Catégorie : CULTURE Page 4 of 8

Ecrire l’histoire de sa maison ou de sa famille grâce aux Archives départementales

Pour vous aider à débuter des recherches généalogiques ou à écrire l’histoire de votre maison, les Archives départementales du Lot proposent des ateliers gratuits tout au long de l’année 2023, dans onze communes du Lot.

Je fais l’histoire de ma maison. Partie 1 : le cadastre napoléonien

Par curiosité, par envie d’un retour aux sources ou par nécessité, les recherches dans les archives du cadastre napoléonien s’avèrent vite captivantes. Vous souhaitez débuter l’histoire de vos biens fonciers ou ceux de votre village ? Cet atelier dédié à la méthodologie de la recherche dans le cadastre parcellaire dit « napoléonien » est fait pour vous.

Je débute ma généalogie

Si vous souhaitez vous plonger dans l’histoire de votre famille, cet atelier va vous permettre de découvrir les sources disponibles en ligne sur le site internet des Archives départementales du Lot et d’acquérir les bases pour débuter vos recherches.

Les Archives départementales vont doubler leur capacité de stockage

Pour permettre l’extension des Archives départementales du Lot, de gros travaux sont entamés en ce mois de mars 2023 dans l’aile droite de la Maison diocésaine des Œuvres à Cahors,  juste en face de l’actuel bâtiment des Archives.

Ce bâtiment ayant de très grandes hauteurs sous plafonds et des planchers en bois ne pouvant supporter le poids des archives (1,5 tonne au mètre carré !), l’intérieur du bâtiment est en cours de déconstruction pour créer une nouvelle structure en béton et de nouveaux étages (avec au passage, la création d’un niveau supplémentaire).

A l’occasion de la pose symbolique de la première pierre de ce chantier d’envergure, Serge Rigal, président du Département a rappelé qu’il était important de favoriser l’accès à la connaissance de tous les Lotois. Cela implique notamment de rendre plus accessibles les richesses de nos archives départementales. Leurs missions d’analyse des documents qui y sont versés, de conservation, mais aussi de médiation sont absolument fondamentales. Tous les Lotois ne le savent pas mais elles n’ont pas uniquement vocation à être consultées par des spécialistes. Elles sont fréquemment utilisées par tout un chacun, que ce soit dans le cadre de procédures juridiques ou encore pour des recherches personnelles, généalogiques par exemple. Elles contiennent des ressources inimaginables. »

Les 11 km de rayonnages actuels des Archives départementales sont arrivés à saturation. Le bâtiment actuel, ancien couvent des Capucins, situé dans la rue des Cadourques qui conserve la mémoire du Lot à travers des millions de documents remontant jusqu’au Moyen Age, peine à accueillir de nouveaux fonds.

Le Département a donc prévu d’investir 9,2 millions d’euros (avec des aides de l’Etat notamment dans le cadre de France Relance à hauteur de près de 1,9 million d’euros) pour quasiment doubler les capacités des Archives départementales.

Le projet d’extension a pour but d’augmenter le volume de conservation des archives avec 9 km de rayonnage supplémentaires. Les 2 000 m² abriteront aussi des locaux pour traiter les archives et un espace d’accueil pour des activités culturelles et pédagogiques.

Un parvis urbain signalant le franchissement de la rue des Cadourques fera le lien entre les deux bâtiments des archives.

A l’intérieur, des murs en brique de terre crue

La mise en valeur de la Maison diocésaine des Œuvres participe à rendre le bâtiment plus facilement identifiable. Seule la tourelle construite sur la façade nord dans les années 1950 à 1970 sera démolie, ainsi que la passerelle en façade ouest.

Les façades seront rénovées dans le respect de l’existant. Seul le rez-de-chaussée de la façade ouest fera l’objet d’une modification, avec une large ouverture marquant l’entrée du public, agrémentée d’une sérigraphie d’un document choisi parmi la collection conservée.

Les trois étages de magasins seront isolés de l’extérieur par un vide avec une double peau ventilée. La peau intérieure en briques de terre crue sera visible à travers les fenêtres existantes, protégeant ainsi les archives de lumière du jour et permettant de réguler efficacement le climat intérieur. 50 000 briques de terre crue seront utilisées pour construire les magasins de conservation.

La brique de terre crue, matériau sain et écologique, abaisse le bilan carbone du bâtiment grâce à  de nombreux atouts :

  • nécessite peu d’énergie pour sa fabrication,
  • ne produit pas de déchets,
  • entièrement recyclable,
  • facilité de mise en œuvre,
  • tradition régionale
  • production déjà assurée par certaines briqueteries de la région, en circuit local

La brique de terre crue a une faible résistance thermique, mais une forte inertie, elle participe donc à la régulation thermique du bâtiment.

Le recours aux énergies renouvelables
Le projet intègre une réflexion bioclimatique, permettant d’optimiser le confort des usagers (thermique, visuel, acoustique), de limiter les consommations en énergie, de concevoir un bâtiment respectueux de l’environnement et de proposer une insertion cohérente du bâtiment dans son contexte local.

