René Gilabert et Michel Pagès apportent deux regards complémentaires sur Gaillac.
Le second aime la lumière douce du matin quand la ville s’éveille, échappe aux gris pour prendre ses premières couleurs. Il débusque un Gaillac secret d’arrières-cours, de replis, de venelles. Un puzzle de solitudes mystérieux et introverti.
Le premier cherche le côté sud, la ville rouge, théâtralisée par les cramoisis et violines du couchant
Gaillac, du Coq à l ‘Âme au rythme des textes de la conteuse de Broze, Nane Vezinet, et des photographies de René Gilabert et Michel Pages, qui offrent chacun à leur manière, un regard neuf et original sur la ville, ses joyaux architecturaux, ses dédales de rues et ruelles aux noms évocateurs, sa rivière domptée accueillant jadis un port à l ‘activité débordante…
Le marché du vendredi, les activités culturelles récurrentes, la vigne, bien sûr, ne sont pas oubliés dans cette promenade qui ravira tout autant le visiteur d ‘un jour, le gaillacois de toujours, le tarnais amoureux de son département, et au-delà, tous ceux qui sont passés ou passeront par la cité viticole…
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