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LARAMIERE en QUERCY

« Le passé très riche du village de Laramière méritait un livre en raison en particulier de la présence du prieuré qui eut une importance considérable dans la vie des habitants, les guerres et les évènements qui se succédèrent eurent de l ‘influence sur la vie de la population. Le prieuré avait des possessions dans le Quercy et dans le Rouergue en particulier à Villefanche « .

Cette histoire, c ‘est celle d ‘un village qui compta jusqu ‘à environ 1200 habitants dans les siècles passés que nous raconte Gisèle Cazeaux, dans un livre qui intéressera les personnes attachées à leurs racines et au passé de leurs ancêtres. On y trouve, outre les faits historiques, des renseignements sur les occupants, et en particulier les noms des propriétaires de terres en 1675. Sont aussi abordés les métiers des habitants au cours des siècles avec leur nom, leur surnom et le mas où ils habitaient ainsi que les prieurs et les notables.

LA ROQUE TOYRAC

Jacques Bouquié, déjà auteur d’une monographie sur Montbrun en 2001, vient d’achever l’écriture de l’histoire de la commune de Larroque-Toirac. Cet ouvrage, documenté aux sources des Archives Départementales, de la mairie et de nombreux privée, fait référence avec beaucoup de sérieux aux familles des seigneurs du château de Larroque-Toirac, à l’histoire très complète de cette place forte mais aussi à la vie communale, du XIIIème siècle jusqu’au début des années 90.

CONDAT EN QUERCY

Guy Charazac, maire de Condat, s’est entouré de passionnés d’histoire pour retrouver les événements qui ont contribués à développer ce village. Véritable témoin du passé pour les générations futures, comme pour les aînés, cet ouvrage restitue un passé révolu au travers de cartes postales, de photos ou de documents officiels (registres municipaux, ordonnances royales…). Les bénéfices de sa vente seront reversés à l’école et au CCAS de Condat.

SOUILLAC et ses environs

Certains lieux apparaissent, plus que d ‘autres, marqués par l ’empreinte de l ‘histoire : la ville de Souillac en fait partie et il n ‘est, pour s ‘en convaincre, que de s ‘attarder devant l ‘imposante abbatiale Sainte-Marie, comme le fit jadis l ‘historien d ‘art français, Émile Mâle, avant de l ‘évoquer, avec le talent qu ‘on lui connaît, dans des pages de la Revue des Deux Mondes devenues mémorables. Cet édifice, qui suscite aujourd ‘hui encore l ‘admiration des touristes et dont deux absidioles détruites par les huguenots furent rebâties en 1841, soutient (pour le moins) la comparaison avec les cathédrales de Cahors, de Périgueux ou d ‘Angoulême. Mais s ‘il fascine à ce point, ce n ‘est pas seulement pour des raisons esthétiques, c ‘est parce qu ‘il représente, d ‘une manière éclatante, le passé de la cité. Tous les événements importants ont gravité en effet autour du monastère (Xe siècle) et de son abbatiale qui sera achevée en 1150, en pleine période de splendeur pour la cité et pour la communauté religieuse. Souillac s ‘épanouit sous cette autorité ecclésiastique et, dépendant, pour le pouvoir temporel, de la vicomté de Brassac, elle devient ville royale en 1253.
Au XIIIe siècle, c ‘est une belle cité féodale, entourée de remparts qui sont flanqués de tourelles, avec cinq portes et un pont-levis qui s ‘abaisse, chaque matin, pour laisser passer les cultivateurs et les mariniers : un centre urbain animé, où marchands, artisans et hommes de loi s ‘affairent, à l ‘ombre de la citadelle protectrice (église fortifiée, grosse tour qui permet de surveiller les environs et monastère qui dispense un enseignement gratuit). Le pouvoir local, vers lequel se sont acheminés paisiblement les Souillagais, se partage entre la commune et le monastère, sous l ‘autorité du seigneur, doyen puis abbé. L ‘agriculture est prospère et les petits métiers nombreux, mais tout change lors de la guerre de Cent Ans – les registres des villes de Martel, Gourdon et Cajarc sont éloquents à ce sujet – et l ‘on doit alors songer avant tout à la sécurité de la ville, aux assauts des ennemis qu ‘il faut repousser, aux portes et aux remparts que l ‘on doit réparer, aux moyens de racheter la cité quand elle est aux mains des Anglais. Le traité de Brétigny (1360), catastrophique pour le Sud-Ouest de la France, provoque de nouveaux combats (1367-1373) et il faudra beaucoup de temps pour revenir à une vie paisible. A la fin du XVe siècle, le monastère est érigé comme abbaye et Souillac, redevenue prospère, est un véritable centre d ‘approvisionnement.
Les guerres de religion remettent toute cette belle harmonie en cause et Souillac, « point stratégique », est au cœur des batailles, de 1562 à 1613. En 1653, la ville, tombée aux mains des frondeurs, sera délivrée par les troupes royales. Il faudra à Mgr de la Mothe-Houdancourt plus d ‘un demi-siècle pour restaurer l ‘abbaye, mais la foi et le dynamisme économique seront les plus forts jusqu ‘en 1789 et même pendant la Révolution « la masse des habitants reste catholique ». Dans cette vaste fresque historique, apparaissent aussi les viaducs et la Forge, Bourzolles et Saint-Étienne-Lacombe, Cazoulès et Lanzac, Pinsac, les châteaux de la Treyne et de Belcastel et les grottes de Lacave, « l ‘une des deux plus grandes curiosités souterraines d ‘Europe ».