Le bâtiment sera approvisionné par :

  • une pompe à chaleur alimentée par géothermie sur sondes (9 puits de 200m de profondeur)
  • l’intégration de panneaux photovoltaïques au-dessus du local technique et en ombrières.
  • une double peau permettant de limiter les échanges thermiques des magasins de conservation.

Les bâtiments d’archives et le maintien en température des magasins de conservation sont fortement énergivores. Ainsi, divers procédés ont été intégrés de manière à limiter les consommations :

  • enveloppe thermique performante,
  • prise en compte des contraintes hygrothermiques liées aux archives et à la conservation des documents avec la mise en place de terre crue,
  • maîtrise des infiltrations d’air…

Calendrier prévisionnel

  • Mars 2023 : démarrage du chantier pour une période de 17 mois
  • 2024 : réception des travaux
  • Déménagement après une période de séchage et de stabilisation des conditions de température et d’hygrométrie. Les collections devraient pouvoir être transférées de manière échelonnée en 2025.

Quercy net publie dans ses pages les lieux publics pour la consultation des archives (Services départementaux, services diocésains, communes, associations). Cliquez CE LIEN

(Sources Lot.fr / Illustration La Dépêche du midi)

Jean-Eugène Pujol, 1899-1986, peintre à Pradines

Présent de longue date dans les pages de la première version de notre site internet, nous profitons de la publication de l’ouvrage consacré à l’histoire de Saint-Cirq-Lapopie dont la couverture est illustrée par une oeuvre de Jean-Eugène Pujol pour redonner à cet artiste sa place dans notre nouvelle galerie des « quercynois célèbres ».

SOMMAIRE :
Biographie
L’artiste par Dominique, l’un de ses fils
Professeur de dessin
Quelques oeuvres
Expositions et musées

Biographie : Jean-Eugène Pujol est né le 4 mai 1899 à Carbonne, dans le Volvestre, d’une famille de propriétaire terrien, dont le père Fernand Pujol possède un talent de dessinateur. Très tôt, Eugène Pujol manifeste son désir d’être peintre. Sa première toile en 1911 représente la campagne toulousaine. Il rentre à l’école des Beaux-Arts en 1917.
Appelé sous les drapeaux en septembre 1918, il reste mobilisé trois ans à Toulouse et peut suivre presque normalement les cours de l’école.
Démobilisé en juin 1921, il part à l’école nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, dans l’atelier de Fernand Sabatté et de Louis Roger, respectivement élèves de Gustave Moreau et de Jean-Paul Laurens, puis il s’inscrit à l’École du Louvre. A Paris, il découvre Gervais et Hélène Rivière.
En 1924, il obtient la médaille du portrait au Salon des artistes français et de 1925 à 1947, il est membre des Artistes méridionaux. Une fois diplômé, il part comme professeur de dessin à Fougères où il restera jusqu’en 1927, alors nommé à Cahors. Il s’y marie en 1929 avec une cadurcienne et revient très souvent dans le Lot, séduit par les paysages et la lumière.
En 1930, il repart à Paris comme professeur au lycée Rollin à Montmartre et habite rue Paul Féval, il rencontre un de ces compatriotes carbonnais, le sculpteur Abbal qui l’initie à la sculpture. Il s’y consacrera pendant plusieurs années, sans abandonner la peinture.
Nommé à Toulouse en 1940, il se fixe définitivement à Cahors où, à partir de 1941, il enseigne le dessin au lycée Gambetta et à l’École normale de jeunes filles. Il se partage entre les ateliers de sa maison du Cours Vaxis face au Lot et de Labéraudie, sur les coteaux.
Après la guerre, il entreprend très régulièrement des voyages en France et à l’étranger ; en 1946/1947 il se rend en Alsace où son beau-frère est en poste, en Espagne, l’été, avec ses jeunes enfants et en Corse, en solitaire. Il part en Algérie en 1947 et à Rome en 1949/1950 avec sa fille aînée, Marie-Thérèse, d’où il revient très marqué par les «Chambres» de Raphaël.
De 1972 à 1981, il voyage très régulièrement à Venise qu’il avait jusqu’à cette époque dédaignée, par crainte d’affronter une ville trop médiatisée. C’est une grande période de créativité chez cet artiste qui peint plusieurs centaines de toiles de la Sérénissime.
En 1979, il va à Londres avec ses enfants.
Le peintre s’éteint en 1986.

