Catégorie : ÉCONOMIE Page 1 of 3

L’économie en Quercy

Cazals : des nouvelles de l’ancienne étude notariale Viala

Depuis fort longtemps, l’étude notariale de Me Viala était fermée. Au-delà des actes du quotidien, c’était également l’impossibilité de consultation des documents en cours de traitement mais aussi ceux du temps passé !

Depuis le 29 février, sur décision municipale et avec l’autorisation de la Chambre interdépartementale des notaires, les archives ont été transférées dans un lieu sécurisé. Quant aux documents datés de plus de 75 ans, ils sont désormais sous la bonne garde des archives départementales.

Les minutes et documents plus récents sont consultables (service payant) en contactant la Chambre interdépartementale des notaires, 23 rue des colonels Lacuée / 47000 Agen / 05 53 48 14 81

Il reste maintenant à la commune d’accueillir un remplaçant !

Sources / La Vie Quercynoise / Luc Gétreau

Permanences agricoles dans le Lot

Conformément aux annonces du président de la République, lors de son déplacement au salon international de l’agriculture, les services de l’État dans les départements mettent en place des permanences, sous forme de guichet unique, visant à apporter des réponses concrètes aux agriculteurs en difficulté.

Ces permanences se tiendront au plus près du terrain, dans les locaux de la DDT à Cahors et au sein des sous-préfectures de Figeac et de Gourdon. Dans le département du Lot, la semaine prochaine, trois permanences seront tenues pour répondre aux premières demandes : . le lundi 4 mars matin (9h-12h) dans les locaux de la Direction départementale des Territoires (127 quai Eugène Cavaignac, Cahors – tel 05 65 23 61 07) pour l’arrondissement de Cahors, . le mercredi 6 mars après-midi (14h-17h) dans les locaux de la sous-préfecture de Figeac (22 rue Caviale, Figeac – Tel 05 65 34 89 86) pour l’arrondissement de Figeac, . le jeudi 7 mars après-midi (14h-17h) dans les locaux de la sous-préfecture de Gourdon (62 Bd Aristide Briand, Gourdon – Tel 05 65 41 78 29), pour l’arrondissement de Gourdon. Les prises de rendez-vous se font directement auprès de la DDT et des sous-préfectures aux numéros indiqués.

Ces permanences seront renforcées en tant que de besoin au cours des prochains jours. Une information régulière sera assurée à cette fin. Ces permanences seront tenues par une équipe pluridisciplinaire. Elle aura pour mission de recevoir dans un cadre confidentiel et de manière individuelle les agriculteurs, d’assurer l’examen des difficultés rencontrées dans leur exploitation et d’apporter une réponse aux problèmes soulevés (soit lors de l’entretien ou dans un second temps, si nécessaire, en ce concerne les situations les plus complexes). Pôle de la communication interministérielle de l’État 05 65 23 10 60 / 06 07 80 97 16 clemence.jacquinot@lot.gouv.fr pref-communication@lot.gouv.fr Place Chapou 46009 Cahors Cedex

Les services de l’État dans le Lot poursuivront, par ailleurs, leurs actions dans le cadre des chantiers arrêtés par le Président de la République et le Gouvernement pour répondre aux besoins du monde agricole. Au-delà des sujets nationaux et des travaux en cours sur la simplification, d’une part, la coordination des contrôles, d’autre part, un travail plus particulier est mené dans le Lot sur : . le suivi des filières en difficulté et des épizooties, . la gestion de l’eau, . les dégâts de gibier, . les problématiques foncières, . les énergies renouvelables, dont l’agrivoltaïsme, . l’adaptation au changement climatique, la protection de l’environnement et la protection contre les incendies, . les circuits courts et la logistique

Ta gueule, un message positif du G.S.M.

Le GSN, groupe lotois de femmes chefs d’entreprises, soutenu par l’Union des Entreprises lotoises (UEL) s’est donné pour mission depuis sa création, d’être à la fois un lieu d’accueil et d’échanges, mais aussi d’entraide pour le développement de l’entrepreneuriat au féminin. Il est un réseau qui se veut efficace pour aider à concrétiser des projets économiques.

