Catégories Librairie : Histoire - Documents Page 1 of 20

A la découverte des noms de lieux du Quercy et des communes du Lot

Gaston et Jacqueline Bazalgues, spécialistes réputés bien au-delà de notre Quercy, nous proposent une version profondément enrichie sur la toponymie lotoise.

20 années de travail viennent couronner cette version dont le contenu s’adresse à celles et ceux qui ont à coeur de mieux connaitre leur territoire au plus profond de son histoire construite par les peuplades qui se sont succédées.

Dans leurs conclusions, les auteurs nous rappellent « …De nombreux noms qui n’existent que dans l’oralité disparaissent, de nouveau résidents n’ayant pas été suffisamment informé…une partie de ce patrimoine peut encore être collecté, sauvegardé, et permettre de découvrir l’occupation du sol, l’évolution du paysage et des cultures. Il ne s’agit pas de nostalgie mais d’un désir de réappropriation pour lutter contre l’acculturation. Du paysage-spectacle, carte postale, il faudrait passer au paysage-patrimoine… »

 

176 pages, format 16 x 24, dos carré collé. Prix 20 €
En vente en librairie et maison de la presse ainsi que sur le site de l’éditeur
édicausse en cliquant CE LIEN

 

 

Les anciennes tuileries, briqueteries et fours à chaux du sud du département du Lot

Sous-titré inventaire et étude, l’ouvrage est signé Jean-Pierre Girault et Didier Rigal, avec la participation de Philippe Deladerrière.

 

En vente : librairies et maisons de la presse.
Contact : Didier Rigal – didier.rigal-camy@wanadoo.fr

L’eau à Espédaillac

L’eau, ressource fondamentale, depuis la nuit des temps, hante l’esprit des hommesRetour ligne automatique
Le causse étant composé d’un sous-sol calcaire et très fissuré, la localisation et l’accès à l’eau ont nécessité de connaître les ressources disponibles, sur la commune d’Espédaillac en particulier.Retour ligne automatique
Dans cet espace géographique qu’il a sillonné dans tous les sens, notre guide, Olivier Reynal a su aborder ce sujet dans toute sa diversité, en évitant les clichés (« lac de Saint Namphaise ») et en étant soucieux de la protection de ces lieux fragiles et de la tranquilLité des propriétaires.Retour ligne automatique
Avec cet ouvrage richement illustré, il nous fait découvrir les éléments les plus discrets, les cuvettes naturelles ou creusées par l’Homme, les sources, les abreuvoirs, les puits-caselle, ces constructions en pierre sèche, caractéristiques et emblématiques du causse, sans oublier les points d’eau aujourd’hui disparus.

Située dans le centre du département du Lot (région Occitanie), Espédaillac est l’une des communes les plus vastes et les plus sauvages des causses du Quercy. Incluse dans le Parc naturel régional des Causses du Quercy (label géoparc Unesco), elle possède un patrimoine remarquable composé d’une zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique.

L’auteur : Retraité de la Direction départementale des Territoires, Olivier Reynal parcourt le causse depuis une cinquantaine d’années. Son grand intérêt pour la protection de la nature l’a conduit à collaborer en 2021 à la rédaction de l’ouvrage Espédaillac, village des Causses du Quercy (éd. édicausse).

L’ouvrage est préfacé par Alain Turq, Conservateur en chef du patrimoine et archéologue.Retour ligne automatique

56 pages, prix 15 €, éditions édicausse

Frédéric Empaytaz, dernier préfet du Lot nommé par le gouvernement de Vichy

Dernière publication des éditions édicausse, cet ouvrage nous fait revivre des moments très sombres de notre histoire qui, pour beaucoup, interpellent et font ressurgir des questionnements encore aujourd’hui sans réponse.