L’artiste par Dominique, l’un de ses fils :
Écrire un texte à propos de mon père, c’est bien difficile. Tant de souvenirs viennent à mon esprit des temps heureux où nous vivions tous ensemble.
Vous comprendrez que je ne parle pas de son oeuvre, car il y a pas plus mauvais expert que celui qui fait entrer ses sentiments personnels dans son jugement. Entre le fils d’un artiste, vivre sa jeunesse auprès de lui, partager les moments de création, les joies de partir avec lui dans la nature et peindre ou dessiner, laisse forcément quelque chose, une empreinte pour sa vie durant.
Les questions que je me posais lors de mon adolescence, sur ma vie, mon avenir, je les ai partagées avec lui et mon penchant pour la peinture ou le dessin n’est pas un hasard. Le climat familial, mon père que j’ai vu si souvent travailler, si heureux à Labéraudie, où nous passions tous les étés, en sont pour l’essentiel à l’origine.
A Labéraudie il peignait, faisait de la menuiserie et se passionnait pour l’architecture. Cette maison, il l’a pensée comme un artiste de la Renaissance. L’atelier qui ouvre sur le jardin par une large verrière, est au coeur de la maison, donnant une âme à cette vieille bâtisse. C’était là que tout se passait et se passe encore.
Lorsque j’ai voulu peindre à l’huile pour la première fois vers 9 ou 10 ans, il m’a installé une toile neuve sur un chevalet et m’a dit : « Vas-y ! ». J’ai fait son portrait… une tête triangulaire, un oeil de cyclope, c’était horrible, mais il m’a dit avec un sourire « C’est un vrai Picasso».
Il m’encourageait en bon professeur de dessin qu’il était et lorsqu’un jour je lui ai dit : « Je pourrais peut-être faire le professorat de dessin comme toi ? », il répondit « Il vaut mieux que tu sois architecte
– Mais cela n’a rien à voir avec la peinture !
– Tu crois que construire la maison des hommes, ce n’est pas beau ! »

J’ai beaucoup réfléchi et à 17 ans, je savais que je serai architecte.
Je ne suis pas le seul enfant de la famille, nous sommes quatre, trois filles et moi le dernier. La maison était toujours très animée, et souvent remplie de cris d’enfants, surtout quand nous jouions à Minuit sonnant, à nous faire peur dans la maison, toutes lumières éteintes. Quand cela dépassait certaines limites, mon père ouvrait le porte de son atelier et de sa voix courroucée, forte et grave, nous criait « Vous voulez que je vous aide » et cela nous arrachait des cris supplémentaires.
Il avait du caractère, mon père, et cela lui permettait de préserver son espace vital car ma mère si douce nous aimait tant que ses interventions manquaient de vigueur.
Mon père a peint pendant près de soixante-dix ans, et je n’ai partagé qu’une petite partie de sa vie d’artiste, mais quelles années si riches, si belles !
Notre souvenir est intact et il m’arrive, en franchissant le seuil de Labéraudie, d’être heureux de le retrouver devant son chevalet, mais seules ses toiles sont là, témoignant qu’un artiste ne meurt jamais.
Dominique

Professeur de dessin : Professeur de peinture et de dessin au Lycée Gambetta.
Né à Carbonne (Haute-Garonne) le 14 mai 1899, Eugène Pujol entre à l’école des Beaux-Arts de Toulouse en 1917, puis suit les cours de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris et de l’École du Louvre. Il est fortement influencé par les peintres paysagistes tels Corot, Courbet et Cézanne. Au Salon des artistes français de 1924, il obtient la médaille du portrait.
En 1929, il se marie avec une cadurcienne ; les paysages et la lumière du Lot vont l’amener à choisir un poste à Cahors où il se fixera, après avoir enseigné à Paris, Fougères et Toulouse. Il enseigne les Arts Appliqués au Lycée Gambetta, de 1941 à 1962 et à l’École Normale de jeunes filles. Durant toutes ces années, il a patiemment formé le regard, guidé le geste de nombreux élèves qui ont pourtant toujours ignoré, tant la simplicité et la discrétion de leur maître étaient grandes, que ce dernier s’adonnait quotidiennement à son activité de peintre dans l’atelier qu’il avait aménagé à Labéraudie, où il créait, remaniait sans cesse ses oeuvres jusqu’à leur totale plénitude.

L’artiste s’est plu à reproduire avec bonheur de paisibles scènes familiales, s’attachant à mettre en valeur le moindre détail. On lui doit également de merveilleux portraits qui mettent en scène des personnages connus ou inconnus.

Mais Eugène Pujol n’est pas seulement un peintre de l’humain. Son réalisme pictural transparaît avec bonheur sur quelques cinq cent toiles reproduisant la campagne quercynoise. L’Italie, et plus précisément Venise, l’ont fortement impressionné, lui inspirant des oeuvres particulières, où l’on ressent la fascination qu’a pu exercer l’ex-Sérénissime République sur l’artiste.

Quoique son caractère modeste ne lui ait pas fait rechercher la gloire, ses expositions furent toujours accueillies avec intérêt par les Toulousains. Ce n’est qu’à partir de 1992 que l’on a pu contempler quelques-unes de ses toiles à Cahors, dans la salle dite du  » Grenier du Chapitre « , rue Saint-James. Puis trois expositions eurent lieu, simultanément, afin de lui rendre hommage, du 14 septembre au 30 octobre 1994 : au Musée Henri-Martin de Cahors, au Musée André-Abbal de Carbonne et à l’École des Beaux-Arts de Toulouse. Aujourd’hui, ses toiles sont exposées aux Musées de Toulouse (Musée des Augustins), de Cahors, de Carbonne et de Montauban (1).

