En ces temps de commémoration, revenons quelques mois en arrière, principalement le 19 juillet, lors de cette Journée nationale pour évoquer les traces visibles en permanence des témoignages tels que les monuments et les plaques mémorielles.

 

Cette plaque répondait à une note du Ministre des Anciens Combattants et Victimes de Guerre dans l’application du décret n°93-150 du 3 février 1993 instituant l’organisation d’une journée nationale commémorative en hommage aux « victimes de la République française en hommage aux victimes des persécutions racistes et antisémites et des crimes contre l’humanité commis sous l’autorité de fait dite « Gouvernement de l’État français ». Cette plaque a été apposée, côté cour d’honneur de l’ancienne caserne, le 18 juillet 1993, sur la façade de l’ancien Musée de la Résistance, de la Déportation et de la Libération du Lot, déposée et entreposée dans les réserves de ce même Musée, le 24 juillet 2018.

Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’Etat français et d’hommage aux « Justes » de France