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VIVRE D ‘AMOUR ET LIBID ‘EAU FRAÎCHE – Chansèmes

 » Quelques chansons à lire, ou poèmes à chanter. Pas besoin d ‘une lyre pour les accompagner, car ces vers ont le pied qui invite à la danse, musique à inventer chacun à sa cadence.
Quelques poèmes et ritournelles, aux mots fripons, couleur dentelle. Quelques refrains sans complaisance d ‘un baladin en dissidence « .
Daniel Pasquier.

LE FILS DU CURÉ

L ‘auteur nous conte l ‘histoire de ce petit garçon qu ‘il fût, pendant toute une année d ‘occupation, de 1943 à 1944. Un petit garçon séparé de ses parents par les nécessités de cette pénible période et qui se retrouve soumis à une rigide éducation. Il en souffre beaucoup mais en retire aussi, parfois, des bénéfices. A Saint-Laurent-Lolmie, le village du Lot où il a été recueilli, il va apprendre la nature, les saisons, les animaux, les plantes. Il découvre la vie paysanne et n ‘initie à une langue, l ‘occitan qui fera désormais partie se sa culture. Sa curiosité lui fait tirer avantage de tout, et surtout des ses lectures qu ‘il conduit de façon désordonnée mais finalement profitable. Il va connaître aussi ses premiers émois amoureux. Enfin, à travers ses diverses expériences, il se prépare à entrer dans le monde compliqué des adultes.

TRÉSORS D ‘ENFANCE

Christian Signol n ‘a jamais vraiment quitté le terroir de son enfance, même si, à onze ans, il dut entrer au lycée en ville.
Il retrouve ici les chemins qui mènent au village de cette enfance, dans le Quercy, au pied des causses de Martel et de Gramat.
Il ressuscite les figures familiales et familières, les saisons et les jours, les jeux et les apprentissages, les moissons et les fenaisons – toute la vie d ‘une campagne française avant les bouleversements des « trente glorieuses  » …

LA TERRE ET LE MOULIN

En ce pays de Quercy que Georges Coulonges connaît si bien, Marie-Paule Nadal vient de perdre son père. La voici condamnée à défendre son maigre héritage : une ferme branlante, quelques hectares d’un sol aride où les durs travaux sont payés d’une pauvreté permanente. Elle est courageuse, Marie-Paule. L’ingratitude de la terre ne la rebute pas. Elle est belle aussi. Belle à marier. Et voilà qu’elle rencontre Pierre. Il l’aime. Elle l’aime. Dès lors, pourquoi refuse-t-elle ce garçon aux bras solides dont la propriété s’étend dans la vallée aux riches vignobles ? Georges Coulonges nous offre ici un roman qui sent les genêts et les genièvres sur le causse, le foin dans les champs, le tabac dans le séchoir… Un merveilleux roman de la terre. Un merveilleux roman d’amour.

LA CHAIR DE LA SALAMANDRE

Bertand baissa les yeux, mal à l ‘aise. Il ne croyait pas à grand-chose en dehors de Dieu, de l ‘or et des hurlements de sa femme. Il préssentait pourtant que cette histoire de vent meurtrier cachait une étrange menace qui n ‘avait rien à voir avec une quelconque superstition. Celui qui avait lancé la rumeur ne l ‘avait pas fait en vain? « Le vent a tué », marmonna Salvaire, le visage buté… Le vieillard le regarda. Pour la première fois, il décida de préter attention à ce bruit qui courait depuis deux journées. Pris d ‘un brusque soupçon, il résolut de chercher un peu. A dire vrai, il savait même par où commencer.
En reprenant son rabot, l ‘autre répéta :
« Le vent a tué, oui…
– Sans doute, Salvaire », dit alors Bertrand d ‘une voix sourde… « Mais qui est le vent ? ».