(1) Le Collège conserve également le témoignage de ses œuvres. Deux de ses toiles ornent les murs du bureau du Principal :  » Le port de Larroque-des-Arcs  » et  » Rocamadour « .

VILLES Sophie, La Mémoire Vive ou Cahors, histoire du Collège Gambetta et des ses grands hommes, pp. 208-209 – P.A.E. Collège Gambetta, Association de Sauvegarde du Lycée Gambetta, Cahors – Novembre 1998.

Quelques oeuvres

Ce dessin, probablement daté de 1975 et représentant le Christ, (nous a été adressé par Catherine Cervotti.

Sans prétendre afficher la totalité des oeuvres du peintre, voici une sélection – présentée en visuels de basse définition pour un affichage aisé – à partir du catalogue réalisé en 1994 pour les trois expositions consacrées à Jean-Eugène Pujol.
> Cahors, Musée Henri Martin, 14 septembre – 30 octobre 1994
> Carbonne, Musée André Abbal, 14 septembre – 30 octobre 1994
> Toulouse, Palais des Arts, 28 novembre – 30 décembre 1994

[g-gallery gid= »41085″ random= »1″]

Expositions :
> Paris
Salon des Artistes Français (1926 à 1939) : sociétaire
Musée Galliera, exposition «Les provinces françaises»
Salon des Indépendants : sociétaire en 1928
École nationale des Beaux-Arts de Paris
> Toulouse
Galerie Chappe-Lautier
Salon des artistes méridionaux (de 1925 à 1942)
Salon des provinces françaises
> Cahors
> Albi
> Figeac

Musées :
Montauban, Cahors, Toulouse, Carbonne

Un timbre hommage au mime Marceau pour le centenaire de sa naissance

Le lundi 20 mars, La Poste émet un timbre à l’effigie de Marcel Marceau dit le mime Marceau à l’occasion du centenaire de sa naissance. Notamment connu via son personnage de Bip, il est devenu au fil des années l’un des artistes les plus connus dans le monde.
Avec son corps pour unique instrument, Marcel Marceau (1923-2007) a porté l’art du mime sur les scènes du monde entier, imposant un langage universel.

Celui qui savait « rendre visible l’invisible » a donné vie à des personnages qui, sans dire un mot, expriment la vie comme elle est, avec ses combats, ses espérances, ses rêves.

« Marceau », son pseudo pendant la Résistance

Marcel Mangel, de son vrai nom, naît à Strasbourg le 22 mars 1923. Au début de la Seconde Guerre mondiale, sa famille d’origine juive polonaise doit quitter précipitamment Strasbourg pour Périgueux. Marcel a 16 ans et déjà il imite Chaplin, son héros, à la perfection. En 1942, il rejoint la Résistance, prenant le pseudonyme de « Marceau » qu’il garde toute sa vie. Dans la clandestinité, il achemine de nombreux enfants vers la Suisse, les sauvant de la déportation.

La condition humaine, faite de rires et de larmes, est le terreau de son art. Le 22 mars 1947, Marcel Marceau crée au Théâtre de Poche le personnage silencieux de Bip. Le costume de cet alter ego, héros des temps modernes, au visage fardé de blanc, en pantalon clair et caraco à gros boutons fermé sur une marinière, et au célèbre chapeau haut de forme sur lequel tremble une fleur rouge, fait de lui l’un des Français les plus connus à l’étranger.

Qu’il chasse d’invisibles papillons, qu’il grimpe des escaliers imaginaires, qu’il marche contre le vent, inspirant le fameux « moonwalk » de Michael Jackson, le mime Marceau, tour à tour lyrique, poétique, parfois grave ou drôle, remplit l’espace vide de récits allégoriques ou quotidiens avec pour seule arme ses gestes et ses regards. En 1978, il crée l’École internationale de mimodrame, où il transmet à ses élèves les exigeantes conventions du mime comme le sens de l’ellipse, le jeu entre l’espace, le temps et le mouvement.

Marcel Marceau a traversé le XXe siècle en virtuose de la « comédie silencieuse ». Immense artiste, il a réinventé la pantomime pour la hisser au rang d’art classique.

Il est décédé le 22 septembre 2007 à Cahors. (lien vers l’article publié le 24 septembre 2007)

En avant-première, La Poste mettra en vente le timbre, la mini-feuille et le document philatélique, le vendredi 17 mars, au sein du bureau de poste de Cahors Valentré, de 9 heures à 16 h 30 (257 rue Wilson, Cahors). Un cachet philatélique « premier jour » célébrera l’évènement.