3 préfets se sont succédés dans le Lot entre 1940 et 1944. Frédéric Empaytaz, le dernier avant la Libération, ne sera resté que 6 mois. 6 mois sans doute les plus angoissants. Entre l’occupant qui fera montre de ses extrémités dans la répression et la résistance qui régnait, durant les derniers mois précédant la Libération , sur une bonne partie du département, le préfet est seul face à un gouvernement agonisant et une hiérarchie régionale incapable de répondre à ses subordonnés.
Une présentation par son petit-fils, Pascal Bouchard, nous en livre les clefs nous permettant de comprendre l’itinéraire d’un homme confronté aux instants les plus tragiques de son histoire, et de la nôtre.

Une iconographie composée à partir de photos et de documents d’époque, choisis au plus près de ce texte, apporte un éclairage sur :
> les services préfectoraux et les représentants des services rattachés, les deux sous-préfets, les élus des principaux villages traversés par le préfet : Figeac, Saint-Céré, Gramat, Souillac, Puy-l’Evêque, Gourdon … mais également les parlementaires, les conseillers départementaux et les figures politiques du moment comme Anatole de Monzie dont le préfet nous fait partager leur long entretien.
> l’occupant, la milice, les forces partisanes sans oublier les libérateurs qui franchiront, le 17 août 1944, l’imposant portail de la préfecture pour prendre les commandes du département.

250 pages couleur, dos carré collé, format 16 x 24 cm, prix 30 €
En vente en librairies, maisons de la presse
ainsi que sur le site de l’éditeur en cliquant CE LIEN

 

 

Sites archéologiques d’Occitanie des origines à l’an Mil

L’Occitanie avec ses statues-menhirs, ses oppida celtiques, ses villes romaines possède un patrimoine antique riche et varié à découvrir. Qu‘ils se cachent au détour d’un chemin, ou qu’ils soient célèbres, tous les sites présentent un intérêt. Ils sont des jalons dans l’histoire d’un pays et tous méritent d’être découverts.

Des premiers hommes arrivés sur ces terres aux premiers paysans, des citées celtes à l’Empire romain jusqu’aux premiers chrétiens, des vestiges se dressent à travers l’Occitanie et révèlent la richesse du passé d’une région.

Ouvrage collectif, ed. le long des chemins, 16 x 24 cm, 64 pages,  12,00 €

Thémines, entre Causse et Limargue

Cet ouvrage présente le village, son histoire , la vie locale, l’architecture, les gravures de la grotte de Roucadour, les pertes de l’Ouysse et les vestiges des moulins, un livre de 150 pages, illustré de 150 photos et cartes.

+ d’information sur : culture-patrimoine-themines.com

Pierre Bonafous, Comte de Melito, 1786-1853

Sous-titré : « un éclairage sur l’époque napoléonienne à travers un personnage lotois, neveu de Joachim Murat, Roi de Naples », l’ouvrage écrit par France Marsanne, avait échappé à nos entrées dans notre bibliothèque virtuelle.

C’est aussi avec retard, l’ouvrage datant de 2014, que nous vous l’annonçons avec le texte publié en 4e de couverture (éditions Bord du Lot).

J’ai essayé de retracer la vie d’une famille bien humble à l’origine, mais pour laquelle un concours de circonstances, une page de l’histoire de France, a dévié la trajectoire.
Pourquoi l’histoire de cette famille, direz-vous ?
Tout simplement parce qu’une partie de son existence s’est déroulée dans ma maison de Mercuès.
En effet, quelle belle surprise lorsque j’ai découvert  que près de deux siècles auparavant, cette propriété avait appartenu à la soeur du Roi de Naples, Joachim Murat, beau-frère de Napoléon…
De fil en aiguille, j’ai tenté de reconstituer la vie qui avait pu être celle de cette famille. Ce n’est pas tant le côté historique et glorieux qui m’importait, même si je ne peux le passer sous silence dans mon récit, (ce passé glorieux ne s’est pas déroulé à Mercuès!), mais l’autre côté de la médaille, la vie privée de ces personnages au lendemain de cette période fascinante, ce pan de vie dont les manuels d’histoire ne parlent pas…
Parmi tous ces personnages, deux ont pour moi une particulière importance, les deux propriétaires successifs de la propriété de Mercuès précisement : Antoinette Murat, épouse Bonafous, soeur du roi Joachim, et de ce fait, alliée de la famille de Napoléon Bonaparte, et Pierre, son fils aîné.

