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NE TIREZ PAS SUR LE CAVISTE

Avant de devenir le caviste le plus réputé du 17ème arrondissement, Arthur Solacroup a eu un parcours pour le moins chaotique. Engagé pour d ‘obscures raisons dans la Légion à l ‘âge de 17 ans, il finit par renoncer au soleil de Djibouti pour celui de Marseille où il devient portier d ‘une boîte de nuit échangiste. C ‘est là qu ‘il rencontre Julia, une fille de vigneron de Rasteau. Entre autres enseignements dispensés par cette femme pas toujours vertueuse, il y a la découverte des vins de la vallée du Rhône. De Condrieu aux Costières de Nîmes, il se fait le palais comme d ‘autres font leurs gammes. Quand le notaire se rappelle à lui, c ‘est pour lui annoncer que sa tante l ‘a couché sur son testament. Elle lui lègue sa boutique de modiste, rue Pierre Demours à Paris, ainsi qu ‘un petit pécule. C ‘est l ‘occasion ou jamais pour Arthur de faire commerce de son récent savoir. Il s ‘improvise caviste et ouvre son Chai de la Vigne-Rhône.
Il faudra attendre dix ans avant que Benjamin Cooker ne croise Solacroup sur son chemin. Les deux hommes se lient d ‘amitié. Rien ne devait les réunir sinon quelques bouteilles dégotées sur la rive gauche du Rhône qui vaudront au caviste une place d ‘honneur dans le fameux Guide Cooker. Le jour où le plus grand œnologue de France est invité à parrainer la Cuvée de Bretonneau, le second vignoble de Paris après Montmartre, Arthur Solacroup est victime d ‘une tentative d ‘assassinat.
Qui peut bien en vouloir à cet homme qui a gagné à la force du goulot sa respectabilité dans le monde du vin ? De Châteauneuf-du-Pape aux vignes perchées de l ‘Hermitage en passant par les vins de la Côte-Rôtie et de Saint-Joseph, l ‘enquête s ‘annonce aussi vineuse que sinueuse…

LA TRUFFE

Présentation de l ‘éditeur :
Déjà sous l ‘Antiquité, Grecs et Romains agrémentaient leurs sauces avec cet exquis
champignon. Des siècles plus tard, la truffe se
retrouve aux tables de François Ier, de Louis XV, du marquis de Sade ou de Napoléon. Aujourd ‘hui encore, sa majesté la truffe est synonyme de luxe. Fruit d ‘une symbiose entre arbre et champignon, la truffe vous est dévoilée dans ce livre, à travers ses diverses espèces : truffe noire, blanche, musquée… Comment pousse-t-elle ? Où la trouver et comment ? Est-elle vraiment aphrodisiaque ? Toutes les vertus de la truffe vous seront révélées, mais aussi toutes les astuces pour la cultiver et savoir associer son parfum à vos plats, grâce à de multiples idées gourmandes.

Biographie de l ‘auteur :
Spécialiste de l ‘écologie de la truffe et de sa culture, formateur au lycée professionnel agricole de Cahors, responsable technique de la station d ‘expérimentation sur la truffe de Cahors, Pierre Sourzat a écrit de nombreux livres sur le sujet. il collabore avec des magazines spécialisés comme rédacteur et photographe, dont le magazine local Dire Lot . Enfin, il est l ‘auteur d ‘ouvrages sur les produits du terroir du Sud-Ouest et de son Quercy natal.
Major de l ‘École supérieure de la cuisine française, Jean-François Mallet a travaillé avec les meilleurs chefs français, de Robuchon, à Lenôtre. Passé de la cuisine à la photographie, il signe à présent de nombreux reportages culinaires, pour faire partager sa passion de la gastronomie française et étrangère. Il a publié La France des Chefs chez Flammarion en 2003 et a récemment collaboré au Vrai goût du
Vietnam, paru citez Hermé.
Marion Haller, architecte d ‘intérieur-designer, est diplômée de l ‘ESAG Penninghen en 2004. Son esprit créatif lui a permis d ‘approcher le graphisme et l ‘illustration qu ‘elle exerce, en parallèle, par plaisir.