QUERCY maisons de pays

Réalisé en partenariat avec l ‘association maisons paysannes de France, ce livre est une promenade dans les différents terroirs du Quercy. Il vous emmène d ‘abord à la découverte des paysages de causses et de vallées en même temps de l ‘architecture traditionnelle si diverse qu ‘on y rencontre.
Quatre reportages exemplaires, quatre restaurations, avec leurs histoires et les choix des propriétaires, illustrent l ‘état d ‘esprit MPF. Belles images, conseils techniques judicieux, adresses d ‘artisans, réflexions sur l ‘architecture rurale, permettent de découvrir, de comprendre et de restaurer l ‘habitat quercynois. Un livre à la fois esthétique et utile.

FIGEAC le langage des pierres

Si Figeac fut à l ‘origine une ville abbatiale, née sur les rives du Célé autour d ‘une communauté manastique, ce sont les marchands du Moyen Âge qui firent sa fortune, bâtirent de luxueuses demeures et des palais urbains qui font aujourd ‘hui sa renommée. Dès le XIIe siècle, églises et maisons particulières s ‘ornaient des formules chères à l ‘art roman. Devenue ville royale au début du XIVe siècle, Figeac édifiait alors sa fortune sur le commerce des draps et des produits précieux tandis que l ‘architecture adoptait le décor gothique venu du nord. Remaniée à l ‘époque classique, Figeac a pourtant conservé à travers les âges son aspect médiéval de place marchande et peut être considérée aujourd ‘hui comme un exemple exeptionnel de l ‘architecture en France. La politique de réhabilitation développée depuis près de vingt ans par la Ville a permis une mise en valeur de ce patrimoine rare.

CAHORS, VILLE ET ARCHITECTURE CIVILE AU MOYEN-AGE

Conservatoire exceptionnel de la demeure médiévale, l’ancienne capitale du Quercy illustre remarquablement la prospérité et la renaissance urbaine des XIIe, XIIIe et XIVe siècles. Après un exposé des événements et des activités économiques, l’ouvrage s’attache à préciser la structure et l’évolution de la ville. Tandis que se développent les faubourgs, des places nouvelles sont créées au cœur de la vieille cité, l’action des consuls aboutissant à un ambitieux projet urbain dont les grandes lignes sont élaborées à la fin du XIIIe siècle…

LA POPULATION DU LOT DE 1801 A 1975. Cartes et graphiques.

A TRAVERS LES RUES DE CAHORS (Tome I et II)

Après une première partie consacrée à la voirie de Cahors, Jean de Boisjoslin présente les monuments de la ville : écoles, collèges, lycées, églises, chapelles, couvents, ponts, hôpitaux, léproseries, cimetières … Les crues du Lot sont également répertoriées.

Une troisième partie donne la liste des consuls et maires de Cahors de 1695 à 1938 et celles des évêques depuis le II` siècle.

Des notices détaillées sur chaque monument nous en content la construction et les anecdotes s ‘y rapportant.

Avec ce livre, en deux tomes, les habitants curieux de l ‘histoire de leur ville disposent du répertoire le plus complet et le plus pratique.

LES CHEMINS DU SAVOIR EN QUERCY ET ROUERGUE à l ‘époque moderne.

L’ouvrage commence par une présentation, à la fois historique et géographique du Quercy et du Rouergue. La première partie décrit les progrès de l’enseignement dans les villes, à partir du XVIème siècle, avec la multiplication d’écoles et la constitution des collèges ou des séminaires. Dès ce moment-là, les petites écoles se répandent dans les campagnes. Même si cela ne fait pas l ‘unanimité, une inconstestable volonté des parents de faire instruire leurs enfants peut se constater dans les communautés rurales. De longs développements sont consacrés à l’étude de l’alphabétisation. Ils démontrent une réelle progression de celle-ci, au cours du XVIIIème siècle. Ils révèlent, en particulier, combien sont exagérés les jugements portés par l’historiographie traditionnelle sur l’analphabétisme des Quercinois et des Rouergats.
Les chapitres III et IV de la deuxième partie contiennent sans doute les apports les plus originaux de ce travail de recherches, en particulier, le chapitre intitulé : « Freins et retards de l’alphabétisation populaire « .
Il permet de comprendre pourquoi la route a été aussi longue sur les chemins du savoir…
En dépit de ces handicaps, on peut considérer qu ‘en moyenne un homme sur trois est alphabétisé. Ce niveau de culture qui n’atteint, certes pas, celui des populations situées au nord de la Loire, contribue à la francisation et au bilinguisme des populations. Ce bilinguisme semble concerner ceux qui savent écrire, et il encourage les notables locaux, auxquels appartiennent, désormais, les paysans aisés, à se faire les porte-parole d’une culture écrite auprès des gens du peuple. Capables de lire et d’écrire, ils jouent certainement les intermédiaires entre la culture du peuple et celle des élites et ils contribuent à diffuser à la veille de la Révolution, les nouvelles façons de penser et de croire à des changements nécessaires.