Par ailleurs, le GSN fait profiter d’autres structures, des compétences de ses membres. Ainsi, il a tissé un partenariat l’année dernière, avec la Mission locale et accompagne des jeunes dans la simulation d’entretiens d’embauche.

Le GSN organise son 1er événement culturel le 17 mars 2023 Un One-woman-show

Sur scène, Isabelle Henry propose une conférence théâtrale décoiffante, intitulée « Ta gueule », une exhortation à oser réussir.
Après Montpellier et Paris, c’est au tour de Cahors d’accueillir le spectacle.
« Ta gueule » est l’histoire d’une quinquagénaire qui monte sur scène, pour réaliser son rêve d’enfant et partager sa recette de la réussite. Le temps d’un spectacle, Isabelle démontre que l’âge adulte n’efface pas les rêves.
« Ta gueule », un moment fait de rires, d’émotions et de partage sur ce que la vie lui a enseigné. Un cadeau, en somme.

À travers cet événement, le GSN souhaite faire passer un message positif vers toutes, tous, et particulièrement les jeunes – pour oser le pari de l’avenir.
Mise en scène : Jean-Luc Cohen-Rimbault

Vendredi 17 mars à 19h
Auditorium de Cahors

Réservations : uel46@wanadoo.fr / 05.65.20.41.90

 

Une passionnante photographie sociologique du Lot. Qui sont-ils ces nouveaux habitants ?

Dans le Lot, 2e département le plus âgé de France, l’installation de nouveaux habitants constitue un enjeu primordial pour conserver une population suffisante et des services.

Afin de contribuer à une meilleure connaissance du territoire du Lot et à l’adaptation des politiques publiques locales aux besoins des populations, la DDT du Lot (Direction Départementale des Territoires), a commandé à Sociotopie, une coopérative de chercheurs en sciences humaines et sociales appliquées, une passionnante enquête sociologique sur les nouveaux arrivants dans le Lot. Un bon moyen de mieux connaître leur profil mais aussi quels sont les atouts et faiblesses de notre territoire.

Dans le deuxième département le plus âgé de France, l’installation de nouveaux habitants constitue un enjeu primordial pour conserver une population suffisante et des services. Cette enquête a été réalisée via la diffusion d’un questionnaire numérique auprès de 339 personnes installées il y a moins de 5 ans sur le territoire, et la réalisation de 17 entretiens auprès de 23 personnes récemment installées, avec des profils très divers.

Les résultats viennent de tomber
Et voici quelques-uns des principaux enseignements de cette enquête sociologique. Lorsqu’on regarde les statistiques issues des réponses données au questionnaire, les répondants sont en moyenne plus jeunes (43 ans) que les habitants du département et la plupart d’entre elles et eux ont entre 26 et 45 ans et sont en couples (75 %). Une bonne partie ont des enfants (46 %), et très peu sont célibataires et ont moins de 25 ans. Ils et elles sont majoritairement issus de catégories socio-professionnelles supérieures, c’est-à-dire que 36 % sont cadres et professions intellectuelles supérieures et 62 % ont un niveau d’études supérieures à bac + 3. Les nouveaux arrivants sont principalement des jeunes familles et des personnes âgées récemment à la retraite. Bien que la plupart des gens changent de territoire par contrainte (pour trouver un emploi par exemple), les personnes qui s’installent dans le Lot sont nombreuses à le choisir pour ses caractéristiques, sa typicité… et certains voient leur arrivée comme une opportunité pour se reconvertir, développer une activité, acheter une maison ! La majorité d’entre eux vivaient dans une ville (76 %) voire une grande ville (30 %) avant de venir dans le Lot, et la plupart s’installent dans un village ou une commune isolée du département (59 %). Les nouveaux arrivants viennent donc pour une grande partie directement d’environnements urbains. Ce qui ne veut pas dire qu’ils n’ont jamais vécu à la campagne… simplement ils habitaient en ville avant de s’installer dans le Lot.