L’autrice lance un appel à toute personne pouvant apporter « quelques pierres supplémentaires à l’édifice ; c’est un un puzzle auquel il manque encore de nombreuses pièces » !

Le Vin de Cahors, une histoire tumultueuse

Le vin de Cahors connaît depuis quelques années un renouveau de notoriété. Pourtant, la vigne y est cultivée depuis des siècles avec diverses fortunes. Elle a été introduite en Quercy par les Romains et maintenue par les établissements religieux pour la tenue des offices. Durant le Moyen Âge, sa culture se développa sur les coteaux pierreux aux sols souvent dévastés par les orages.
La viticulture, largement répandue dès le XVIe siècle, ne devint dominante qu’à la fin du XVIIIe siècle sous l’impulsion des agronomes et l’abolition des restrictions commerciales.
La croissance de la demande des vins produits par les autres régions, la très forte hausse des prix qui s’en suivit, convainquirent les Lotois de privilégier le vignoble jusqu’à la catastrophe du phylloxéra.
Depuis la dernière guerre, le cahors a retrouvé sa qualité et est devenu un des grands vins français.
Auteur : Georges Depeyrot, directeur de recherches émérite au CNRS
https://www.facebook.com/profile.php?id=61552235943788

Regards sur le pays d’Oc Haut-Quercy, Bas Limousin, Périgord-Noir

 

Histoire de cette région depuis l’âge de la pierre jusqu’à l’âge du chemin de fer. L’ouvrage la restitue dans le cadre de l’histoire de notre pays et met en évidences pour chaque période (20), les riches heures du Haut Quercy, Bas Limousin et Périgord Noir.

auteur : PRADELS Jean-Louis

Jacques Thiveaud

Après l’histoire des Céramiques du Quercy en 2017, dont l’atelier était situé au Domaine d’Arnis à Cahors, François Thiveaud évoque, dans un ouvrage artistique, son père Jacques Thiveaud.

Avec ses deux compagnons Pierre Nouyrit et Christian Piganeau, il a produit de 1948 à 1992, une faïence originale et décorée.

Dans un récit plein d’émotion, François qui a travaillé 15 ans durant dans cet atelier, rend hommage aux talents de céramiste décorateur de son père Jacques. Il étudie l’évolution du travail graphique en l’illustrant de nombreuses photos de pièces décorées. Il nous fait découvrir les perspectives du trait, l’espièglerie des caricatures et la rigueur d’un artiste aux multiples talents.

Livre artistique de 65 pages avec quatre textes poétiques inédits de l’auteur – 23 x 23 – FMT Editions, 2023.
Prix de vente 27 € + frais de port – Réservations thiveaudfrancois@gmail.com ou 06 77 18 73 23

Histoire et malédictions de l’église des Jacobins, un ouvrage signé Christian Verdun

Cette église du Sacré-Coeur est également appelée église de Cabessut, nom du faubourg sur laquelle elle est située. C’est seul édifice religieux toujours en activité sur la rive gauche du Lot.

Si son influence a décliné, le lieu conserve son emplacement d’origine depuis l’époque mérovingienne et qui portait le nom de Saint-Pierre des Hortes (les jardins). L’implantation de différents ordres religieux et le couvent autrefois attenant à cet église ont permis à ces lieux de traverser les âges et d’en devenir une emprise presque aussi importante que notre cathédrale Saint-Etienne.