LES JEUX DE QUILLES ET LE JEU DE PIQUET DANS LE LOT. Pratiques contemporaines. Inventaire analytique

LE VIEUX QUERCY

Le Chanoine Sol, archiviste du diocèse de Cahors, a été un travailleur infatigable, qui a renouvelé l ‘histoire de sa petite patrie. On verra à la fin des volumes, l ‘imposante bibliographie de ses oeuvres. II ne se pique pas de littérature, il a voulu faire oeuvre d ‘historien : aussi, certaines lourdeurs de style n ‘enlèvent rien à la valeur de son travail. Ce travail, un peu touffu parfois, fourmille de détails intéressants : nous voyons vivre nos anciens dans leurs travaux agricoles, leurs récoltes péniblement engrangées; nous participons à leurs joies et à leurs douleurs; nous entendons jurons sonores et proverbes populaires, et c ‘est pour nous un vrai plaisir de communier ainsi à cette humble histoire, laissée en héritage par les aïeux.
Les dessins de Bertheline Monteil, qui témoignent d ‘un réel talent, viennent illustrer avec bonheur les chapitres de l ‘ouvrage, et permettent d ‘évoquer costumes, coutumes, cadre de vie, scènes de village.
Chanoine Eugène SOL. Maison des Oeuvres, Cahors. Tome I : Usages anciens, Format : 16,5 x 25,5, 280 pages. Tome II : Traditions et coutumes, Format : 16,5 x 25,5, 252 pages.

LE VIEUX MONTAUBAN

Six promenades à travers les rues de la vieille ville : tel est le moyen choisi par l ‘auteur pour décrire l ‘architecture et raconter l ‘histoire de 150 hôtels particuliers, monuments et édifices de Montauban. Le parcours de ces itinéraires dans les rues de la ville permet aux visiteurs « d ‘y respirer le parfum du passé « . Il offre aussi aux connaisseurs et aux amateurs de l ‘histoire régionale une véritable mine d ‘informations et une précieuse référence sur le patrimoine de cette grande et belle ville du Sud-Ouest de la France, fondée en 1114 par Alphonse Jourdain, comte de Toulouse. D ‘une plume pittoresque, alerte, empreinte d ‘un certain charme propre à sa génération, l ‘auteur nous invite à une excursion vivante au coeur du « Vieux Montauban « .

UN AUTRE MONDE

Letto, petit immigré italien, imprégné «d ‘anarchie pacifiste», découvre son nouveau pays la France. Confronté à ses contradictions, aux injustices de la vie, attiré par sa passion pour l ‘aviation, tiraillé entre amitiés, amours et «idéologies» ; il se ressource dans la campagne quercinoise et l ‘aventure humanitaire.
La première caractéristique de l ‘Auberge du Dragon : «ça gueule fort !». Un brouhaha continuel accompagné par les gestes amples des participants. Quant aux idées échangées, elles suivent les inspirations de l ‘un ou l ‘autre. Elles fluctuent en fonction du nombre de verres de vin descendus. Bien que les interrogations paraissent bizarres, elles suscitent des controverses acharnées. La vie est-elle un événement fondamental ? A-t-elle un sens, ou est-elle un fait dérisoire ? En observant l ‘histoire des hommes il est légitime de se poser la question, avec beaucoup d ‘autres encore. (…)

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