HISTOIRE DE CAYLUS

En rangeant les archives de Caylus, Devals aîné, érudit d ‘histoire locale, a pu réunir tous les documents nécessaires à une histoire de Caylus du XIIe au XVIIIe siècle.
Il fait état de la première mention de la ville lors de sa donation à Raymond V, comte de Toulouse. On assiste à l ‘invasion de Simon de Montfort en 1211, lors de l ‘hérésie albigeoise, et à l ‘incendie du faubourg. La querelle religieuse allait être funeste à la ville puisque le 22 août 1562, Duras, à la tête d ‘une armée de calvinistes, assiégea la ville, puis brûla tous les privilèges et les titres. L ‘église fut incendiée. Le château eut beaucoup à souffrir des guerres; il fut réparé en 1558, puis en 1618. Les portes et les murailles furent relevées en 1703 : les affrontements entre le roi et les Camisards avaient eu raison d ‘elles.
Le XVIIIe siècle fut celui des grands changements dans Caylus, avec la destruction de l ‘hôtel de ville, l ‘achat de la maison du sieur Célarie pour le remplacer, l ‘inauguration de l ‘éclairage en 1761.
Tous ces événements eurent lieu dans la crainte de la peste. A partir de 1484, Caylus fut presque sans cesse surveillée par un garde chargé d ’empêcher les pestiférés d ‘entrer dans la ville. La terrible maladie fit pourtant de grands ravages. En 1518, en désespoir de cause, les consuls firent célébrer sept messes et sept offices de la Passion et des Cinq-Palais pour que cesse le fléau.
Cet ouvrage de référence passionnera tous les habitants de Caylus amoureux du passé.