Cette étude sociologique met particulièrement en lumière les services attendus et appréciés par une population diplômée et dotée de ressources financières lui permettant de choisir son lieu de vie. Le réseau intérieur du Lot (bus, trains) ne couvre pas suffisamment le département pour s’y déplacer efficacement sans voiture !

Principales faiblesses du département ?
48 % des personnes interrogées désignent comme insuffisante l’offre de services publics, surtout au niveau médical, à moins d’habiter à proximité d’une maison de santé pluridisciplinaire. 47 % des personnes interrogées désignent le réseau et les infrastructures de transport. Le département reste relativement bien connecté aux grandes villes avec la liaison Paris-Toulouse. Mais le réseau intérieur (bus, trains) ne couvre pas suffisamment le département pour s’y déplacer efficacement sans voiture !

36 % des personnes interrogées désignent comme faibles l’offre d’emploi et l’activité économique.

Principaux atouts du département ?
89 % des personnes interrogées désignent la qualité de l’environnement. 65 % des personnes interrogées désignent la qualité du patrimoine. 32 % des personnes interrogées désignent la qualité des relations sociales. L’offre culturelle, malgré son caractère très saisonnier n’est pas une faiblesse ! Même si tout le monde ne trouve pas forcément son compte, les enquêtés en sont plutôt satisfaits. Enfin on retiendra une amusante typologie des nouveaux arrivants, sans se prétendre exhaustive, émerge de cette étude dans laquelle on trouve par exemple :

L’opportuniste s’installe dans le Lot pour développer une activité économique en rapport avec les caractéristiques physiques et naturelles du territoire. Il peut s’agir de quelqu’un qui souhaite ouvrir des chambres d’hôtes en profitant de l’attractivité touristique, de quelqu’un qui reprend une exploitation viticole, etc.

Le reconverti repense son mode de vie sur au moins deux plans : l’ancrage territorial et la trajectoire professionnelle. Certains reconvertis quittent la ville et leur travail et emménagent dans le Lot afin de développer une activité qu’ils estiment avoir plus de sens (maraîchage, artisanat, etc.), d’autres emménagent d’abord, et développent une activité directement en lien avec les caractéristiques du territoire et leurs capacités et envies.

La famille
C’est une des catégories les plus importantes parmi les nouveaux arrivants sur le département du Lot. Les jeunes familles s’installent sur le territoire afin d’avoir un cadre de vie qu’elles estiment plus « sain » (qu’en ville notamment) voire plus accessible financièrement, pour elles et leurs enfants. Celles-ci ont parfois de nombreux critères d’installation, et mettent du temps avant de trouver leur lieu d’installation et leur habitat. Elles privilégient les maisons avec jardin en périphérie des petits bourgs avec quelques services et une école.

Seconde catégorie très importante chez les nouveaux arrivants sur le département, les retraités viennent sur le territoire principalement pour profiter des caractéristiques naturelles et patrimoniales. Ils et elles sont généralement déjà venus, au moins en vacances quelques fois, et ont préféré le Lot aux autres départements visités, parfois pour des questions d’accessibilité, de paysages ou de convivialité locale, ou de proximité avec leurs proches… Ils n’occupent pas d’emploi mais sont plutôt actifs dans les associations locales. Ils cherchent une maison proche d’un petit bourg, généralement de plain-pied, avec un jardin mais pas trop grand et une chambre d’amis.

Enfin, même s’ils ne sont pas nombreux, quelques jeunes s’installent chaque année dans le Lot. Ils et elles sont souvent originaires du département, y ont une partie de leur histoire familiale ou y sont allés plusieurs fois enfants.

Un criant manque de logements en location
Un angle mort de cette étude, concerne les métiers en tension, souvent des emplois peu qualifiés qui peinent à être pourvus d’après les données de l’emploi local. Une piste de réflexion concernant la cause de cette difficulté à attirer une population de nouveaux arrivants qui pourraient correspondre à cette demande est soulevée dans plusieurs entretiens à travers la question de l’habitat et du criant manque de logements en location, recherchés par les personnes au capital économique plus faible. Cette faiblesse de l’étude découle certainement de la surreprésentation des catégories socio-professionnelles supérieures parmi les enquêtés.