À partir du 20 mars, il sera vendu dans la boutique Le Carré d’Encre, dans certains bureaux de poste, par abonnement ou par correspondance à Philaposte Service Clients Commercial Z.I Avenue Benoît Frachon, BP 10106 Boulazac, 24051 Périgueux Cedex 09, par téléphone au 05 53 03 19 26 et par mail : sav-phila.philaposte@laposte.fr sur réservation auprès de votre buraliste et sur le site Internet www.laposte.fr

(Source La Dépêche du Midi 10 mars 2023)
Illustration : Dessiné par Benjamin Van Blanke Gravé par Pierre Bara D´après © LIDO/SIPA

Ta gueule, un message positif du G.S.M.

Le GSN, groupe lotois de femmes chefs d’entreprises, soutenu par l’Union des Entreprises lotoises (UEL) s’est donné pour mission depuis sa création, d’être à la fois un lieu d’accueil et d’échanges, mais aussi d’entraide pour le développement de l’entrepreneuriat au féminin. Il est un réseau qui se veut efficace pour aider à concrétiser des projets économiques.

Par ailleurs, le GSN fait profiter d’autres structures, des compétences de ses membres. Ainsi, il a tissé un partenariat l’année dernière, avec la Mission locale et accompagne des jeunes dans la simulation d’entretiens d’embauche.

Le GSN organise son 1er événement culturel le 17 mars 2023 Un One-woman-show

Sur scène, Isabelle Henry propose une conférence théâtrale décoiffante, intitulée « Ta gueule », une exhortation à oser réussir.
Après Montpellier et Paris, c’est au tour de Cahors d’accueillir le spectacle.
« Ta gueule » est l’histoire d’une quinquagénaire qui monte sur scène, pour réaliser son rêve d’enfant et partager sa recette de la réussite. Le temps d’un spectacle, Isabelle démontre que l’âge adulte n’efface pas les rêves.
« Ta gueule », un moment fait de rires, d’émotions et de partage sur ce que la vie lui a enseigné. Un cadeau, en somme.

À travers cet événement, le GSN souhaite faire passer un message positif vers toutes, tous, et particulièrement les jeunes – pour oser le pari de l’avenir.
Mise en scène : Jean-Luc Cohen-Rimbault

Vendredi 17 mars à 19h
Auditorium de Cahors

Réservations : uel46@wanadoo.fr / 05.65.20.41.90

 

Université pour tous Cahors-Quercy : un semestre intense et diversifié

Cliquez l’image pour agrandir

En ce début d’année 2023, l’Université pour Tous Cahors-Quercy, montre toute sa vitalité, à travers la variété des thèmes qu’elle a proposée à ses adhérents. Jusqu’à l’été, l’offre continuera à être riche.
Petit survol de ce début d’année :
En philosophie ont été abordés la question morale et éthique de la quête d’un homme parfait par l’amélioration de son humanité biologique, puis la réforme de l’esprit nécessaire et préalable à toute éducation, selon Bachelard, philosophe des sciences.
Le thème des sorcières, a montré combien depuis des temps immémoriaux, ce sujet reste associé à une symbolique négative remise en cause par les mouvements féministes.
Côté histoire, ont été évoqués la redécouverte des Cahorsins, pan d’histoire prestigieuse occulté par les historiens locaux, la lutte des Arméniens pour une nation en survie, acteur majeur du Moyen-Orient, les échanges épistolaires émouvants des familles lotoises avec leurs soldats pendant la Grande Guerre. La violence et la complexité des années de plomb en Italie et les différences de perception entre la France et l’Italie ont clôturé le volet histoire.

Côté sciences, l’évocation de l’évolution des techniques à travers les âges a permis de mesurer le temps géologique et de répondre à la question fondamentale de l’âge de notre vieille planète, 4 milliards et demi d’années ! Et nous avons découvert la richesse des phosphatières du Quercy et de son ensemble unique en fossiles hors normes.
Enfin les questions d’actualité se sont concentrées sur l’avenir de la médecine connectée et numérique et les voies pour sortir de la crise des hôpitaux. La réintroduction du corps dans le débat public, les enjeux juridiques de la loi française de bioéthique et son inscription dans une démarche participative et citoyenne ont clôturé brillamment cette première série de conférences de l’année 2023.

Cliquez l’image pour agrandir

De mars à mai : art, archéologie, géologie, paléontologie, médecine, philosophie et géopolitique…
À partir de mars, une douzaine de conférences seront proposées, touchant à des domaines toujours très variés, relevant de toutes ces disciplines. De quoi répondre à de nombreuses interrogations sur notre monde, son passé comme son présent.
De Giotto à la peinture d’icônes et à William Turner en Val de Loire, de l’apport des femmes aux mouvements artistiques du XIXe siècle à la façon dont le fascisme italien a utilisé les arts, la culture et l’éducation, des conférenciers apporteront des éléments d’information et de réflexion en histoire culturelle. Le cycle d’étude France-Italie s’achèvera avec l’évocation croisée de Molière et Goldoni, deux observateurs des sociétés de leur temps. Les monuments du Cahors antique seront présentés également.
Autant de sujets toujours traités par d’éminents spécialistes. Un paléontologue évoquera les crises de l’histoire de la terre et le vol animal, tandis qu’un médecin présentera l’avenir des soins médicaux dans un avenir proche. Les climats et la biodiversité seront analysés à la lumière du passé. La géopolitique sera essentiellement orientale : de l’empire romain d’Orient à Alexandrie la rayonnante et le Moyen-Orient, berceau de la civilisation, sera analysé dans sa grandeur et sa décadence. Une réflexion philosophique bienvenue permettra de s’interroger sur la lenteur et l’hypermobilité sociale : existe-t-il un juste milieu permettant de les concilier et quelles transformations sociales, culturelles et philosophiques privilégier ?
https://uptc-cahors.org