Les guerres, les submersions régulière de la rivière Lot, l’absence d’un entretien régulier et sa transformation un temps en une activité de verrerie, n’ont pas découragé les paroissiens qui ont exigé des pouvoirs successifs en place, de faire face à leurs obligations tout en assurant dans des conditions plus sécurisées le franchissement entre les deux rives.

Notre auteur se livre donc à une description la plus exigeante de la vie de cet édifice du 7e siècle à notre période contemporaine. Une première partie de l’ouvrage, illustrée de nombreux dessins mettant particulièrement en valeur les instants forts des dix premiers siècles de la vie en ces lieux, laisse place à une présentation des documents  (plans, études et inventaires), complétée par les écrits de nos historiens précurseurs amateurs et des spécialistes plus proches de nous : archéologues, conservateurs du patrimoine, membres érudits de la Société des Etudes du Lot notamment. Une riche iconographie complète avantageusement cet ouvrage honoré par la préface de Patrice Foissac, historien médiéviste.

Histoire et malédictions de l’église des Jacobins du 7e au 20e siècle, 88 pages, éditions édicausse, 2023. Prix 20 €
Disponible en librairie et maisons de la presse. Vente par correspondance en cliquant CE LIEN

Saint-Cirq-Lapopie et ses habitants. Des origines à 1560

Livres, brochures, catalogues, cartes, vidéos, reportages sans oublier les millions de photos partagées se sont multipliés depuis la création des premières structures à vocation touristique dans les années 50-60. Le classement de Saint-Cirq-Lapopie dans la liste des « Plus beaux Villages de France » a largement œuvré à la prospérité et l’avenir du village ; priorité était alors donnée à la restauration du bâti et aux aménagements touristiques. Aujourd’hui, c’est encore la compétition pour accueillir et retenir un visiteur en lui donnant l’impression de retrouver un passé où l’existence était moins confortable.

Certes, l’étude historique du village sous la plume des érudits locaux et historiens amateurs n’était pas complètement oubliée et suffisait pour donner de Saint-Cirq-Lapopie une belle image et lui conserver sa place d’un site alliant l’historique au pittoresque.

Mais, depuis quelques années, avec l’arrivée de nouveaux habitants en recherche de lieux de vie plus conformes à leurs aspirations, d’exilés en quête de leurs racines et de possibilités offertes par les nouveaux mode de communication, chacune et chacun veut vivre pleinement son territoire et s’y sentir associé. Attente tout à fait légitime renforcée par l’envie de redécouvrir les modes de vie de leurs prédécesseurs.

Les Saint-Cirquois et Saint-Cirquoises d’hier et d’aujourd’hui vont enfin en retrouver une grande partie par cet ouvrage qui aborde bien évidemment les structures politiques, religieuses et celles du pouvoir. Mais c’est surtout autour de la vie villageoise, de la famille, de la communauté que les travaux de Patrice Foissac, historien médiéviste, ont permis les découvertes attendues par l’association des Amis de Saint-Cirq-Lapopie à l’origine de cette proposition d’ouvrage en 2019.

Cette heureuse démarche soutenue par la municipalité ravira sans aucun doute les passionnés d’histoire et offrira à nos amis de passage la possibilité de conserver le meilleur souvenir de ce « très serein village du Quercy éternel, halte tranquillisante, qui s’oppose de toute sa sagesse paysanne, de toute sa rigueur intellectuelle, aux angoisses de notre temps » 1

SOMMAIRE

I – LE CADRE DE VIE : le territoire seigneurial – les territoires de l’Eglise – le territoire d’une communauté – les villages voisins.
II – LES POUVOIRS : le Roi – seigneurs et coseigneurs – l’Eglise (clergé et paroissiens) – le Consulat.
III – LES VILLAGEOIS : l’identité – travail et groupes sociaux – familles et individus.