MARCHANDS ET NÉGOCIANTS QUERCYNOIS
AUX XVII ET XI Xème SIECLES

Vraiment infatigable, durant une même période les 17 et 18° siècles, dans un même cadre, le Quercy — exception faite du Montalbanais. Françoise AUTICOSTE s’intéresse cette fois-ci aux marchands et négociants.
L’ouvrage comporte 9 chapitres, dans l’ordre : marchands quercinois, leurs moyens d’approvisionnement, de distribution et de paiement ; marchands ambulants et migrants ; marchands en boutique ; marchands en compagnie ; dynasties de marchands ; négociants quercinois et commerces diverses ; une vie de marchand ; les grandes réussites et la montée en bourgeoisie voire en noblesse ; les marchands et la Révolution. Après une bibliographie très sélective, un index concernant les principaux marchands renvoie aux sources, essentiellement des actes extraits des registres de notaires conservés aux Archives départementales du Lot.
Comme dans ses précédents ouvrages un des mérites de l’auteur est d’offrir au lecteur un panorama complet de ce que sont les marchands et négociants, permettant ainsi à d’autres d’approfondir dans un cadre désormais bien défini, ce qui mérite de l’être. Dans un ensemble fort bien documenté qu’il n’est point possible de résumer en raison de sa richesse, ressortent les dynasties de marchands de Castelnau, Figeac et Souillac ainsi que la « montée en bourgeoisie » ; banquiers, fermiers des rentes et des fruits décimaux certains parviennent après achat de domaines, fiefs et châteaux à s’intégrer parfois à la noblesse. Une attention particulière est portée à Souillac port très important sur la Dordogne, où arrivent en grandes quantités sel et merrains.
Même si l’on peut regretter l’absence d’illustrations réduites aux pages de couverture et surtout d’une carte du Quercy, même si l’on peut douter de certaines assertions comme « les Quercinois mangent beaucoup de fromage d’Auvergne » (p. 142), ou « l’alcoolisme menace le Quercy » (p. 151), le livre de F. AURICOSTE a sa place dans toutes les bibliothèques aux côté de ceux qui l’ont précédé.
Nous ne pouvons que souhaiter longue vie à un auteur capable de nous instruire tout en nous captivant.
André SALVAGE.

HISTOIRE ET MYSTERES
DE LA CITÉ DE CAPDENAC
UXELLODUNUM

Histoire et Mystères de la cité de Capdenac Uxellodunum, est le titre du dernier livre traitant de l’histoire la prestigieuse cité lotoise.
Depuis plus de 5000 ans, la cité de Capdenac Uxellodunum s’élève fièrement sur son roc dominant un large méandre du Lot, tel un navire céleste, qui semble s’être échoué au milieu des champs pour l’éternité.
Situé dans le Quercy, à la limite du Rouergue, Capdenac fut successivement, une importante station du Néolithique, le dernier oppidum celte à résister à César, et une place importante durant tout le Moyen Âge.
Passionné par l’histoire de sa région, le jeune Mathieu Marty propose aux lecteurs de pénétrer dans l’histoire voilée de cette formidable localité qui fut fréquentée, en autre, par Lucter, Drappes, César, Pépin le Bref, Charlemagne, Saint-Géraud, Louis XI, Galiot de Genouillac, Sully, les Frères Champollion, etc.
De l’époque néolithique jusqu’aux travaux de recherches du siècle dernier, cet ouvrage, conçu entièrement en couleur, propose de nombreuses photographies des sites et documents anciens, ainsi que des plans. Tous ces éléments retracent la richesse et la diversité du patrimoine capdenacois.
Ce magnifique livre, de 132 pages au format 21 x 29,7, manquait à la cité de Capdenac. Il est préfacé et agréablement mis en page par Jean-Luc Alias, auteur d’Acta Templarium, et actuel directeur des publications du Médiéviste Magasine.