L’UPTC est partenaire de Quercy net

Carnaval es arribat

« CARNAVAL ES ARRIBAT, LO TENÈM, LO JUTJARÈM E LO CRAMARÈM

« Carnaval es arribat » une fête sera organisée le vendredi 17 février en collaboration avec les enseignants et élèves du RPI des écoles de Lamagdelaine , Laroque des Arcs et Cours qui procèderont à une restitution d’un apprentissage en langue d’Oc sous la conduite de « Lot Arts Vivants ».

  •  16h 30 ECOLE DE LAROQUE DES ARCS

Laroque-des-Arcs : départ cour de l’école avec défilé musical sous la conduite des musiciens de la Granjà et « Lot Arts Vivants « arrivée place du Coq : jugement de Carnaval accompagné de danses et chants traditionnels.

  •  17h30 TRANSFERT VERS L’ECOLE DE LAMAGDELAINE

Transfert de Carnaval, en convoi, vers l’école de Lamagdelaine , défilé musical vers l’espace Maurice Pons ,chants et danses avant exécution de la sentence et crémation de Carnaval

  •  19h 00 SALLE DES FÊTES

Salle des Fêtes : apéritif musical, repas partagé au profit de l’ APE . Chacun devra apporter un plat salé ou sucré ainsi qu’assiette, verre et couverts.

  •  21h 00

bal masqué animé par « Los Musicairès de la Granjà « et de « Lot Arts Vivants » buvette et gâteaux tout au long de la soirée.

Bal gratuit pour les parents et enfants

Plus de renseignements auprès de l’APE ou au 06 42 21 79 17

Conférence d’Annaïs Charrier : c’est le jeudi 9 février à 18h30

JEUDI 9 FEVRIER 2023 à 18h30, salle Henri-Martin de l’Hôtel de ville de Cahors. Conférence : « Les Chantiers 2022 : archéologie du bâti et Inventaire à Cahors, bilan de l’année », dispensée par Anaïs Charrier, archéologue du bâti-chargée d’Inventaire à la Direction du patrimoine de la ville de Cahors.

N’hésitez pas à consulter le programme complet des animations liées au patrimoine de Cahors et du Grand Cahors en cliquant CE LIEN

Renseignements : Maison du Patrimoine / 8, rue de la Halle / 46 000 CAHORS / 05 65 20 88 91

Image d’illustration : crédit https://www.dedans-dehors.com/

Dany Boon et Jérôme Commandeur : deux nouveaux « visiteurs » à Saint-Cirq-Lapopie !

Tout semblerait  réuni pour un remake des tribulations de  la bande à Jacqouille la fripouille, Okay ! une histoire autour d’un procès d’un chèvre… blanche comme celle de la légende située sur la commune de Cabrerets. Faute d’avoir eu connaissance du script du film, nous nous en tiendrons donc aux quelques lignes glanées dans notre quotidien local du 24 de ce mois., lequel ajoute que des figurants sont appelés à se faire connaître en envoyant CV et motivation à : Dordogne1640@gmail.com

Après quelques visites présidentielles, notre belle commune de Saint-Cirq-Lapopie intéresserait-elle également quelques grandes figures des siècles passés ? La sortie prochaine du premier livre d’histoire « Saint-Cirq-Lapopie et ses habitants. Des origines à 1560 » pourrait constituer un bon moyen de découvrir ce qui s’est passé en ces lieux et nous préparer à faire connaissance avec les rôles tenus par nos humoristes.

21 janvier à 20 h 30, Calligramme fête la Nuit de la lecture

Nuit de la lecture du 19 au 23 janvier 2023, Cahors et les environs

Rendez-vous à la Médiathèque, au Musée Henri-Martin, à la Bibliothèque patrimoniale, à la Fabrique francophone… et même à la bibliothèque municipale de Pontcirq.

Des animations pour toutes et tous vous sont proposées.
Le programme est à télécharger en CLIQUANT CE LIEN

Colette et le Lot : un article signé André Décup pour les 150 ans de la naissance de l’artiste

La romancière Colette aimait le Lot

De nombreux écrivains et poètes ont laissé leurs empreintes sur notre terre. Parmi ces intellectuels, Colette qui a sillonné le Quercy. Sidonie-Gabrielle Colette naît le 28 janvier 1873 dans un village de l’Yonne. Adorée par sa mère « comme un joyau tout en or », elle rencontre dès 16 ans « Willy » écrivain-éditeur qui l’introduit dans les cercles littéraires de la capitale. Mariés en 1893, ils divorcent trois ans plus tard.