Le sommaire détaillé est accessible sur le site de l’éditeur www.edicausse.fr

L’auteur : Lotois de coeur comme de souche, Patrice Foissac est docteur en Histoire médiévale et membre associé du Laboratoire Framespa (Université Toulouse 2). Ancien président de la Société des Etudes du Lot, on lui doit de très nombreuses communications et publications consacrées au Quercy : Vins de Cahors et du Quercy, Histoire de l’université de Toulouse, Histoire des collèges de Cahors et Toulouse

Trois années de recherche ont été nécessaires pour la rédaction de ce volume de 400 pages couleur richement illustrées et proposé au format « royal » 16 x 24 cm (dos carré collé). Ouvrage en vente à Saint-Cirq-Lapopie ainsi que chez les libraires et maisons de la presse du Lot.

Prix public 25 € / ISBN 978-2-917626-34-4 / éditions édicausse www.edicausse.fr / 05 65 31 44 00 / 06 09 86 55 82

VISUEL DE COUVERTURE : PUJOL Jean Eugène 1899 – 1986, Saint Cirq Lapopie – vers 1937 – Dessin gouaché – 63,5 x 47,8 cm

1Saint-Cirq-La Popie, sérénissime cité, Jean H. Guilhem

Des femmes et des hommes d’ici, talents, destins et douleurs

Fruits des recherches réalisées par l’association Art et Patrimoine de Lacapelle-Marival, ce livre broché nous offre un kaléidoscope de 39 personnages locaux ou de passage sur ce territoire.  La visibilité de ces hommes et femmes des XIXe et XXe siècles, s’est également traduite lors d’une exposition au printemps 2018.
C’est l’âme de la société villageoise qui nous est révélée et que chacune et chacun peut conserver dans sa bibliothèque pour la modique somme de 10 €.
Nous ne pouvons qu’encourager les associations locales à s’engager dans cette voie de conservation de tout témoignage même exprimée modestement,
Contact : Art et Patrimoine / Mairie de Lacapelle Marival / JP Gavarret / 06 78 23 35 53

Architecture et patrimoine de l’entre-deux-guerres, Cahors, 1920-1945

Ce nouveau titre dans la collection Focus, produite par la Direction du Patrimoine de Cahors, constitue, comme les précédentes publications, un très beau témoignage d’un Cahors qui, malheureusement, disparait peu à peu !

Le résultat d’un travail de recherche de grande qualité et de précision – mis en musique sous la conduite d’Emmanuel Carrère, animateur de l’architecture et du patrimoine – sur ces constructions qui interpellent notre regard, nous apporte une foultitude d’informations dont nous manquions cruellement jusqu’à ce jour. Cette brochure de 32 pages que nous rangeons dans notre bibliothèque au même titre qu’un livre – car elle y a sa place – doit sortir d’une diffusion confidentielle.
C’est souvent le cas dans les collectivités et institutions qui déploient des efforts pour des publications mais dont le « faire-savoir », traité à la portion congrue, ne leur permet pas de dépasser le hall d’accueil ou leur vitrine, s’ils ont la chance d’en posséder ! c’est d’ailleurs dans un présentoir peu accessible au grand public que nous avons découvert ce nouvel opus de Focus.

Nous ne pouvons qu’inviter nos lectrices et lecteurs qui veulent enrichir leurs connaissance sur leur territoire à se rendre à la Direction du Patrimoine, 8 rue de la Halle à Cahors pour se la procurer.

 

La Dame de l’Olm

Ce sanctuaire aujourd’hui écrin d’une Vierge à l’Enfant est lieu dont la dévotion se perd dans la nuit des temps. Cette chapelle qui fut plusieurs fois saccagée et pillée, est toujours accessible.  Placés sous la bonne garde de l’auteur Alain Faucon, ami du patrimoine et ancien Premier magistrat de Salviac, cette chapelle nous est enfin révélée dans un ouvrage de 130 pages vendu au prix modeste de 10 €.
contact : alainfaucon.salviac@orange.fr 

On peut lire le long interview de l’auteur par Luc Gétreau publié dans Actu Lot.fr

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