HISTOIRE DE GRAMAT

Antique village formé avant l ‘occupation romaine, Gramat fut une puissante baronnie pendant le Moyen Age. Son passé, tumultueux comme celui du Quercy, nous est dévoilé à travers cet ouvrage de Jean Balagayrie. L ‘auteur fait revivre les quatre grandes familles de seigneurs qui possédèrent la terre de Gramat sous l ‘Ancien Régime : les Castelnau, les d ‘Aigrefeuille, les d ‘Auriolle et les Foulhiac, et rappelle l ‘existence de Hugues Ier de Castelnau, vers 950. Il explique quelle fut l ‘organisation du bourg et son évolution à travers les âges : il évoque l ‘érection de Gramat en commune, en 1224, l ‘administration des consuls qui s ‘ensuivit et la construction du premier hôtel de ville, en 1365.
Il relate l ‘épisode douloureux de la guerre de Cent Ans, qui eut pour première conséquence l ‘appauvrissement du domaine. Nous retrouvons les lieux empreints de souvenirs, telles l ‘église Saint-Pierre, et les rues du Moyen Age, dont l ‘auteur nous livre les noms. Enfin, nous redécouvrons les faits marquants de la Révolution : par exemple, les émeutes provoquées par les mesures anti-religieuses.
Jean Balagayrie a tiré de l ‘oubli les événements et les personnages qui firent le passé de Gramat. Le présent ouvrage ne peut que passionner tous les amateurs d ‘histoire locale.

HISTOIRE DE PUY-L ‘ÉVÊQUE

Point stratégique pour la navigation sur le Lot, Puy-l ‘Evêque doit son importance à son siège épiscopal créé au XIIIe siècle. L ‘histoire de cette région, toute hérissée de châteaux et d ‘abbayes, offre une lecture passionnante, celle-là même proposée par Charles Deloncle dans son ouvrage publié en 1867 que nous rééditons ici.
Au XIIIe siècle, la ville de Puy passa donc sous la domination de l ‘évêque de Cahors et un siècle plus tard, elle prit le nom de Puy-l ‘Evêque. Ce fut Barthélémy de Ruffi qui fit des travaux aux portes de Luzerche, Bélaye, Puy, afin d ‘améliorer la navigation sur le lot. En 1271, il accorda une charte de franchise et de privilèges aux habitants.
En 1348, le sire de Pestillac et l ‘armée anglaise ravagèrent la ville et ses environs. Puy resta un siècle sous leur domination, et son enceinte fut agrandie afin de contenir une nombreuse garnison. Les Anglais construisirent une église en 1495. Elle fut incendiée pendant les guerres de religion. En 1580, 140 coups de canons furent tirés par l ‘armée de François de Caumont-la-Force, calviniste, contre ses murs.
Des origines au XIXe siècle, l ‘histoire de Puy-l ‘Evêque passionnera incontestablement tous les amateurs d ‘histoire locale.

UNE HISTOIRE… LABASTIDE-MARNHAC

Quand on ne sait pas où l ‘on va, peut-être est-il utile et même nécessaire de savoir au moins d ‘où l ‘on vient…

Cette première monographie du village de Labastide-Marnhac, qui s ‘efforce de rendre compte de bientôt huit siècles de son histoire, peut aider à trouver quelques unes des clefs qui régiront son devenir !

ROCAMADOUR

Aujourd ‘hui, les très nombreux visiteurs de Rocamadour, les pèlerins qui gravissent plus de 200 marches pour accéder à l ‘oratoire de la Vierge – autrefois, on les montait sur les genoux – les touristes épris d ‘esthétisme, comme les Amadouriens eux-mêmes, communient dans une admiration unanime pour la belle cité : pour ce « site extraordinaire, ensemble de monuments de tout âge aussi digne d ‘attirer l ‘attention des artistes que de retenir la curiosité des archéologues ». E. Rupin évoque ce qui a fait de deux imposantes masses rocheuses taillées à pic, « tout un amoncellement de maisons, d ‘églises, de chapelles, de couvents adossés à la muraille calcaire, creusés dans le roc, ou abrités sous des rochers en surplomb ». Tout ayant commencé par le culte fervent rendu à la Vierge, dès le Moyen Age, matérialisé par un pèlerinage qui a traversé les siècles et engendré une communauté humaine, un habitat spécifique, des édifices militaires, civils et religieux et de nombreuses activités.
Historien rigoureux, l ‘auteur distingue, à propos des origines (et de saint Amadour) ce qui revient à la légende et ce qui appartient à la réalité. Ensuite il évoque avec une grande richesse d ‘informations la création du pèlerinage, en général, et la naissance de celui de Roc-Amadour, en particulier. Il relate aussi tous les événements qui se sont déroulés dans la ville, du Xe au XIIIe siècle (luttes entre les abbés de Tulle et de Marcillac et guerres entre le roi d ‘Angleterre et ses fils), rappelle la célébrité de la Vierge de Roc-Amadour dans l ‘Europe entière, la prospérité de la cité, les incursions des Anglais et des routiers, les affrontements entre catholiques et protestants et la Révolution qui « passa à Roc-Amadour comme un torrent furieux ». Toutefois, après le Concordat, Roc-Amadour appartient de nouveau au diocèse de Cahors, mais sans réserve d ‘un droit quelconque pour les évêques de Tulle.
Après quoi, l ‘auteur revient, dans un long et passionnant développement, sur le pèlerinage fondateur, qui pouvait être, autrefois, volontaire ou obligatoire et dans ce dernier cas, imposé par l ‘autorité ecclésiastique ou par l ‘autorité civile et il termine par un panorama archéologique amadourien, militaire, civil et religieux : avec la description des rues et des portes, du château et des fortifications, des vieux remparts et de la maison Bergougnoux, de l ‘épée dite de Roland, des peintures murales, des chapelles et des églises et de la statue de la Vierge.