En résumé, cette photographie sociologique montre que pour les nouveaux arrivants, le Lot est apprécié pour ses caractéristiques sensibles (son patrimoine, sa vie sociale), et plus difficilement pour ses aspects fonctionnels. D’autre part, ils le regardent peut-être au travers de leurs modes de vie antérieurs, ce qui peut expliquer que les faiblesses du territoire identifiées ici soient toutes généralement des forces des environnements urbains.

LUC GÉTREAU
Source : Actu Lot

Le Département recrute

La lecture des pages dédiées du site internet du Conseil départemental nous fait savoir que de nouveaux recrutements sont programmés notamment dans le domaine culturel : Agent d’accueil touristique, animateur patrimoine culturel… Les musées Lurçat, et Cuzals sont concernés.

Plus d’infos en cliquant CE LIEN

Offres d’emploi

La grotte de Rouffignac (Dordogne)
recrute 2 guides-conférenciers pour la saison 2022 : CDD à temps-plein entre le 1° avril et le 31 octobre.
Nous recherchons des personnes avec ou sans expérience dans le tourisme, mais ayant des connaissances en archéologie préhistorique.
Les candidats peuvent envoyer leur CV et une lettre de motivation à Frédéric Plassard (frederic.plassard@wanadoo.fr )
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 L’espace archéologique de Montrozier (Aveyron)
recrute 1 agent d’accueil et de médiation
CDD de 7 mois à compter du 1° avril.

Offre d’emploi

Recherche 1 archiviste pour une mission de traitement des archives archéologiques du CCE de la DRAC Occitanie, site de Toulouse,
CDD 8 semaines à pourvoir au 01/03/22— date limite d’inscription 31/01/2022

Régis Blanchard, nouveau patron de Tertium éditions

Présent dans le e-commerce y compris avec quelques expériences d’impression en ligne, Tertium qui avait repris une partie du fonds des éditions du Laquet (Martel)  s’engage avec l’arrivée de Régis Blanchard dans une action commerciale de recentrage en direction les librairies du premier niveau

Diplômée d’un BTS d’Actions Commerciales, Régis Blanchard a commencé sa carrière dans l’édition musicale (label New Rose). On le retrouve chez Fnac Music, puis chez Cultura.

Tertium devrait quitter dans les prochaines semaine, le site de Vayrac pour Cajarc, ville de résidence du nouveau patron. Les contacts (tel, mail et site internet) sont inchangés.

(sources : livreshebdo.fr)

 

Le Département recherche un apprenti bibliothécaire

Département du Lot vous propose une offre en alternance dans les secteurs Administration, secrétariat (Administration et gestion d’entreprise, économie) – Information, communication (Documentation) à Cahors (46).

Au sein de la bibliothèque départementale (BDL) vos missions seront les suivantes :
– de réfèrent géographique : circulation du fonds départemental , conseil et soutien technique à la gestion de la bibliothèque , au développement d’animation culturelle, promotion de l’offre de service de la BDL…) ;
– d’acquéreur de documents sur une thématique donnée (veille documentaire , propositions d’acquisitions dans le respect de la charte documentaire , désherbage ….).

Objectifs:
– découverte et maitrise des missions et du fonctionnement d’une bibliothèque départementale, repérage des principaux acteurs de la lecture publique en milieu rural ;
– mise en pratique de notions de bibliothéconomie et du circuit du livre ;
– expérimentation de travail en équipe, en réseau et du montage de projet ;
– appropriation des spécificités de travail avec des bénévoles ;
– développement des compétences relationnelles, et d’animation de réunion ;
– confrontation aux exigences du service public.

