Livret réalisé par les étudiants du Master Patrimoine 2 (Cahors) 2019-2020
Sous-titré « de la réalité à la fiction », cet ouvrage est né de la découverte d’une carte postale par son auteur Galifourou Kounie ; une carte postale qui représente l’ancienne usine « four à chaux et ciment » au Pech d’Angély.
Edité à compte d’auteur, ce livre de 635 pages (!) semble épuisé. Il fait référence aux familles Dairic et Cappus et comporte de très nombreuses illustrations et cartes postales. Sans l’avoir lu, nous l’ajoutons néanmoins à notre bibliothèque. Merci à Jean-Michel Rivière, notre bienfaiteur-contributeur qui nous a ouvert, une fois de plus, son trésor de la rue Feydel.
Les premières restaurations du patrimoine figeacois par Louis Roussilhes de 1963 à 1980.
Préface de Mona Ozouf
Sous forme de carnets illustrés et commentés revenant sur 20 années d’une carrière d’architecte pour partie consacrée à la restauration du patrimoine médiéval de Figeac, cet ouvrage didactique aborde également l’histoire urbaine de la ville et en décrit de façon concrète l’exceptionnelle architecture. Riche en détails et explications, il est donc une référence tant pour l’habitant de la ville que pour le visiteur qui aura plaisir à se remémorer son passage. De surcroît, son contenu pourra constituer une utile grille de lecture pour la découverte de l’architecture civile médiévale du sud de la France. N’oublions pas également les passionnés du Figeac des années 60 à 90 qui retrouveront rues, façades et commerces avant leur transformation.
216 pages , format 30 x 24, broché, plus de 600 photos et dessins. 32 €
Pour découvrir quelques pages de cet ouvrage, rendez-vous sur le site de l’éditeur : Les éditions du chien noir
Par leur contenu qui constitue un témoignage rare, ces carnets d’architecte retraçant 17 années de chantiers de restauration dans la ville, sont l’illustration du rôle précurseur de la passion jamais éteinte de l’auteur pour le bâti exceptionnel de Figeac. Ils marquent les prémices des politiques patrimoniales qui sont aujourd’hui en place et constituent aussi un bel hommage rendu à tous ceux qui ont oeuvré à leur échelle pour cette sauvegarde, ainsi qu’à ceux qui perpétuent aujourd’hui cette réappropriation du patrimoine médiéval de la cité tel que nous pouvons l’admirer.
Volume 1 – le Moyen-Âge, XIIIe – XVe siècle, 352 p. 24 €, éditions Midi-Pyrénéennes
Patrice Foissac, président de la Société des Etudes du Lot, signe conjointement cet ouvrage avec Jacques Verger.
L’université de Toulouse a pris forme entre 1229 et 1245 et a acquis ses statuts définitifs au début du XIVe siècle. Elle atteignit alors son apogée médiéval ; ses effectifs de maîtres et d’étudiants en faisaient la seconde université française après celle de Paris et son aire de recrutement s’étendait de l’Atlantique à la Méditerranée, du Massif central aux Pyrénées, avec d’importants prolongements dans la péninsule Ibérique. Après 1350, elle entre dans un siècle de difficultés : guerres, épidémies, désordres religieux, mutations politiques, incertitudes morales et intellectuelles. Elle parvient cependant à surmonter, mieux que d’autres, ces crises successives et dans les années 1470 une importante série de réformes lui permettent de reprendre sa croissance et d’entrer dans une ère nouvelle, celle de l’humanisme et de la Renaissance. L’université de Toulouse a été l’une des plus anciennes et des plus importantes universités occidentales du Moyen Âge. Elle s’est illustrée en particulier, comme les autres grandes universités du versant méridional de l’Europe – Bologne, Padoue ou Salamanque –, par l’excellence de ses enseignements juridiques. Mais elle ne se réduit pas à un modèle préexistant. Elle a été une création originale, qui se distinguait par l’équilibre de ses institutions, l’ampleur de son rayonnement et le dynamisme de ses maîtres – les doctores Tholosani. Tout en préservant son autonomie, elle s’intégrait profondément dans le tissu social et culturel de la ville de Toulouse et de la région toulousaine ; elle est devenue un élément de leur identité même, y fondant, sur des bases historiques solides, une tradition d’enseignement supérieur qui s’est perpétuée jusqu’à nos jours.
Un siècle de rugby,
100 ans de joies, de victoires, de défis, de fiertés, d’espoirs, de flamboyance.
Mais aussi
100 ans de défaites, de doutes, de tristesse, de larmes.
Moments bénis où tout semble sourire, où l’on se sent invincibles.
Moments compliqués où il faut se resserrer, s’unir pour ne pas sombrer.
En parcourant ce siècle rouge et blanc nous avons ressenti un peu d’appréhension mais surtout de la fierté car il nous revenait de rendre compte d’une aventure débutée en 1919.
FIERTÉ d’avoir rencontré tous les acteurs qui page après page ont contribué à écrire le beau roman de l’USL, souvenirs lointains, parfois fantasmés mais ô combien précieux des premières années, anecdotes plus récentes de toutes celles et ceux pour qui le club a été le symbole de leur jeunesse, ce lieu où se sont nouées de belles amitiés.
FIERTÉ de rendre hommage à tous ceux qui ont porté haut les couleurs du club, mais aussi aux anonymes dont on ne retiendra pas le nom, soldats de l’ombre, sans qui rien n’aurait été possible.
FIERTÉ d’évoquer ces supporters qui ont chanté les soirs de victoires, pleuré les soirs de défaites sans jamais lâcher.
FIERTÉ de rencontrer ces joueuses et ces joueurs qui se sont battus avec générosité pour le copain d’à côté, pour la victoire, pour les couleurs, pour l’USL.
FIERTÉ de rendre hommage à ce club familial, chaleureux, symbole de ce rugby des champs qui ne veut pas mourir.
Le siècle s’achève. En refermant ce livre quelques fantômes bienveillants, habillés en rouge et blanc, nous ont murmuré que la vérité d’un club c’est la vérité des femmes et des hommes qui l’ont aimé. Puisse cet amour durer longtemps après nous.
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