NOTRE DAME DE L ‘ILE

C ‘est un “livre-pèlerinage ” que le Père Paul Gibrat a rédigé avant de mourir. Il y décrit la belle statue ancienne, il évoque le site si apaisant, il fait l ‘historique du sanctuaire. Il nous rappelle le passé lointain et récent, et nous montre la vitalité actuelle de ce lieu de foi auquel les habitants de Luzech et de la Basse Vallée sont très attachés.
En regardant les photos au long de ces pages, on a le sentiment d ‘arriver là-bas, d ‘être à nouveau devant l ‘autel dans la nef accueillante, d ‘être envahi par la douceur de la petite église en son enclos.
A tous, cet ouvrage permet de faire le pèlerinage sans même quitter la maison, en attendant de reprendre un jour le chemin au milieu des vignes vers Notre-Dame de l ‘Île…

MARTEL EN QUERCY

Ouvrage bien illustré de photographies couleurs de Charles-Pierre Soulillet. Les textes sont de Marguerite Guély, agrégée d ‘histoire et de l ‘Abbé Lucien Lachièze-Rey. Cet ouvrage retrace l ‘histoire de la ville et en permet une visite bien guidée grâce à une notice et un plan.

Saint-Cirq Lapopie, Images d ‘un temps passé

Recueil de cartes postales et de photographies sur le village mais aussi la vie, les habitats, les paysages oubliés, les métiers et les personnages du passé.

ATLAS SONORE

Chants, musiques, récits… Le CD “Atlas sonore d ‘Argentat à Souillac ” plonge dans la mémoire de la rivière Dordogne et de ses riverains. Edité par l ‘AMTP Quercy, le CRMT Limousin et le conservatoire occitan Midi-Pyrénées, ce disque est une évocation sonore du patrimoine musical des bords de la rivière. Avec un livret documenté, il recueille des témoignages du temps des gabarres, du carillon de la pierre (jeu des cloches d ‘église à l ‘aide d ‘un galet de la Dordogne frappé sur la cloche), des tambours de ville de Saint-Céré, des bacs, des moulins et tanneries de Souillac…

Édité par l ‘AMTP Quercy – Pierre Peguin, les Mazuts, 46090 Arcambal, Tél : 05 65 22 11 01 – 2005.

Le diable du pont Valentré

Le diable du pont Valentré a pris des couleurs

L’auteur insiste sur l ‘ampleur du travail : « Ce n ‘est pas une version colorisée de la première édition qui est maintenant épuisée. J’ai repris quasiment chaque planche, retouché des personnages. Certains ont même disparu. La réédition, en couleur, a été pour moi l ‘occasion de revisiter la BD, de la recomposer. Sinon, l ‘histoire reste la même, bien sûr ». Trois ans plus tard, Joël Polomski, 48 ans, présente donc vraiment un nouveau « Diable du pont Valentré », qui doit beaucoup aux progrès et à la souplesse de l ‘outil informatique : « Il se prête bien à la mise en couleur. Et puis, en numérique, on ne perd rien. En aquarelle, si j ‘ai raté un fond, je suis obligé de le jeter ».

En prime, l’album est augmenté de gravures tirées du Fonds ancien de la médiathèque, ainsi que de textes sur Cahors au Moyen Âge. Des documents dont certains sont méconnus.

On apprend par exemple que l ‘argent confisqué aux Templiers, plus sûrement que le coup de pouce démoniaque, a permis aux consuls de la ville de terminer la construction du pont.

On découvre, à la même époque, l ‘existence d ‘une insurrection des lépreux. Cadeau supplémentaire, les photos de Jean-Louis Nespoulous, présentes dans la première édition, figurent toujours dans la seconde.