Découverte du nord du Lot
En 1911, la jeune journaliste tombe, dès leur première rencontre, amoureuse d’Henry de Jouvenel, homme politique de Corrèze, futur ministre, très attaché à son département d’origine. Le fief des Jouvenel est implanté au château de Castel-Novel, à Varetz près de Brive. C’est là qu’ils se marieront quelques mois plus tard. Une vie de paradis ! Dans « (ses) jardins », Colette est sous le charme du lieu où fleurs, jeux et mots s’entremêlent. Un univers magique, un lieu d’inspiration d’où sortiront plusieurs romans. Celui qu’elle appelle «  le Pacha » lui fait découvrir Aubazine, Collonges-la-Rouge, Martel et Rocamadour. Élu sénateur de la Corrèze, « le courageux mari » n’est plus tout entier à son épouse. Ils décident de se séparer en 1923 : la femme de Lettres tourne la page des onze étés passés entre Limousin et Quercy.

À Curemonte, pendant l’Occupation.
Elle reviendra sur sa terre de prédilection deux décennies plus tard, en 1940. Pendant l’Occupation allemande, elle effectue de longs séjours chez sa fille, qui, très active dans la Résistance, habite le village de Curemonte entre Vayrac (46) et Turenne (19).

Revenue à Paris, immobilisée « dans sa solitude en hauteur » par une arthrite de la hanche, elle continue d’écrire. Élue à l’unanimité présidente de l’Académie Goncourt en 1949, elle meurt dans son appartement du Palais Royal le 3 août 1954. Après avoir reçu les honneurs de la France, elle repose au cimetière du Père Lachaise à Paris.

« J’ai chassé la truffe à Martel dans le Lot ».
Colette aime depuis toujours les petits matins à la campagne, les lueurs des levers de soleil. Elle avait obtenu, enfant, que sa mère la réveille l’été dès cinq heures pour aller se promener seule «  à la rencontre de la nature bleutée. Dans le creux de l’aube, le meilleur semble à venir » précise-t-elle. C’est ce qu’elle découvre sur le Causse de Martel en promenade avec son baron de mari : « La truffe tue l’églantier, anémie le chêne et mûrit sous une rocaille ingrate, développe-t-elle. Imaginez l’hiver sévère, la rude gelée qui blanchit l’herbe, le cochon rose dressé à une prospection délicate… J’ai chassé la truffe à Martel dans le Lot, et je tenais la laisse d’une petite truie, une artiste en son genre qui flairait la truffe souterraine, la délogeant d’un groin inspiré, avec des cris, des élans brusques et toutes les manières, ma foi, d’une somnambule. À chaque trésor trouvé, l’intelligente petite truie levait la tête et quémandait sa récompense, une poignée de maïs ».

Éloge de la truffe, « gemme des terres pauvres ».
Dans « Prisons et Paradis » paru en 1932, l’habile cuisinière ne peut s’empêcher de faire la promotion de la truffe noire du Sud-Ouest et développer comment l’accommoder : « On ne fait bien que ce qu’on aime. Ni la science ni la conscience ne modèlent un grand cuisinier. Je suis née dans un pays de province où l’on gardait encore des recettes que je ne trouve dans aucun Codex culinaire. On les transmettait de bouche-à-oreille à l’occasion d’une fête carillonnée, le jour du baptême d’un premier-né ou d’une confirmation. Ainsi j’appris à me servir de la vraie truffe, la noire. C’est la plus capricieuse, la plus vénérée des princesses noires. On la paie son poids d’or, le plus souvent pour en faire un piètre usage. On l’englue de foie gras, on l’inhume dans une volaille surchargée de graisse, on la submerge de sauce brune… Foin des lamelles, des hachis, des rognures, des pelures de truffe ! Croquez le gemme des terres pauvres en imaginant, si vous ne l’avez pas visité, son désolé royaume. Ne saurait-on l’aimer pour elle-même ? Mangez la seule, embaumée, grenue. Elle ne vous donnera pas, une fois étrillée, grand peine. Sa souveraine saveur dédaigne les complications et les complicités. Vos truffes viendront à la table dans leur court-bouillon. Servez-vous sans parcimonie, la truffe est apéritive, digestive ».