Profil

Licence professionnelle ou Master métiers du livre

Postuler

  • Par email : sophie.simonato@lot.fr
  • Par courrier : Avenue de l’Europe, Regourd, BP 291, 46005 CAHORS CEDEX 9
  • Par téléphone : 0565534231
  • Contact : Sophie SIMONATO

Source : cliquez ce lien

Les artisans lauziers couvreurs s’organisent

Quatorze actions pour relancer la pierre sèche et la lauze
Sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, à Gréalou (Lot), le refuge pour randonneurs, ouvert début 2020, symbolise les objectifs d’un programme lancé en avril. Laubapro – acronyme de lauziers et bâtisseurs professionnels -rassemble 10 partenaires jusqu’à la fin 2022 autour de 14 actions, avec un budget de 729 000 €. Coordonnés par l’association Artisans bâtisseurs en pierre sèche (ABPS), leurs projets couvrent toute la filière, depuis l’extraction jusqu’à l’assurance des ouvrages en passant par la formation.

Pour construire l’abri avec ses salariés, Vincent Caussanel (Espédaillac) a bénéficié d’un précédent programme. « J’ai validé les deux certificats de qualification professionnelle de la pierre sèche », témoigne l’artisan. Ces CQP d’ouvrier et de compagnon sont ainsi nés de Laubamac – acronyme de Lauzier et bâtisseurs du Massif central -mené de 2016 à 2019. Leur détention a rendu possible l’assurance du bâtiment de Gréalou, qui repose sur des murs en pierre sèche coiffés par une toiture en lauze. Grâce à Laubapro, Vincent Caussanel vise la validation d’un CQP spécifique à ce type de couverture. La nouvelle association des artisans lauziers couvreurs (ALC) porte le projet. « Nous espérons ouvrir la première session au printemps 2022 », annonce Tsilia Poussin, animatrice de Laubapro recrutée en mars.

(source Le Moniteur)

Crédit photos :@gdsudinsolite

Histoire du vignoble de Cahors ou l’histoire du Malbec

villa Malbec Cahors (photo Medialot)

Le Projet (pluriannuel et financé par l’UIVC) est piloté par Pascal Griset (Professeur d’histoire contemporaine, Sorbonne Université) et Léonard Laborie (historien, chargé de recherche au CNRS, UMR Sirice, Paris).

Il est né d’une rencontre fin 2013 à l’occasion d’une conférence internationale sur l’histoire de l’Europe à la Sorbonne entre l’UIVC, qui préparait les Cahors Malbec Days 2014 et voyait l’histoire du malbec se raconter depuis l’autre côté de l’Atlantique, en Amérique latine, et Léonard Laborie, historien (CNRS), qui s’interrogeait sur la circulation historique transnationale des cépages.

Il a pour double objectif d’écrire ou de réécrire parfois l’histoire du vignoble de Cahors de façon factuelle afin que les vignerons de Cahors puisse se l’approprier, mais également de rendre ce contenu accessible au grand public.
Ces recherches ont d’ores et déjà amené les historiens à contribuer de différentes manières à la diffusion de ce contenu historique depuis le début du lancement du projet :

Recueil du témoignage d’une trentaine de témoins. Enregistrés, ils seront mis à disposition de tous aux Archives départementales ;
Rédaction de plusieurs articles sur l’histoire contemporaine de Cahors, du phylloxéra à nos jours
Direction d’un numéro de la revue chilienne RIVAR consacrée au malbec
Co-édition d’un ouvrage collectif avec la Société des Etudes du Lot (Recueil)

Soutien à un mémoire de master et un doctorat en histoire moderne
Multiples conférences académiques et grand public à Cahors, Paris, Bordeaux, Toulouse, Dijon, Amboise
Participation au dossier présenté par l’UIVC à l’INAO pour les mentions complémentaires
Préparation d’une synthèse sous forme de fiches : 10 thèmes, chacun exploré à travers 6 à 10 fiches.

Le projet confié par l’UIVC à Pascal Griset et Léonard Laborie est original : il donne des moyens, du temps, et de la liberté pour traiter sans complaisance la trajectoire du vignoble depuis la crise du phylloxéra, réinscrite dans sa longue histoire.