CASTELNAU-DE-BRETENOUX (Histoire de)

La baronnie de Castelnau se rangeait parmi les plus beaux fiefs du Midi. Les origines de son château se perdent dans les ombres de la légende. Lieu de faste au XVIIe siècle, il fut abandonné pour Versailles. Napoléon III voulut l ‘acquérir, mais il lui préféra finalement Pierrefonds. Telle est l ‘histoire passionnante que relate Jean de Laumière dans son ouvrage, le « Château de Castelnau et ses seigneurs », qui fut publié en 1901.
On apprend la légende de la fondation de l ‘église Saint-Spérie: au VIIe siècle, Hélidius de Castelnau voulait épouser Spérie qui refusa, afin de se consacrer à Dieu. Après l ‘avoir retrouvée, il la décapita et ô miracle, elle ramassa sa tête pour la laver dans l ‘eau, et là, frappée à nouveau, elle mourut.
On visite les fondations du château bâties par la reine Brunehaut : elles mesuraient 13 à 17 mètres de hauteur, et étaient flanquées de 9 tours. On assiste au siège de la ville en 1159 par Henri II roi d ‘Angleterre. On apprend que les barons de Castelnau suivirent les comtes de Toulouse lors de la croisade contre les Albigeois.
Enfin, après la mort du dernier Guilhem à Paris en 1705, le château, non entretenu, se désagrégea progressivement. La Révolution brisera ses écussons, et en 1851, un incendie achèvera la destruction des bâtiments.
De la gloire à la ruine, les lecteurs retrouveront avec émotion l ‘histoire de Castelnau et de son château.

CASTELNAU-DE-BRETENOUX (Histoire de)
par Jean de Laumière
La baronnie de Castelnau se rangeait parmi les plus beaux fiefs du Midi. Les origines de son château se perdent dans les ombres de la légende. Lieu de faste au XVIIe siècle, il fut abandonné pour Versailles. Napoléon III voulut l ‘acquérir, mais il lui préféra finalement Pierrefonds. Telle est l ‘histoire passionnante que relate Jean de Laumière dans son ouvrage, le « Château de Castelnau et ses seigneurs », qui fut publié en 1901.
On apprend la légende de la fondation de l ‘église Saint-Spérie: au VIIe siècle, Hélidius de Castelnau voulait épouser Spérie qui refusa, afin de se consacrer à Dieu. Après l ‘avoir retrouvée, il la décapita et ô miracle, elle ramassa sa tête pour la laver dans l ‘eau, et là, frappée à nouveau, elle mourut.
On visite les fondations du château bâties par la reine Brunehaut : elles mesuraient 13 à 17 mètres de hauteur, et étaient flanquées de 9 tours. On assiste au siège de la ville en 1159 par Henri II roi d ‘Angleterre. On apprend que les barons de Castelnau suivirent les comtes de Toulouse lors de la croisade contre les Albigeois.
Enfin, après la mort du dernier Guilhem à Paris en 1705, le château, non entretenu, se désagrégea progressivement. La Révolution brisera ses écussons, et en 1851, un incendie achèvera la destruction des bâtiments.
De la gloire à la ruine, les lecteurs retrouveront avec émotion l ‘histoire de Castelnau et de son château.