Ses nombreuses visites à Touzac.
Depuis Paris où elle vit avec son nouveau mari Maurice Goudeket, Colette gardera un lien permanent avec le Lot jusqu’en 1948, année du décès de son amie la comédienne Marguerite Moreno. Celle qu’elle désignait comme « son âme ». Intimement liée à Colette depuis 1914, l’actrice française avait aménagé dès 1925, un confortable domaine dans la vallée du Lot pour ses vieux jours au lieu-dit « La Source Bleue » à Touzac, près de Puy-l’Évêque. L’écrivaine, tombée amoureuse du lieu, accepte « avec envie » de venir régulièrement à Touzac. Marguerite Moreno lui réserve «  Le Castelou  », petite maison qui jouxte sa propriété. « Tu sais la passion que j’ai pour La Source Bleue. Aussi l’atmosphère de défaillance que tu me décris m’empoisonne » s’indigne Colette dans l’une de ses « Lettres à Marguerite Moreno ». Cette dernière, malgré l’âge, ne se décide pas à raccrocher tant que de beaux rôles s’offrent à elle. À 74 ans aux côtés de Jouvet, elle triomphe encore à Paris, dans « La Folle de Chaillot » écrit pour elle par Jean Giraudoux. La célèbre actrice de la Comédie Française, qui a pris froid en jouant au théâtre de Cahors, succombe d’une pneumonie le 14 juillet 1948. Elle repose au cimetière de Touzac.

Une infatigable curiosité.
Qui êtes-vous Madame Colette ? La femme libre et scandaleuse qui défraya la chronique de la Belle Époque, l’amoureuse des chats ou la bonne dame écrivaine, détentrice d’une sagesse terrienne ? Votre côté reporter de la France profonde ne nous laisse pas impassible. Vous explorez la nature de manière non pas intellectuelle mais sensible. La Bretagne, la Provence, les terres arides du Quercy… Du pays de votre enfance en Bourgogne jusqu’aux jardins du Palais Royal où vous terminerez vos jours, vous nous proposez un véritable tour de France, toujours au plus près de l’action. La joie de vivre est la clé de votre destin ! Celui de l’allant. Vous êtes l’une des plus célèbres romancières de la Littérature française qui ait foulé nos chemins. Deuxième femme élue membre de l’Académie Goncourt, vous avez été la deuxième femme à laquelle la République ait accordé des funérailles nationales.

ANDRÉ DÉCUP (avec l’autorisation de l’auteur que nous remercions ainsi que Jean-Claude Bonnemère, rédacteur départemental de l’hebdomadaire La Vie Quercynoise)
Visuel Radio France

L’Université Pour Tous Cahors Quercy (UPTC), nouveau partenaire de Quercy.net

Initiée par le Conseil des sages auprès de la ville de Cahors, et créée en août 2018, sur le modèle des Universités du Temps libre, est une association qui a pour but l’accès aux savoirs et aux connaissances pour tous, des échanges et du lien social.

Son originalité : la valorisation des ressources intellectuelles et scientifiques du territoire lotois sur le mode du bénévolat, à travers l’engagement d’intervenants spécialisés ou passionnés dans leur domaine, avec des exigences de rigueur méthodologique et pédagogique.
L’UPTC est une Université pour les seniors, mais aussi pour les jeunes et les adultes en activité ou non, avides de savoirs et de connaissances, en dehors d’un parcours universitaire diplômant.
Elle est membre du réseau national et régional des Universités du Temps libre

Chaque année universitaire, une cinquantaine de conférences sont proposées dans de multiples domaines : philosophie, archéologie, histoire, arts, littérature, musique, médecine-santé, économie, droit, paléontologie, géologie… pour environ 300 adhérents

Quelques conférences exceptionnelles sont également organisées hors calendrier habituel en lien avec l’actualité (Ukraine, environnement…)
Enfin l’UPTC développe des partenariats locaux et régionaux (Société des Etudes du Lot, Université populaire de Caussade …), comme par exemple « l’année Gambetta »

Le Bureau de l’association est actuellement composé de :
– Danièle MARIOTTO, présidente
– Michel DURAND, vice-président
– Geneviève GUINDE, trésorière
– Christiane DEWITTE, secrétaire
– Marc SELLES, secrétaire en charge du numérique

L’adhésion annuelle de 20 € donne accès gratuitement aux conférences, une participation de 5 € par conférence est demandée aux non-adhérents

Retrouvez-nous sur notre site internet : uptc-cahors.org
Nous contacter : contact@uptc-cahors.org

Histoire et malédictions de l’église des Jacobins par Christian Verdun

Après le Pont Valentré, le Pont Louis-Philippe, sans oublier la Cathédrale Saint-Etienne… Christian Verdun nous propose pour le mois d’avril un nouvel « opus » consacré au Sacré Coeur communément appelé église des Jacobins (faubourg de Cabessut à Cahors).  Avec sa graphie si reconnaissable, l’auteur commentera sous forme d’images en une reconstitution narrative cette histoire mouvementée au fil des siècles, depuis le règne du célèbre Dagobert 1er !
Il démontrera aussi par son travail comment les images et gravures qui relatent les événements de ces époques pouvaient être perçues ou interprétées durant ces temps troublés.

+ d’information sur cet ouvrage en souscription chez édicausse

150e anniversaire de la Société des Etudes du Lot : les premiers retours

C’était les 1er, 2 et 3 décembre avec une fréquentation à la hauteur de l’événement. Les premières photos et synthèses des communications sont en ligne sur le site de l’association. Bonne visite !

La Société des Etudes du Lot est partenaire de Quercy net

Page 4 of 8

Fièrement propulsé par WordPress & Thème par Anders Norén