Ce projet de recherches historique est un véritable atout pour Cahors car peu de vignobles ont eu l’opportunité de mener cette démarche et peuvent s’appuyer sur un contenu historique aussi riche. Cela permet de situer le vignoble de Cahors dans l’histoire de la vigne et du vin en France et dans le monde (avec des liens spécifiques avec l’Argentine ou la Russie).

Publication d’un ouvrage historique (disponible à la librairie Calligramme à Cahors)

Vins de Cahors et du Quercy : Un recueil sur l’histoire des hommes, des lieux et des produits

C’est le premier ouvrage universitaire sur ce thème. Assez illustré, organisé en quatre parties, il mêle une sélection de textes déjà parus mais difficiles à trouver, et des textes inédits (par exemple sur l’évêque Didier de Cahors). –
présentation dans la bibliothèque virtuelle de Quercy net – 

Partie 1 – Essor médiévaux et modernes
Partie 2 – Depuis le Phylloxera : quelle renaissance
Partie 3 – Le monde du Cahors, de la Russie à l’Argentine
Partie 4 – Ecrire l’histoire d’un vignoble, hier, aujourd’hui et demain

Ce recueil est la rencontre de deux initiatives, qui témoignent d’une effervescence depuis 5 ans autour de l’histoire de ce vignoble :  SEL et projet « Histoire du vignoble de Cahors et du cépage malbec » dirigé par Pascal Griset et Léonard Laborie, financé par l’UIVC depuis 2014. 

La soutenance début 2020 de la thèse d’histoire de Sophie Brenac « Le vignoble de Cahors de 1650 à 1850 » à l’université Bordeaux Montaigne est une autre manifestation de cette effervescence. Sophie Brénac livre, dans le recueil auquel elle a contribué et dans sa thèse dont elle prépare l’édition, une information scientifique de première importance sur l’essor remarquable du vignoble à l’époque moderne.

Projet à venir : La valorisation de ce travail au-delà de ces exemples concrets de production et de diffusion du contenu de ces recherches historiques amènera l’UIVC à organiser un cycle de conférence à Paris à l’université de la Sorbonne (en février 2022) pour les professionnels et les vignerons et à Cahors (en juin 2022) pour les vignerons et le public lotois.

L’édition d’un nouvel ouvrage en 2022 sous forme de fiches thématiques est également en projet.

 

La SEL Société des Etudes du Lot  et la librairie Calligramme sont partenaires de Quercy net

Hemp-Act, des solutions pour l’extraction des fibres longues du chanvre

FEVRIER 2021 : Hemp-Act est lancé !
En tant que toute jeune entreprise, Hemp-Act démarre l’année en pleine ébullition : l’équipe qui s’étoffe de 3 personnes supplémentaires est en cours d’assemblage de la première ligne.

Les fondements de Hemp-Act
D’une réflexion sur le chanvre….à un projet industriel de solutions d’extraction des fibres longues.

Relancée depuis quelques années, la culture du chanvre a de multiples débouchés et bienfaits : agronomiques, soutien de la biodiversité, alimentaires, textiles, santé, construction et isolation…

La massification de la culture du chanvre va ainsi devenir un levier majeur au développement mondial d’économies biosourcées et relocalisées.

L’enjeu est de taille :
> environnemental d’abord : contrecarrer les effets multiples du changement climatique en développant une nouvelle économie de restauration et de régénération tout en fixant du CO2 soit 15 t/ha/an en eq C02 capturé.

> économique et social : développer de nouvelles activités de production de biomatériaux génératrices d’emplois ancrés localement et de valeurs ajoutées pour des territoires devenus prospères et résilients.

Construire l’avenir : face à un imprévisible qui s’impose comme la nouvelle norme, il est urgent de dessiner une trajectoire d’avenir claire, solide et basée sur une nouvelle bio-économie accessible à tous, en tous points de notre belle planète Adopter les bonnes solutions pour aujourd’hui comme pour demain est inéluctable, mais le changement d’échelle doit être immédiat et massif.

