans locaux, de l’enseignement, de la vie religieuse et de la place des femmes, à montrer comment les Martelais de la première moitié du dix-neuvième siècle concevait leur ville.

RICOCHETS

Les cercles des ricochets se propagent en
surface, les vibrations en profondeur. Les sons du mot même ricochent. Son origine remonte à une fable du douzième siècle qui répétait le mot coq ou cochet (recochet) et relatait des événements amenés les uns par les autres.
Ici, un texte en introduit un autre par un mot,
une idée, une image… Ils se percutent et se répercutent dans le fantastique ou le quotidien : graves ou ironiques, sérieux ou légers, leurs ondes se prolongeront
par votre lecture.
Parmi ces nouvelles au style savoureux tissé de
tendresse, d ‘humour et de réflexion se glissent quelques contes et textes, à moins qu ‘il ne s ‘agisse des séquences d ‘un scénario…

Colette BROGNIART a écrit quatre romans sur
des sujets divers, originaux, trois recueils de nouvelles, plusieurs recueils de poèmes publiés sous forme de livre d’artistes en collaboration avec des peintres et des graveurs.

LE LIVRE A L ‘ENVERS

Les chapitres en chiffres romains racontent une histoire, les autres commentent, analysent, une sorte de « voix off » comme on dit au cinéma. Mais les choses ne sont pas aussi simples ni aussi tranchées, du reste le livre parle de la difficulté d’être au monde…
Des indices vont se multiplier au détour des phrases, indices ou clins d’œil qui permettent de s’y retrouver ou d’accepter de se perdre dans une approche multiple de la réalité.
Les personnages sont aussi réels, voire plus, que la narratrice « qui souffre d’un défaut d’existence ». A moins qu’ils s’agissent des avatars de l’auteur. Nous pourrions collecter les éléments qui placent en parallèle les protagonistes à travers des scènes cocasses ou troublantes. Ces voix multiples, ces allers retours constituent l’envers des choses et du monde ; similitudes ou variations pour cerner la difficulté d’être et celle de l’écriture qui doit cerner l’odeur du figuier « escarpolée, poivrée et légèrement potelée ».
Le lecteur impliqué devient le seul maître, à lui de redresser le livre et surtout l’univers. Un livre grave, une écriture rare.

La plume du Causse

FENELON

Fénelon aurait pu devenir le Richelieu du nouveau siècle : son intelligence exceptionnelle et sa vision anticipatrice, la confiance que lui accorde le petit-fils de Louis XIV et futur Dauphin – le duc de Bourgogne – l ‘y préparent.

Les Aventures de Télémaque où le public voit une censure du régime font en quelques mois le tour de l ‘Europe ; la Lettre au Roi et l ‘ Examen de conscience rappellent avec audace leurs devoirs aux princes. Fénelon pense les droits des peuples en termes de solidarité ; il est l ‘anti-Machiavel : la morale, parce qu ‘elle est universelle, déborde la politique, et toute son oeuvre d ‘éducation est une critique indirecte de la façon de régner de Louis XIV.
Mais l ‘ambitieux prélat privilégie les chemins spirituels aux allées du pouvoir. Cette attitude paradoxale fut prise pour la posture d ‘un fier jouant les humbles ; elle lui valut la disgrâce royale, les foudres de Bossuet et l ‘exil à Cambrai, supportés comme autant d ‘épreuves sur la voie d ‘une quête personnelle. Vaincu fascinant ses contemporains, Fénelon est ainsi le seul personnage du Grand Siècle qui réchappa aux rayons du Roi-Soleil.

L ‘auteur : Historienne spécialiste de l ‘Ancien Régime, Sabine Melchior-Bonnet a notamment publié L ‘Histoire de l ‘adultère (Grand Prix des lectrices de Elle ), Catherine de Bourbon, l ‘insoumise et Louis et Marie-Adélaïde de Bourgogne, La vertu et la grâce.

ARCAMBAL : Petites histoires vécues

La mémoire est un trésor qui prend de plus en plus de valeur avec le temps à condition de la fixer, d’une manière ou d’une autre. De ce point de vue, Roger Lagrèze, 93 ans, l’un des doyens de la commune, est une mine d’or. Ses souvenirs n’ont pas une ride. Il les rapporte fidèlement avec une précision étonnante, un humour, une malice et un style savoureux qui font le sel de ses « Petites histoires vécues d’Arcambal », comme il les appelle lui-même, écrites à partir des années 1990.
Les plus âgés vont retrouver au fil des pages le parfum d’un univers enfui, pas toujours rose mais tellement humain. Les jeunes générations, même les enfants, ne devraient pas avoir de mal non plus à emprunter cette formidable machine à remonter le temps. Elles pourront percevoir la respiration, toucher la chair du monde rural d’alors. Il avait son rythme, ses valeurs, ses codes, un sens aiguisé de l’économie. Roger Lagrèze balaie d’un regard amusé ces feuilles mortes tombées d’un arbre qui a porté de beaux fruits et dont, peu ou prou, nous sommes quasiment tous les rameaux, au sens généalogique du terme.
Saisie un peu par hasard du manuscrit déposé en mairie, l’association Pays d’Arcambal a estimé qu’il était de son devoir, plus encore que dans la logique de ses missions, de porter le texte à la connaissance du grand public. Avec l’accord de l’auteur et de sa famille, elle a fait préparer l’édition des « Petites histoires d’Arcambal ». La voici qui sort toute chaude, comme le pain du boulanger d’Arcambal, héritier du four qui a nourri les cohortes d’ouvriers affectés à la construction du chemin de fer, dans les années 1880. Grâce à ce livre, de facture aussi modeste que le travail du rempailleur de chaises d’autrefois, on peut encore entendre l’appel du rémouleur ambulant, voir passer le lourd convoi du roulier, s’extasier devant l’ingéniosité du raccommodeur de faïences ou les acrobaties de l’émondeur de peupliers, suivre le médecin en gibus dans sa tournée des campagnes…
Tous doivent à la solide mémoire de Roger Lagrèze de ne pas sombrer tout à fait dans le pays des ombres. Pour cela l’auteur mérite toute notre reconnaissance.

François Rossignol et Anne, professeurs de CEG

“1969, François et Anne, réunis dans le même établissement, forment un couple pédagogique à tout choc. Méthodes nouvelles avec notamment
l¹introduction des mathématiques modernes, la rénovation du Français avec le règne de l¹oralité ! Avec la montée croissante des effectifs, les préfabriqués remplacent rapidement le bâti traditionnel. Une nouvelle
communauté vient de naître.

De nombreux évènements viendront la bouleverser. Quelques années plus tard, la vie de François Rossignol basculera à son tour.

Après le tome I François Rossignol, instituteur, le tome II François Rossignol, professeur, la trilogie « Un beau métier » se poursuit en ces
années de mouvements sociaux où les portes s¹ouvrent à n¹importe quel citoyen, où la parole se libère “.

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