Au bout du compte, une histoire plaisante dessinée par des mains d ‘artiste, qui prend également une valeur documentaire.

Un bon petit livre pour l ‘été et pour garder précieusement dans sa bibliothèque.
Rappelons que la BD s ‘inspire d ‘une version de la légende telle qu ‘elle avait été recueillie par Robert Martinot dans « Le Légendaire du Quercy ». « Il est disparu trop tôt pour voir la version couleur, regrette Joël. En tout cas, cet album lui est dédié ».

Enseignant de métier, Joël Polomski cultive les légendes au bout de son pinceau : « C ‘est un univers que j ‘aime bien. Derrière, il y a toujours un pays. En plus, sur le plan de l ‘édition, c ‘est un thème porteur tant pour des lecteurs locaux que pour un public de passage ». Une passion qui n ‘est pas exclusive.

Après « Le diable du gouffre de Padirac », Joël se prépare à sortir du légendaire pour entrer dans l ‘épopée contemporaine. Il esquisse une histoire sur Rocamadour, peut-être tout aussi diabolique, finalement. Lotois depuis vingt ans, installé près de Figeac, Joël Polomski a appris à « sentir » les subtilités quercynoises. Nul ne s ‘en plaindra.

La Dépêche du Midi, 5 juillet 2005

TOM

Le romancier Paul Pavlowitch signe avec son nouveau livre la biographie d’un personnage de fiction : celle du héros créé par Patricia Highsmith, Thomas Phelps Ripley, né en 1956 dans le livre « le talentueux M. Ripley », et « mort » en 1991 après cinq romans. Déjà adaptée au cinéma (« Plein soleil » de René Clément ), l’histoire de cet aventurier, imposteur et criminel, qui inventa sa vie en empruntant celle des autres fascine Paul Pavlowitch, lotois d’adoption et neveu de Romain Gary. Peut-être parce que lui aussi usurpa une identité : celle d’Émile Ajar, prix Goncourt 1975 pour « la vie devant soi », auteur fictif de romans en réalité écrits par son oncle.

CONNAITRE LA CORREZE

Présentation:
Collonges-la-Rouge… bien sûr. Turenne… cela va de soi. Les orgues de Bort… un classique. Le plateau de Millevaches… naturellement. On peut résumer la Corrèze en quelques mots et la traverser à grandes enjambées.
Elle mérite mieux. Tomber sous son charme est chose facile : il suffit de se laisser aller.
Si l’on sait prendre son temps, on trouvera toujours un village à visiter, une porte à pousser, un « ancien » à qui parler ou un paysage à contempler. Le pays est encore secret. Tant mieux. Toutes les occasions sont bonnes pour faire un détour et partir sur les chemins. Qu’il y a-t-il au bout ? Une église où un cierge se consume lentement dans la pénombre, une tourbière baignée de lumière, une gorge profonde où coule une rivière et des histoires des temps anciens. Ici, le nord ne ressemble pas au sud. L’est à l’ouest. Entre deux « pays », il peut y avoir tout un monde. Ici, il y a des villes où il fait bon vivre et des villages qui meurent. Des montagnes et des vallées. Des sapins noirs et des palmiers.
Suivez le guide… et prenez le chemin des écoliers chaque fois que le cœur vous en dit.

Présentation de l ‘auteur:
Pierre Tillinac est corrézien d’origine. Il est journaliste à Bordeaux. Il revient régulièrement « au pays ».

GUIDE DES OISEAUX DE NOS JARDINS

Présentation:
Les jardins particuliers sont les seuls espaces de nature qui ne cessent de se développer dans les pays modernes. Du plus profond de la campagne au cœur même des grandes cités, ils accueillent, hébergent, nourrissent ou voient passer des oiseaux sauvages qui bénéficient de nouveaux territoires où, souvent, ils cohabitent avec les humains.
Ce guide, qui décrit avec précision 42 espèces et leur comportement, illustré de photographies d’une originalité peu commune, permet de découvrir et d’aider à reconnaître les principales espèces fréquentant les balcons, terrasses et jardins. Il apporte aussi des indications pour nourrir les oiseaux, favoriser leur présence et éloigner les plus ennuyeux.