Pour accompagner la montée en puissance de la filière et générer des débouchés, le développement de solutions industrielles est nécessaire.

Chanvrier depuis plus de 20 ans, tour à tour paysan chanvrier bio, concepteur de solution chanvrières et textiles et militant écologiste, c’est à la réalisation de ce changement d’échelle radical que je souhaite apporter mon énergie et ma contribution en tant que Fondateur et Président de Hemp-Act.

Nous développons ainsi au sein de Hemp-Act des outils et des solutions spécifiques dédiés à l’extraction et à l’affinage des fibres longues du chanvre.

+ d’information : Pierre Amadieu, Président de Hemp-Act
Lieu-dit Bétille – 46 120 Lacapelle-Marival
pierre.amadieu21@gmail.com
Portable 06 03 96 16 28

 

Pâtre, Une revue nationale qui s’intéresse aux brebis des causses du Quercy

 

Elles font souvent la « Une » de certains reportages, notamment lorsque les grandes capitales leur ouvrent salons et foires. Cette année sera morose pour leur avenir et pourtant, l’édito du numéro de novembre de « Pâtre » semble optimiste sur la réactivité des animaux et leurs gardiens, lesquels ont été habitués à supporter les aléas… de tout poil !

Il est bien sûr question du Lot dans les pages de ce magazine qui dans son article « A la recherche du juste prix de la laine », donne la parole à Pierre Reveillac, éleveur sur nos causses et président de l’association la Caussenarde dont le siège est à Livernon.

Depuis Saugues (Haute-Loire) durant les rencontres nationales de la Laine qui se sont tenues les 18 et 19 septembre dernier, il réitère le message porté depuis des années par son association, à savoir favoriser les débouchés pour cette matière autrefois noble et profiter du « consommer français » pour la mise en place d’une filière de commercialisation au plan national.

Rappelons que l’association la Caussenarde a publié cette année un ouvrage « La brebis des Causses du Lot, sa laine, son usage au fil du temps » que l’on peut trouver chez les libraires lotois et maisons de la presse (Cahors, Figeac, Gourdon, Gramat, Labastide-Murat, Prayssac..) mais aussi au siège de l’association ainsi que chez l’éditeur avec vente en ligne.

La brebis des Causses du Lot… toute l’histoire de sa laine

 

C’est à Livernon, village-terroir du patrimoine ovin, que l’association la Caussenarde à officiellement présenté son ouvrage qui met en valeur l’une de nos richesses qui, au fil du temps, reprend le devant de la scène comme source de développement économique et touristique.
Cette fibre, appréciée depuis la nuit des temps, qui a toujours été reconnue par ses grandes qualités au plan international a souffert de la mondialisation et la concurrence des matières synthétiques. Aujourd’hui, c’est un regard différent qui est porté sur la toison de nos  brebis à lunettes grâce au travail inlassable porté par le dynamisme de l’association la Caussenarde (ateliers, salons, veillées…). Il se traduit une fois encore par cet ouvrage qui devrait porter haut et loin les couleurs de notre territoire.

Contact association :  la Caussenarde : 05 65 40 54 31 / contact@lacaussenarde.org

Contact éditeur : 05 65 31 44 00 / www.edicausse.fr 

Bois Raméal Fragmenté : une solution pour réduire les arrosages et nourrir vos sols

 

L’Eté nous apporte, comme chaque année, ses plaisirs mais aussi certaines contraintes que les jardiniers, qu’ils soient amateurs ou chevronnés, tentent de gérer au mieux : les arrosages et les besoins en eau.
Depuis de nombreuses années, Jacky Dupéty, ingénieur agronome installé dans le Lot, n’a de cesse de porter la bonne parole d’une technique qui nous vient du Canada, le B.R.F. et que chacun peut appliquer pour toute culture (maraîchage, remise en culture de terrains, vergers….).

 

 

Jacky Dupéty nous décrit les grands principes de cette technique dans la vidéo qui suit

+ d’informations en cliquant CE LIEN

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