CATUS-EN-QUERCY

Essai d’une chronologie… autour du Catus d’hier.
Catus et son environnement représentent pour beaucoup de personnes de la localité un de ces havres de paix que l’on rencontre très rarement. Cet attachement ne s’explique pas, il se vit tout simplement.
C’est une longue alchimie que le territoire dévolu aux Catuçois devenus Catussiens s’est constitué. Les hommes y sont venus. Grâce au hasard, à la chance, parfois les marques de ce passé local remontent à la surface, sont observées et donnent lieu à des communications auprès des sociétés savantes.
Depuis l’apparition des hommes par un comportement spontané, chaque groupe à l’époque qui est la sienne, essaye de faire connaître à la manière du moment ses découvertes, ses constatations, ses interprétations. Ces pionniers du passé méritent respect et considération, car sans être des savants, ils ont ouverts les sentiers de la connaissance, provoqué les vocations et stimulé la curiosité des érudits d’aujourd’hui.
Les méthodes modernes de recherche de plus en plus rigoureuses et rationnelles se perfectionnent naturellement au même rythme que se renouvellent les théoriciens qui les conçoivent.
Quelques dates indiquées parfois très approximativement permettent de situer dans le temps ce très long cheminement qui a conduit au groupe des humains puis au Catus d’aujourd’hui.
Un regard vers nos origines lointaines n’est croyons nous pas de trop. Faire partager l’amour du passé relève d’une gageure. C’est pourtant cela que nous allons tenter.
Jean COULON

CRÉGOLS

Souvenirs et recherches.

SAINT-PERDOUX, VILLAGE EN QUERCY

François Tayrac, en collaboration avec Rémy Bouyssié, avait publié en 1996 une “Histoire du Quercy minier. Bassin de Saint-Perdoux”. Depuis longtemps il souhaitait publier un livre sur son village, rassemblant patiemment les informations recueillies dans les archives, dans sa propre mémoire ou à l’écoute des anciens. Voilà qui est fait, avec l’aimable complicité de J.J. Pernelle.
On apprendra beaucoup sur cette charmante commune de la châtaigneraie, ancienne possession de l’abbaye de Figeac. Parmi les thèmes abordés, citons au hasard de la lecture : l’église romane dédiée à saint Perdulphe, le culte populaire de saint Roch, l’occupation du bourg par les huguenots au XVIème siècle, l’exploitation des mines de charbon, les événements de mai 1944, les perspectives d’avenir à l’aube du XXIème siècle. Le tout enrichi de réflexions sur les usages et les coutumes et parsemé d’anecdotes. La variété des illustrations n’est pas étrangère à l’intérêt de l’ouvrage.

SOUILLAC SUR DORDOGNE

On connaît les travaux de Guy Maynard consacrés à la recherche archéologique ou à l’inventaire du patrimoine. Il nous présente aujourd’hui son étude sur Souillac, ville étape au carrefour de la Dordogne et de l’itinéraire Paris-Toulouse.
Evocation des origines, depuis la préhistoire et le Moyen Age, jusqu’à l’époque contemporaine. Regard aussi sur l’histoire économique et sociale. Tous les quartiers de la ville et les paroisses annexes (Saint Etienne-Lacombe, Présignac, Bourzolles) sont passés en revue, sans oublier les écarts de la commune.
Photos et cartes postales anciennes accompagnent le texte.

FLOIRAC EN QUERCY

Toute l ‘histoire du village de Floirac dans la vicomté de Turenne jusqu ‘à la fin du 17è siècle.

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