Présentation de l ‘auteur:
Claude FEIGNÉ, ornithologue, chargé de l ‘écotourisme au Parc naturel régional des Landes de Gascogne, accompagne depuis vingt ans des balades ornithologiques. Il est membre du Conseil scientifique régional du patrimoine naturel d ‘Aquitaine. Il écrit régulièrement dans des revues sur la nature, le tourisme et le canoë.

VISITER LES JARDINS DU MANOIR D ‘EYRIGNAC

Présentation:
Nous sommes au coeur du Périgord Noir, là où la couleur des chênes est aussi sombre que la nuit. Les paysages sont magnifiques, changeants et mystérieux. Les collines sont tapissées de bois denses et drus dans lesquels il fait bon se perdre.
Eyrignac est là, tout proche. La route pénètre dans une chêneraie pour déboucher sur une esplanade où le regerd glisse vers l ‘horizon et découvre les collines environnantes inondées de lumière. Eyrignac nous attend, blotti dans un repli de terre, riche et ardent d ‘une existence comblée.Eyrignac est un lieu vivant, un lieu en mouvement, habité depuis fort longtemps par des personnalités passionnées qui y ont laissé chacune leur empreinte. C ‘est ce qui fait le charme d ‘Erygnac et le distingue des nombreux jardins existants.
Nombreux sont les jardins qui, bien que magnifiques, ne possèdent pas ce “petit quelquechose “, ce supplément d ‘âme qui existe à Eyrignac, parce que chaque jour, depuis toujours, un oeil attentif le regarde, un pas serein le parcourt.
La beauté de ses parterres, la parfaite harmonie de ses structures taillées et le charme fou du manoir ne laissent personne insensible.
La roseraie tout habillée de blanc, de vert et d ‘eau est le complément poétique du grand jardin.

Sommaire:
– Eyrignac : l ‘oeuvre de la passion – Sur la route d ‘Eyrignac – Histoire d ‘un lieu : histoire des hommes – Un jardin rêvé – Le jardin au quotidien – Un parcours pour l ‘esprit – Le charme des lieux, l ‘enchantement des sens – L ‘avenir d ‘Eyrignac

CLARISSE

Quand après quatre années de guerre (14-18) François Bès rentre enfin chez lui, il n’a qu’une idée en tête : le bonheur pour sa famille et un peu d’apaisement pour lui-même. Son fils, il le sait, sera paysan, comme lui. Pour sa fille Clarisse, sa « petite princesse », en revanche, il a forgé mille rêves et refuse, comme le veut sa mère, qu’elle devienne une cadette.
Devenue institutrice, Clarisse combat à son tour pour introduire tous les progrès dans les campagnes encore attardées de Ladignac, et se heurte à l’esprit étroit des gens. Elle trace ainsi obstinément son chemin de jeune femme portée par l’amour de son métier et sa générosité. Puis s’ouvre pour elle une grande aventure : celle de l’arrivée de l’électricité au village et dans les fermes. D’abord décriée, on l’appellera bientôt « la maîtresse de la lumière ».
Elle s’éblouit aussi de son amour pour Philippe, jeune et brillant ingénieur qui a dirigé la construction du barrage et des lignes. Puis l’histoire se répète, une autre guerre déchire la France et surtout les consciences. Clarisse n’hésite pas, malgré tous les dangers : enseignant sur la ligne de démarcation, elle se fait passeuse d’enfants pourchassés, choisissant le camp de l’honneur et d’un héroïsme tranquille…

MONTAUBAN ET SON TERROIR

Table des matières :

Note Préliminaire
Cadastres XVème et XVIème siècle
Cadastres XVIIème et XVIIIème siècle
Cadastres XVIIIème siècle

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